Tu rêves de gagner de l’argent sur Internet tout en portant ton pyjama préféré ?
Eh bien, tu vas découvrir ici le guide le plus complet que tu n’aies jamais lu sur ce sujet, rien de moins ! Mais, comme le thème est dense, je saupoudrerai cet article sérieux de quelques pincées d’humour. Après tout, perdre du pognon, c’est triste, mais en récolter, c’est plutôt joyeux, non ?
Dans tous les cas, accroche-toi bien ! Tu vas explorer les meilleures façons de remplir tes poches virtuelles en 2025. Tu trouveras même, en fin d’article, un petit test pour savoir si tu as le profil pour obtenir des revenus en ligne. Alors, attache ta ceinture (de peignoir) et embarquons dans cette aventure folle pour apprendre comment avoir des revenus sur le Web !
Illustrations par Logan Elaire
Sommaire
Pourquoi je peux te parler de ce sujet ?
J’ai aussi entrepris des projets costauds avec mon fils Logan, comme l’élaboration d’applications mobiles, la sortie de la SaaS EdenPersona, sans oublier la publication de livres sur KDP. Et, pour couronner le tout, j’ai fait du coaching pour aider d’autres à se lancer. Bref, je ne suis pas du genre à me contenter de regarder, je suis bien plongé dans ce monde depuis des années. Alors, on est d’accord que je peux te parler de ce sujet en connaissance de cause ?
Patrice Khal
Entrepreneur sur le Web depuis 2005
Peut-on réellement gagner de l’argent sur Internet ?
Encore aujourd’hui, beaucoup n’y croient pas… « Si on pouvait sérieusement gagner sa vie sur Internet, ça se saurait ! » est toujours une phrase que je lis… en 2024 !
Comme si Jeff Bezos (Amazon), Elon Musk (PayPal, Tesla, SpaceX…) et autres Zuckerberg (Facebook) n’existaient pas ! Mais en citant ces grandes fortunes obtenues grâce au Web, je creuse plus le fossé avec ceux d’entre nous qui s’estiment très loin de ce type de personnalité. L’approche n’est pas la plus fine. Déjà, cette méfiance envers la toile — comme moyen d’avoir des revenus — vient de la façon même dont nous visualisons « Internet ».
Nous pouvons être les premiers à chercher de bons plans sur le Web ; des concours ; des codes de réduction ; des offres de parrainage ; des sondages ou des mails rémunérés, bonus et autre cashback. On peut de surcroît y rêver à la fortune rapide, bercés par toutes ces vidéos de Ferrari ou de mojitos sous un palmier. On peut ainsi être très sceptique et pourtant se laisser tenter par une promesse de gagner de l’argent facilement sur Internet. Même si c’est tellement évident qu’il y a des milliers d’appelés pour très peu d’élus.
Après tout, la déception ne fera que venir confirmer nos certitudes et on pourra scander : « Tu vois, j’ai essayé ! Mais c’était bien de l’arnaque, comme disait tonton ! »
Mais, que l’on soit passé par cette phase de désenchantement ou pas, lorsqu’il s’agit d’être « sérieux », le Web n’est souvent plus une piste concrètement envisagée. Quand il faut trouver une façon de gagner de l’argent pour garder un toit au-dessus de la tête et nourrir sa famille, on se tourne vers « le monde réel ».
Et c’est là la cause de cette méfiance, tout autant que de cette crédulité béate : penser qu’Internet « n’est pas » le monde réel !
Internet EST le monde réel
Le Web n’est pas quelque chose d’abstrait : c’est le principal vecteur économique du Monde ! Ce n’est pas seulement pour les ultrariches et, de l’autre côté, des gagnepetits, des escrocs ou des gens qui se font escroquer. Ce n’est qu’une vision beaucoup trop limitée du support. Oublie-t-on que, dans « la vraie vie » aussi, il y a des ultrariches, des gagnepetits, des escrocs et des escroqués ?
Pourrais-tu imaginer résumer le monde réel à ces uniques catégories ? Non, bien sûr ! Tu y trouves des tas de profils différents :
- Des boulangers qui préparent du pain chaud.
- Des cantonniers qui entretiennent la voirie.
- Des employés qui s’occupent d’assembler des pièces dans une usine.
- Des standardistes qui guident les clients pour le service après-vente.
- Des commerciaux, des entrepreneurs, des responsables de production, des réparateurs, etc.
C’est la même chose sur le Web ! Tu as des tas d’activités différentes, avec des centaines de millions de personnes qui y gagnent leur vie !
- Des blogueurs qui créent du contenu.
- Des community managers qui administrent les réseaux sociaux.
- Des techniciens qui assemblent des éléments d’automatisation.
- Des assistants qui régissent le service client d’un e-commerce.
- Des commerciaux, des webpreneurs, des gestionnaires pub, des développeurs.
Et que dire des freelances de manière générale ? Peux-tu deviner le nombre de travailleurs autonomes prestataires de services qui œuvrent presque exclusivement en ligne dans le Monde ? Allez, je te laisse quelques secondes pour réfléchir…
L’avenir du travail est sur le Web
Certes, vu de France, cela peut sembler moins important. Après tout, 3 % seulement de digital nomads sont des Français, alors que déjà près de 11 % de la population active aux États-Unis, soit 17,3 millions d’Américains, ont opté pour ce mode de vie. Mais tu sais que ce qui est aux USA finit par s’étendre en Europe, donc élargissons le point de vue.
- 17,3 millions d’américains digital nomads (Source : Tech Report) 29%
- 40 millions de nomades numériques dans le monde (Source : Financial News) 66%
- 60 millions de nomades numériques estimés d’ci 2030 100%
Selon le World Economic Forum et Exploding Topics, en 2024, environ 1,57 milliard de personnes dans le monde exercent en tant que freelances. Cela représente 45 % de la population active ! Parmi ceux-ci, une proportion significative se concentre dans des domaines tels que la rédaction, le développement Web, la conception graphique, et le marketing, des secteurs fortement orientés vers des tâches numériques et réalisables à distance
Et, d’après FounderJar et Exploding Topics, 70 % de ces freelances travaillent exclusivement — ou presque — sur le Web, soit, à la louche, 1 MILLIARD de prestataires de services en ligne, auxquels on peut ajouter toutes les autres formes de business : créateurs de contenus, agences, startups, influenceurs, etc.
Je crois qu’on peut, à ce niveau, dire qu’il y a de nombreuses façons de gagner sa vie grâce à Internet, non ?
%
Sur le total de freelances dans le Monde , environ 1 milliard ont des clients presque exclusivement par le Web
Alors, quelles sont les idées pour gagner de l’argent en ligne efficacement en 2025 ?
Ah, la question à un million de dollars (littéralement) ! Commençons par explorer les concepts les plus juteux pour remplir ta tirelire virtuelle. Tu pourrais concevoir ton propre site dédié aux chaussettes dépareillées, lancer une chaîne YouTube sur l’art de faire la sieste de manière productive, ou même devenir un influenceur spécialisé dans les selfies avec des légumes.
Mais tu pourrais aussi, comme dans la vie « réelle », fonder ton activité en tant que freelance, trouver un job à temps plein, vendre tes créations artisanales, avoir des petits boulots de temps en temps, faire de l’achat-revente, voire même te détendre sur un jeu vidéo !
Les possibilités sont infinies, et c’est là que réside la beauté du online pour gagner ta vie.
Comment choisir la méthode la plus adaptée à mes compétences ?
Pour sélectionner la meilleure façon de faire de l’argent grâce au Web, il faut faire un voyage introspectif. Es-tu du genre à pouvoir parler pendant des heures des propriétés fascinantes des cure-dents ? Alors peut-être qu’un podcast sur les objets du quotidien est fait pour toi !
Ou peut-être es-tu un as du codage capable de créer un site Web les yeux fermés ? Dans ce cas, le métier de développeur freelance pourrait être ta voie vers la fortune.
L’important est de trouver un moyen de gagner qui corresponde à tes talents cachés et à ta personnalité unique. Après tout, personne ne veut voir un comptable essayer de devenir un danseur de TikTok… à moins que ce ne soit hilarant, auquel cas, fonce !
Plus sérieusement, tu découvriras ici une méthode de sélection du business en ligne basée sur l’approche, le niveau de « réalisme » pour prospérer. Tu pourras alors, plus loin, mieux comprendre le modèle d’affaires avec tous les détails, estimer le montant des recettes, comment t’y lancer et les conseils pour y réussir.
Accroche-toi bien et tu seras certain de sortir de ce contenu avec une idée concrète pour te créer une indépendance financière et géographique. C’est parti !
Quelles sont les différentes approches pour gagner un revenu sur Internet ?
J’ai divisé les méthodes pour gagner sa vie en ligne en 4 attitudes, selon ce que tu souhaites et ce que tu peux obtenir.
Approche « Bons plans »
Ces méthodes permettent de mettre un peu de beurre dans les épinards. Idéales pour arrondir les fins de mois, mais difficilement de ne plus avoir à supporter les blagues de Patrick devant la machine à café… Elles ne sont pas là pour remplacer un salaire, mais elles peuvent être un premier pas pour te dire : ah, c’est possible ?
1. Gagner de l’argent grâce à des applications
Il existe de nombreuses apps qui permettent de gagner quelques euros ici et là : Swagbucks, iGraal, ou encore des applis de cashback, telles que Rakuten. Tu récupères un pourcentage sur tes achats en ligne ou tu regardes des vidéos publicitaires. L’idée est simple : tu ne quitteras pas ton 9-5 (comme disent les marketeux sur le webeuh), mais ça aide à financer les petits plaisirs du quotidien.
2. Concours en ligne
Les concours en ligne permettent encore de remporter des lots sympas, mais c’est devenu un peu plus compliqué qu’à la belle époque, surtout pour les compétitions créatives. Maintenant, la plupart de ceux-ci se jouent au nombre de likes ou de partages, ce qui favorise les groupes de concouristes organisés. Autant dire que, si tu veux avoir une chance, mieux vaut rejoindre ces clubs !
3. Des revenus en jouant (cryptos)
Des jeux comme Axie Infinity ou d’autres basés sur la blockchain permettent de grappiller des cryptomonnaies en t’amusant. C’est une solution fun pour générer quelques tokens si tu maîtrises un peu l’univers des cryptos.
4. Micro-missions : sondages en ligne, etc.
Les sondages en ligne et les micro-tâches sur des plateformes comme Microworkers, Clickworker ou Toluna peuvent te faire encaisser de petits montants. C’est une bonne option pour arrondir les fins de mois, même avec le QI d’une huître. (Et ce n’est pas péjoratif, après tout, c’est dans les huîtres que l’on trouve des perles !)
5. Affiliation à petite échelle sur les réseaux sociaux
Tu peux promouvoir des produits en affiliation auprès de ta petite audience sur les réseaux sociaux ou dans ton cercle privé. En choisissant des solutions que tu utilises toi-même, tu convaincras plus facilement et accumuleras des commissions sans avoir besoin de créer quoi que ce soit.
6. Vendre ses services sur des micro-plateformes
Des plateformes comme Fiverr ou ComeUp te permettent de proposer des services simples : rédiger un texte, créer un logo, tester un site Web, etc. C’est faire de l’argent en ligne en fournissant de petites missions à des clients du monde entier. L’avantage, c’est que c’est ici une bonne porte d’entrée pour débuter, puis développer tes compétences et devenir un freelance « pour de vrai ».
7. Applications de revente
Des apps comme Vinted, Leboncoin ou Facebook Marketplace te permettent de vendre tes objets inutilisés. En plus de faire de la place chez toi, tu peux facilement récupérer quelques euros en proposant des affaires dont tu n’as plus besoin.
Approche « ça sent l’arnaque » : des méthodes borderline
Argent soi-disant facile, gagné en 48 h, plus vite que La Redoute. Ça fait rêver… mais la réalité est tout autre.
1. MLM : oui, certains gagnent beaucoup… mais surtout ceux qui exploitent les petits poissons
Le marketing de réseau (ou MLM) te promet des gains rapides en recrutant d’autres personnes. En théorie, ça peut marcher, mais en pratique, seuls les premiers arrivés s’enrichissent vraiment, tandis que les derniers enrôlés finissent généralement avec des produits invendables.
2. Dropshipping moisi
Le dropshipping peut être un modèle rentable (on y reviendra), mais certains vendent des produits de mauvaise qualité avec des marges énormes. Ces pratiques finissent par exploser à la figure de ces commerçants quand les plaintes clients affluent.
3. NFT pétés et shit cryptos
Les NFTs et les cryptomonnaies peuvent rapporter gros… mais pas pour tout le monde. Ceux qui connaissent bien le domaine peuvent en tirer profit, mais beaucoup de novices se retrouvent à perdre leurs biens en se lançant tête baissée dans des projets douteux.
4. Plateformes d’investissement suspectes
Des plateformes te promettent des rendements incroyables (50 % en une semaine, ça fait rêver, non ?). Malheureusement, derrière ces belles promesses se cachent très généralement des arnaques, et beaucoup de ceux qui se laissent tenter finissent par tout perdre.
5. Méthodes malhonnêtes : phishing, piratage, etc.
Là, on rentre carrément dans l’illégal : le phishing, le vol de contenus ou le piratage sont des raccourcis dangereux, en plus d’être moralement condamnables.
Approche sage et logique : comme dans la vie réelle, développer une activité
Se créer une activité indépendante en ligne en développant des compétences ou en exploitant celles que l’on possède déjà : c’est l’approche la plus évidente. Après tout, le Web n’est pas un lieu obscur et mystique. Beaucoup de professions que l’on réalise « dans la vraie vie » peuvent aussi être exercées à distance grâce à la magie des gigabits de données.
1. Créer une boutique e-commerce, avec stock ou en dropshipping
Le modèle e-commerce est connu. Tu peux gérer ton propre stock, ou opter pour le dropshipping. Ici, il est essentiel de proposer des produits de qualité et de ne pas tomber dans les travers du dropshipping moisi que nous avons cité ci-dessus.
2. Vendre ses créations artisanales
Si tu as une fibre créative, des plateformes comme Printful ou Redbubble te permettent de vendre tes réalisations sans avoir à gérer de stock. Le Print-on-demand est idéal pour ceux qui veulent concevoir des designs uniques. Mais tu peux aussi commercialiser les napperons en macramé que tu fabriques avec amour, ou les chaussettes en poil de lama que tu tricotes chaque soir.
3. Créer des produits digitaux
Si tu maîtrises bien des outils comme Canva ou Notion, tu peux créer et vendre des produits digitaux (templates, ebooks, PDF, etc.).
4. Vendre des cours en ligne
Si tu as une compétence particulière, pourquoi ne pas la partager sous forme de cours en ligne ? Les plateformes comme Udemy ou Tuto te permettent de vendre tes cours à une large audience. Si tu veux développer ta marque, tu peux même déployer ton propre espace via WordPress, Systeme.io ou Podia.
5. Acheter pour revendre plus cher
Tu peux acquérir des objets à bas prix et les revendre plus cher sur Vinted, Amazon, etc. Certains réussissent à se faire de vrais bénéfices en trouvant de bonnes affaires sur les marchés locaux ou sur des plateformes dédiées.
6. Freelancing
Le freelancing est une voie de plus en plus populaire. Que ce soit en tant qu’assistant virtuel, rédacteur Web, graphiste, développeur, coach ou consultant, des plateformes comme ComeUp, Upwork ou Fiverr te permettent de démarrer en proposant tes services à des clients du monde entier. En étendant ta notoriété et ton savoir-faire, tu peux atteindre des montants étonnamment élevés !
7. Chaîne YouTube
Si tu crées du contenu vidéo, tu peux monétiser une chaîne YouTube. Les revenus publicitaires via Google AdSense, les partenariats avec des marques, ou même l’affiliation, peuvent te permettre une rente stable au fil du temps.
8. Affiliation de contenu numérique
Quand tu commences à avoir une communauté suffisante, tu peux générer des gains passifs en recommandant des formations, ebooks ou autres produits numériques créés par d’autres. Si tu t’adresses à une audience bien ciblée, les revenus peuvent être réguliers.
9. Blogging
Le blogging est une possibilité de gagner de l’argent en ligne. Il existe plusieurs moyens de monétiser un blog : affiliation, publicité, vente de produits digitaux et articles sponsorisés.
10. Devenir auteur sans maison d’édition
Amazon te permet de publier tes propres ebooks et livres papier sans passer par une maison d’édition. Que tu sois romancier en herbe ou expert dans un domaine précis, tu peux proposer ton ouvrage directement à des millions de lecteurs. Le gros avantage, c’est que tu n’as pas besoin d’énormes moyens : tu crées ton contenu, tu mets en page, et hop, c’est en ligne. Tu touches des royalties sur chaque vente. Cette approche demande bien sûr du travail en amont, mais, une fois ton livre publié, il peut te rapporter des revenus passifs à long terme.
11. Hacking éthique
Cela consiste à identifier et corriger des vulnérabilités de sécurité dans les systèmes informatiques pour éviter des cyberattaques malveillantes. Les « hackers éthiques » peuvent être rémunérés via des programmes de « bug bounty », où des entreprises offrent des récompenses financières pour chaque faille détectée. Ce modèle permet d’engranger des profits tout en contribuant à la protection numérique des sociétés et des particuliers.
12. Business OnlyFans
OnlyFans, conçu à l’origine pour partager tout type de thématique, est aujourd’hui majoritairement dominé par des créateurs de contenu pour adultes, représentant 95 % des revenus. Tu peux aussi monter une agence en recrutant et gérant des modèles pour maximiser leur rentabilité.
Approche « to the moon » : véritable esprit entrepreneurial, plus ou moins risqué
On rentre dans des business plus complexes, mais qui peuvent rapporter gros. À toi de voir si tu veux jouer la sécurité ou tout miser. Dans tous les cas, réussir ici demande toujours une quantité énorme d’implication, de motivation et de travail… Beaucoup de travail !
1. Créer une agence
Si tu es bon dans un domaine (SEO, publicité en ligne, rédaction, etc.), tu peux créer une agence et sous-traiter une partie du travail. C’est un business scalable si bien géré, et elle peut devenir très rentable.
2. Lancer un SaaS ou une app mobile
Lancer ton propre SaaS (Software as a Service) ou une app mobile peut être une voie extrêmement rentable si tu résous un problème pour une large audience. Cependant, cela demande un investissement initial en développement et en marketing.
3. Développer des jeux vidéo
C’est la passion de notre fils Logan qui adore créer des univers interactifs. Mais derrière le fun, il y a surtout un gros travail de marketing à réaliser. Non, les « hold-ups » du style Flappy Bird ne sont pas une normalité !
4. Influenceur ou créateur de contenu
Avec une forte audience sur Instagram, TikTok ou YouTube, tu peux monétiser ton contenu via des collaborations avec des marques, ou grâce à des plateformes comme Patreon où ta communauté te soutient directement.
5. Devenir un progamer
Devenir progamer, c’est transformer ta passion pour les jeux vidéo en un business lucratif. Entre les compétitions d’e-sport avec des cash-prizes impressionnants, le streaming sur des plateformes du style de Twitch ou YouTube, et les contrats de sponsoring avec des marques, les opportunités sont nombreuses. Bien sûr, comme pour nombre d’activités dans cette catégorie, il y a beaucoup d’appelés pour peu d’élus.
Voilà ! J’aurais pu ajouter une approche « investisseur », avec des placements en ligne : cryptomonnaies, trading, immobilier en ligne, ETF, obligations, actions, prêts participatifs et autres métaux précieux. Mais là, il s’agirait plus de gestion financière que de se créer un business. Et puis, ça s’éloigne de mon cœur de compétences.
J’aurais également pu aborder les revenus grâce à des services de bricolage sur Allovoisin.com, ou bien la location d’une chambre sur Airbnb, d’objets du quotidien sur Zilok, ou même de ta voiture sur Getaround. Mais, là aussi, ces solutions n’entrent pas dans le cadre de mon objectif, ici : te permettre d’être plus libre ! Ces businesses dépendent d’une présence physique ou d’un contact direct avec la clientèle dans le monde réel. Dans cet article, je te propose des solutions 100% « pure player« , où tu opères exclusivement en ligne, sans sacrifier ta liberté géographique.
De toute façon, on a déjà un sacré choix, non ? Surtout que certaines méthodes se divisent en un nombre énorme de sous-catégories ! J’espère que cette vue d’ensemble te donne des idées, car maintenant nous allons entrer dans le détail, tels des chirurgiens qui jouent à Docteur Maboul !
Première approche: cibler de l’argent de poche en ligne
L’approche argent de poche est parfaite pour ceux qui veulent arrondir leurs fins de mois sans casser la tirelire pour se lancer. Si tu es du genre à profiter de tes séances prolongées aux toilettes pour une petite session de sondages en ligne, ou à remplacer un épisode de Derrick par une mission sur une appli cashback, alors cette approche est faite pour toi.
Le profil idéal est quelqu’un qui :
- Cumule plusieurs bons plans : entre les jeux-concours, les offres de remboursement (ODR), et la revente d’objets inutilisés, tu aimes explorer toutes les astuces pour gagner quelques euros.
- A un emploi du temps flexible : Que tu sois étudiant, parent au foyer, ou que tu aies un boulot pas trop chronophage, tu peux te lancer dès que tu as une minute à tuer.
- Est patient, mais déterminé : Les profits ne tombent pas en une seule fois, mais accumulés, ils peuvent te financer quelques extras bien sympathiques.
Et qui sait ? Une fois que tu auras vu qu’il était possible de gagner de l’argent en ligne, tu voudras peut-être aller plus loin. C’est souvent une porte d’entrée pour créer une activité plus rémunératrice. Tu te rends compte que c’est faisable, tu deviens plus organisé et tu finis par te lancer dans des projets plus sérieux pour augmenter tes rendements.
Les applications efficaces pour gagner de l’argent (un peu)
Les applications pour gagner un peu d’argent, c’est l’équivalent moderne des pièces jaunes que tu trouvais sous le canapé. Mais, cette fois, c’est ton smartphone qui se charge de te les dénicher. Avec des applis comme Swagbucks, iGraal, ou Rakuten (cashback), tu peux arrondir tes fins de mois en accumulant des bonus, en récupérant des pourcentages sur tes achats, ou simplement en visionnant des pubs.
Comment ça ? Facile : tu effectues des actions banales (acquérir tes produits habituels en ligne) ou un peu plus chronophages (répondre à des sondages ou regarder des vidéos). En échange, tu reçois des récompenses sous forme de points ou de cashback que tu peux transformer en euros. Bon, ne rêve pas trop, on parle ici de petits montants, mais ça peut couvrir quelques extras : un abonnement à Netflix ou ton prochain latté caramel.
Exemples d’applications rémunératrices
Swagbucks
Répondre à des sondages, regarder des vidéos, et même faire du shopping en ligne. Ça te rapporte des points que tu convertis en cartes cadeaux ou en monnaie via PayPal.
iGraal
Décroche de l’avoir en cashback sur tes courses connectées. Chaque fois que tu passes par l’appli avant d’acheter, tu récupères un pourcentage de ton emplette.
Rakuten
Pareil que iGraal, mais en plus international, avec des deals sur des sites comme AliExpress ou Amazon.
Quels revenus espérer avec ces applications Web pour gagner de l’argent ?
Ne t’attends pas à voir des sommes astronomiques apparaître sur ton compte PayPal. Pour la plupart de ces applis, les rendements oscillent entre quelques centimes à quelques euros par jour, selon ta fréquence d’utilisation et le type d’activités que tu choisis.
Par exemple :
- Sondages : 0,50 à 2 € par étude.
- Cashback : Entre 1 et 10 % selon les sites partenaires.
- Visionnage de vidéos : Quelques centimes par contenu.
En termes de temps, il te faudra quelques semaines pour accumuler des montants intéressants (15-20 €). C’est vraiment une approche « argent de poche », pas une stratégie pour devenir riche.
Que dois-tu savoir sur cette méthode pour avoir du cashback ?
Pas grand-chose ! Bon, OK, tu dois pouvoir lire : tu vas devoir passer pas mal de temps à répondre à des questions ou à regarder des pubs. Tu dois aussi être capable de faire des achats en ligne et comprendre comment activer un lien de cashback.
Être organisé pour bien gérer tes cashbackS
Il te faudra utiliser ces apps régulièrement et bien planifier tes achats pour maximiser les gains. Ça ne sert à rien de faire du cashback si tu oublies à chaque fois de passer par l’appli avant de magasiner !
Bien comprendre comment fonctionne le cashback
Pour cela, il suffit de télécharger l’appli, de respecter les instructions, et de s’y tenir. Par contre, il est utile de suivre des tutos sur YouTube pour bien comprendre comment fonctionnent les systèmes de points et de cashback, et éviter de perdre du temps sur des tâches peu lucratives.
Ça m’apporte quoi ces applications à bonus de cash sur le long terme ?
L’avantage de ces apps, c’est qu’elles ne demandent pas beaucoup d’efforts et que tu peux les utiliser sans trop te lasser. Cependant, pour les faire marcher à plein régime, il faut une organisation correcte et l’habitude d’exploiter les applis à chaque achat.
À long terme, tu ne vas probablement pas amasser des milliers d’euros, mais ça peut te permettre de réduire légèrement tes dépenses grâce au cashback et de récupérer quelques centaines d’euros par an en cartes cadeaux ou en argent. Rien de révolutionnaire, mais c’est toujours bon à prendre !
Utiliser les concours en ligne
Quand notre fils était encore petit, Christine, mon épouse, faisait pas mal de concours. Et ça marchait ! On décrochait régulièrement toutes sortes de lots.
Je m’étais aussi pris au jeu, surtout pour les compétitions créatives. Quelques exemples de nos victoires ?
- J’ai remporté un week-end en famille à Venise avec une poésie d’amour qui a tapé dans l’œil de Julien Clerc, rien que ça !
- Ensuite, il y a eu un superbe séjour VIP de pêche au saumon en Gaspésie, tout ça pour un simple concours de slogan.
- J’ai en outre été porteur de la flamme olympique grâce à une déclaration sur l’esprit sportif.
- Et pour finir en beauté, un magnifique voyage en Floride grâce à un concours photo présenté par les pommes Pink Lady.
Grâce à un concours, j’ai porté la flamme olympique en juin 2004 et, avec Christine et mon fils Logan (sur la photo), nous avons été invités pour un séjour VIP à Paris.
Selon une étude de Statista (2023), environ 35 % des Français participent à des concours en ligne chaque année.
Combien peux-tu réussir à gagner avec des concours en ligne ?
Si tu es méthodique et que tu rejoins des regroupements, tu peux espérer obtenir des lots intéressants (smartphones, voyages, électroménager). Pour les jeux plus modestes, ça peut aller de petits gadgets jusqu’à des bons d’achat. Il est difficile de quantifier l’équivalent en argent, mais certains concouristes réguliers accumulent des centaines d’euros de produits sur une année, voire bien plus pour les meilleurs.
Quelles compétences sont-elles nécessaires pour remporter des concours ?
- Tu dois être persévérant : en multipliant tes participations, tu maximises tes chances.
- Pour les concours créatifs, il est évident qu’il vaut mieux être… créatif ! (Oui, je sais, merci, merci !)
- Bien sûr, il est aussi avantageux d’avoir un réseau d’amis, ou de rallier des équipes pour échanger des votes.
Comment faire si devenir concouriste Internet est un objectif ciblé ?
- Rejoins des groupes Facebook ou forums spécialisés dans les concours en ligne.
- Conçois un tableau de suivi de tes participations et le temps que tu passes sur chacun, ainsi que les lots gagnés et leur estimation.
- Prends l’habitude de vérifier régulièrement les concours sur les sites dédiés, comme LeDemonDuJeu ou Jeu-Concours.biz.
- Fixe-toi un objectif, comme remplir x jeux par semaine.
Avoir des revenus en jouant (cryptos)
Encaisser des fonds en jouant, ça paraît dingue, mais c’est bel et bien possible grâce aux cryptomonnaies. Certains jeux basés sur la blockchain, comme Axie Infinity, The Sandbox, ou encore Gods Unchained, te permettent de remporter des cryptomonnaies pendant que tu t’amuses.
On parle ici de jeux dits Play-to-Earn (P2E) : tu accumules des tokens en accomplissant des missions, en combattant des adversaires ou en élevant des créatures virtuelles. Ces tokens peuvent ensuite être troqués contre de l’argent « réel », ou d’autres cryptos sur des plateformes d’échange.
La mécanique repose souvent sur l’achat initial de personnages, d’équipements ou de terrains numériques sous forme de NFTs (Non-Fungible Tokens) pour entrer dans le jeu et commencer à amasser des gains. Par exemple, dans Axie Infinity, tu dois acquérir des créatures appelées « Axies », que tu élèves, entraînes et fais guerroyer pour accumuler des tokens SLP (Smooth Love Potion).
Les meilleures idées pour empocher des tokens avec un jeu vidéo ?
Axie Infinity
Collecte et combats avec des monstres pour engranger des SLP.
The Sandbox
Conçois des mondes virtuels et monétise tes constructions.
Gods Unchained
Un jeu de cartes basé sur la blockchain.
En 2021, Axie Infinity a dépassé les 3 milliards de dollars de transactions sur son marché.
Quels revenus espérer avec les jeux crypto ?
Il est possible de récolter quelques centaines à plusieurs milliers d’euros par mois, en fonction du jeu et de l’investissement en temps (et parfois en argent). Cependant, il faut être réaliste : le monde des cryptos est très volatil. Ce qui coûte cher aujourd’hui peut perdre de sa valeur rapidement.
- Axie Infinity : Un participant peut espérer entre 150 et 500 € mensuellement en jouant régulièrement (selon la côte du SLP).
- The Sandbox : Si tu conçois et commercialises des parcelles ou des actifs virtuels, les revenus peuvent grimper beaucoup plus haut, mais cela demande une certaine maîtrise du jeu.
Mais on n’a pas besoin de compétences pour jouer ?
Eh bien, si ! Avant de pouvoir gagner. Il y a des savoir-faire indispensables :
- Une bonne connaissance de la blockchain et des cryptomonnaies.
- Savoir créer un portefeuille crypto et effectuer des transactions.
- Une compréhension pointue des mécaniques du gameplay.
- Suivre l’actualité des cryptomonnaies pour vendre ou acheter au meilleur moment.
- Avoir une stratégie efficace (surtout dans les jeux comme Axie Infinity ou Gods Unchained).
- Voire appréhender le marché des NFTs si tu comptes acquérir et commercialiser des personnages ou des items.
Comment te former à ces jeux crypto ?
- Consulte des tutoriels en ligne (sur YouTube ou Medium) pour mieux maîtriser les jeux P2E.
- Fréquente les communautés Discord de ces univers (par exemple, celle d’Axie Infinity est très active).
- Apprends à utiliser des plateformes d’échange de cryptomonnaies comme Binance ou Coinbase pour transformer tes tokens en euros.
Comment te lancer rapidement dans ce type de jeu vidéo crypto ?
- Choisis-en un qui t’attire et débute par un jeu où l’investissement initial n’est pas trop élevé (Axie Infinity peut coûter cher au départ, alors que des licences comme Gods Unchained sont plus accessibles).
- Ouvre un portefeuille crypto (comme MetaMask) et achète les tokens nécessaires pour commencer à participer.
- Rejoins des groupes Discord pour obtenir des astuces de joueurs plus expérimentés et pour cerner les meilleures stratégies.
- Consulte l’actualité des cryptomonnaies pour savoir quand acquérir tes tokens pour en tirer un prix correct.
Et puis après ?
Les jeux P2E peuvent te rapporter un peu, mais, comme mentionné plus haut, la volatilité des cryptomonnaies est à prendre en compte. Pour réussir sur le long terme, il te faut :
- Suivre les tendances des cryptomonnaies pour vendre et acheter aux bons moments.
- Diversifier tes activités P2E : Ne mets pas tous tes œufs dans un seul panier, teste plusieurs jeux.
- Explorer des voies alternatives comme la création de contenus liés aux jeux blockchain (tutoriels, guides YouTube) pour accumuler des profits supplémentaires.
Ces expériences peuvent t’ouvrir des portes vers des opérations plus lucratives, comme le trading de cryptomonnaies (avec tous les risques que cela incombe), ou même le développement de NFTs. Si tu te spécialises dans un jeu, tu pourrais aussi devenir un influenceur dans l’univers du P2E, avec des revenus issus du sponsoring ou de la création de contenu.
⚠️ Si tu penses te lancer là-dedans pour t’assurer un rendement régulier, fais attention. Ce n’est pas une activité stable et les gains peuvent varier énormément d’un mois à l’autre.
Des compléments de revenus avec des micro-missions
Les micro-missions regroupent des tâches simples et rapides à accomplir sur Internet, souvent accessibles via des plateformes comme Microworkers, Clickworker ou Toluna. Ces missions peuvent inclure des sondages en ligne, la vérification d’annonces publicitaires, des tests d’ergonomie de sites Web, et bien d’autres petites activités. L’idée est de te permettre de gagner un peu d’argent en utilisant des créneaux de temps morts, par exemple, pendant que tu attends le bus ou que tu te prélasses dans ton canapé (parce que bon, Netflix ne va pas se payer tout seul).
Ces plateformes fonctionnent un peu comme des supermarchés de missions. Des entreprises proposent des tâches et, toi, tu viens piocher ce qui te plaît : répondre à des sondages, cliquer sur des liens ou évaluer des produits.
MicroWorkers
Une vraie caverne d’Ali Baba des petites délégations. Tu y trouveras de la vérification de données, des avis sur des contenus, et même des tests de sites qui rémunèrent mieux que d’écouter les blagues d’un certain Patrick.
(Anglais seulement)
Clickworker
Missions de transcription, analyses de pages Web, étiquetage de photos… Bref, si tu aimes varier les plaisirs, c’est parfait. Clickworker est un peu le couteau suisse des micro-tâches.
Toluna
Principalement axé sur les sondages. Si partager ton opinion sur des produits est ton dada, alors c’est la plateforme qu’il te faut. Ils peuvent même t’envoyer des marchandises à tester (et ça, c’est quand même agréable).
Quels revenus espérer avec du travail micro ?
Bon, soyons honnêtes, ces missions ne vont pas te transformer en millionnaire. On est plutôt dans le registre du « c’est toujours ça de pris ». Les gains varient de 0,50 € à 5 € par sondage, selon leur longueur et leur complexité. Si tu es efficace sur Clickworker, tu pourrais atteindre jusqu’à 10 € par heure. Mais tu vas probablement faire ça entre deux parties de Candy Crush, donc pas de pression.
En moyenne, tu pourrais espérer entre 20 et 50 € par mois en y consacrant quelques heures par semaine. Ça ne va pas payer ta villa sur la Côte d’Azur, mais ça peut bien couvrir ton prochain abonnement Spotify ou quelques petits restos.
Quelles compétences nécessaires pour ces mini-missions ?
Les aptitudes requises sont plutôt basiques, genre « allumer un ordi sans crasher Windows » :
- Indispensable : Avoir une connexion Internet stable (oui, le Wi-Fi du McDo, ça marche, mais bon…), savoir naviguer sur le Web et remplir des formulaires sans transpirer.
- Important : Un peu d’anglais peut être utile, car certaines offres sont proposées par des entreprises internationales. Mais tu peux très bien t’en sortir sans être bilingue. (Merci Google Translate.)
- Accessoire : Être rapide et méthodique. C’est un peu comme réussir à manger un triple hamburger sans en mettre partout : ça demande de la concentration, mais c’est faisable et ça rapporte.
Vers quoi peuvent mener ces micro-tâches ?
Les micro-missions, ce n’est pas le Pérou, mais c’est une super porte d’entrée vers d’autres activités en ligne. En obtenant de l’expérience, tu pourrais évoluer vers des missions plus qualifiées, mieux payées, ou même te diriger vers le freelancing. Tu vois, on débute petit, mais l’objectif c’est de viser de plus en plus haut (comme à la marelle).
Comment commencer à réaliser des micro-missions ?
Inscris-toi dès maintenant sur des sites pour gagner de l’argent comme Clickworker ou Microworkers. Complète ton profil comme si tu postulais pour le meilleur job du monde (ou presque), choisis ta première mission et empoche tes premiers euros. Ça peut devenir un rituel sympa pendant tes pauses café ou entre deux épisodes de ta série préférée. Allez, c’est parti, ton canapé t’attend avec un peu de productivité en bonus !
Faire de l’affiliation à petite échelle
L’affiliation à petite échelle, c’est un peu comme être un mini-influenceur sans avoir besoin de millions de followers ou d’une équipe de production d’Hollywood à tes côtés. L’idée est de promouvoir des produits ou services que tu apprécies personnellement et que tu recommandes auprès de ta modeste audience sur les réseaux sociaux ou même dans ton cercle privé. En gros, tu deviens un genre de commercial… mais plus sympa, parce que tu ne vends que ce que tu utilises réellement.
Comment ça fonctionne ? C’est assez simple. Tu t’inscris sur une plateforme d’affiliation comme Amazon Partenaires, Awin ou encore Rakuten Affiliate. Tu choisis des marchandises que tu aimes vraiment, puis tu partages des liens parrainés avec ta communauté. Chaque fois que quelqu’un achète via ton hyperlien, tu touches une petite commission. Cool, non ? Pas besoin d’inventer la roue, tu fais la promo de ce qui existe déjà.
Quelques exemples de plateformes d’affiliation
Club Partenaires Amazon
C’est l’option la plus populaire. Choisis n’importe quelle marchandise sur Amazon, partage ton lien, et hop, à toi les commissions (environ 1 % à 10 %, ça dépend des produits).
Awin
Une plateforme d’affiliation qui te permet de t’inscrire à de nombreux programmes. Idéal si tu veux sortir un peu d’Amazon.
Rakuten Advertising
Plus orienté vers les bons plans, les objets high-tech, et tout ce que tu trouves sur Rakuten.
L’opportunité du parrainage de banques en ligne
Certaines néobanques en France, comme Revolut (que j’utilise et dont je suis ravi), Boursorama Banque, Hello Bank ! ou Fortuneo, offrent des programmes de parrainage. Typiquement, tu peux recevoir entre 30 et 150 € pour chaque personne que tu amènes et ton filleul obtiendra aussi un bonus.
Recommander une formation en ligne que tu as suivie ?
Si tu as été membre d’une formation en ligne qui t’a particulièrement été bénéfique, tu peux exprimer ta reconnaissance en le conseillant à tes amis, d’autant plus si elle propose un système d’affiliation.
Par exemple, chez nous, les participants à nos programmes peuvent gagner 20 à 35 % de commissions sur chaque inscription par leur lien. C’est un bon moyen de rentabiliser l’apprentissage et d’aider d’autres à découvrir des ressources utiles. Pour les formations avec accompagnement, qui coûtent près de 1000 € ou plus, tu imagines bien que les émoluments sur ces produits peuvent être très intéressants.
Autres types de parrainages à explorer
- Saily (e-SIM) : Tu voyages souvent ? Utilise Saily pour avoir des rabais sur tes cartes e-SIM. Chaque fois qu’une personne profite ton code de parrainage elle reçoit 3 $ de réduction et toi aussi. Bon, ce n’est pas du cash, mais tu diminues tes frais de connexion quand tu es à l’étranger (le coût moyen d’un mois de data est de 6,99 $ avec Saily, donc ce simple partage peut couvrir une grande partie de ces frais). Au fait, mon code est PATRIC3561, n’hésite pas. 😏
- Services de divertissement : Certaines plateformes de streaming comme Spotify et Deezer octroient des options de parrainage qui te permettent de profiter de 3 mensualités gratuites. De même, Audible (livres audio) propose un système de recommandation où tu peux obtenir des crédits offerts à chaque nouvel utilisateur inscrit grâce à toi.
Quels revenus espérer avec de la petite affiliation ?
L’affiliation, ça dépend vraiment de ta capacité à convaincre les gens et de la taille de ton réseau. On ne va pas se mentir : si ton audience, c’est ta grand-mère et ton chat, ça risque de prendre un moment. Mais si tu es un minimum actif sur Instagram, TikTok, ou même Facebook, il y a moyen de grappiller quelques euros.
Sur les grosses plateformes comme Amazon, les commissions varient généralement entre 1 % et 10 % du montant de l’achat, en fonction du produit.
Pour les banques en ligne, tu pourrais obtenir 30 à 150 € par parrainage. Avec une audience restreinte, tu peux espérer gagner 20 à 100 € par mois, si tu parviens à toucher quelques adhésions régulièrement. Ce n’est pas un pactole, mais c’est une bonne façon d’ajouter du beurre dans les épinards sans trop d’efforts.
Si tu complètes en promouvant des formations auxquelles tu as participé et que tu as, dans ton entourage ou tes groupes de prédilection, des profils qui pourraient aussi en profiter, tu peux faire grimper cette moyenne bien plus haut.
Quelles compétences nécessaires pour faire de la petite affiliation ?
Pas de panique, rien de sorcier ici :
- Savoir utiliser les réseaux sociaux (et non, publier une photo de ton plat ne suffit pas).
- Un peu de copywriting pour rendre tes recommandations alléchantes. Genre, « Ce mixeur est tellement incroyable que même ton chat pourra faire des smoothies » (bon, presque).
- Comprendre un minimum ton audience, identifier ce qui l’intéresse, et pourquoi elle pourrait cliquer sur ton lien. Nulle nécessité de faire de la psycho, juste un brin de bon sens.
Pour te former, tu peux te lancer directement sur YouTube, où tu trouveras des tutos gratuits sur l’affiliation. Tu n’as pas besoin de cours ultra-détaillés pour commencer. L’important, c’est de débuter et d’apprendre en faisant.
Comment gagner rapidement de l’argent avec l’affiliation à petite échelle
- Choisis un programme d’affiliation comme Amazon Partenaires, Awin ou Rakuten Affiliate, une offre de parrainage bancaire ou une plateforme de formations à laquelle tu as eu recours avec succès.
- Sélectionne des produits que tu connais et que tu aimes. Personne n’a envie d’acheter un mixeur que tu n’utiliserais même pas toi-même.
- Publie des avis, des recommandations, ou des astuces sur tes réseaux sociaux. Essaye d’intégrer tes liens de façon naturelle, sans trop pousser à l’achat.
Bon, et après, comment aller plus loin ?
L’affiliation à petite échelle peut t’aider à te familiariser avec le marketing de contenu et la vente en ligne. C’est un excellent moyen de développer ta capacité à communiquer et à promouvoir des produits. Si tu t’y mets sérieusement, tu pourrais envisager d’élargir ton audience, de créer un blog ou même une chaîne YouTube dédiée.
Avec le temps, tu peux aussi explorer des programmes d’affiliation plus rentables qui nécessitent de posséder une entreprise, te spécialiser dans une niche et augmenter ainsi tes revenus. Le vrai secret, c’est la persévérance : plus tu produis du contenu de qualité et plus tu gagnes la confiance de ta communauté, mieux tu performes en affiliation.
Quelle action réaliser tout de suite si je veux un peu d’argent avec l’affiliation ?
Inscris-toi sur Amazon Partenaires, c’est le plus simple pour débuter vite. À moins que tu ne sois client d’une banque en ligne offrant du parrainage, ou bien que tu es foncièrement content d’une formation suivie. Bref : choisis ce qui te prendra moins d’une heure à te décider !
Crée tes premiers liens et partage-les, tout bonnement. Fais-le naturellement en discutant avec tes proches et sur tes réseaux sociaux, en expliquant pourquoi tu recommandes ces produits. Rappelle-toi : c’est la confiance qui te fera gagner des ventes, pas un matraquage publicitaire.
Vendre ses services en tant que débutant sur des plateformes
Proposer des services simples sur des plateformes comme Fiverr ou ComeUp est une autre façon de gagner rapidement de l’argent en ligne (un peu). Que ce soit pour rédiger un texte, créer un logo, tester un site Web ou même envoyer des « good vibes » à des plantes d’intérieur (à vérifier pour celui-ci !), ces plateformes sont une porte d’entrée pour débuter sans être un expert. Tu n’as pas besoin d’être un freelance confirmé pour te lancer, mais attention, cela demande quand même un minimum de sérieux et de rigueur pour satisfaire les clients.
Cela dit, il ne s’agit pas de foncer tête baissée dans n’importe quelle mission sans réfléchir. Prenons l’exemple de la rédaction Web : depuis l’arrivée des outils d’intelligence artificielle, comme ChatGPT, proposer de simples articles de 500 mots sans réelle valeur ajoutée n’est plus viable. Si tu te contentes de produire des contenus génériques sans te former un minimum, tu galèreras pour te démarquer, car beaucoup d’entrepreneurs préfèrent utiliser des IA pour ce genre de tâches basiques, s’il n’y a pas la touche d’un vrai pro.
En revanche, si tu as des compétences spécifiques ou de l’expérience que tu peux mettre en avant, ça change la donne. Par exemple, si tu sais écrire des textes plus techniques, ou que tu as déjà travaillé dans un domaine particulier (juridique, médical, finance, etc.), tu peux proposer des offres pour des requêtes plus pointues, moins faciles à automatiser. Quelle que soit la catégorie de services, si tu identifies un besoin réel et précis auquel peu de gens répondent, tu peux cartonner sur ces plateformes !
Des exemples concrets sur ComeUp (ex 5euros.com) ?
En 2017, j’avais testé le modèle de 5euros.com avec la création de portraits personnalisés style fusain. Mon chiffre d’affaires cumulé sur ce produit était d’un peu moins de 1700 €.
Exemple de portrait façon fusain que je vendais sur 5euros.com (ComeUp)
Mon fils Logan, à 17 ans, a eu l’ingéniosité d’y proposer des mini-jeux vidéo personnalisés et a cumulé plus de 3400 € de bénéfices.
Quels revenus espérer sur ComeUp ou Fiverr ?
Pour des requêtes simples, tu peux cibler entre 15 et 50 euros par tâche. Une petite mission de rédaction SEO de 500 mots peut rapporter une quinzaine d’euros, tandis qu’un test de site Web ou la création d’un logo basique peut tourner autour d’une trentaine d’euros. Mais, encore une fois, ça dépend du service proposé et de la complexité de la demande.
Le temps pour obtenir des commandes relève de ta capacité à te démarquer : une description claire, un portfolio (même limité) et des tarifs attractifs t’aideront à décrocher des ventes plus rapidement. Parfois, cela prend quelques jours à une semaine pour avoir ta première mission, mais ça peut être plus long si la concurrence est forte dans ton domaine.
Quelles compétences nécessaires pour des microservices ?
- Sérieux et rigueur : les clients attendent que tu respectes les délais et fournisses ce qui est demandé.
- Suivi des tutos : tu n’as pas besoin d’être expert dans tout, mais tu devras apprendre vite afin de proposer des microservices de qualité.
- Gestion du temps : ne pas être en retard et rester organisé, c’est essentiel pour te construire une bonne réputation.
- Marketing personnel : savoir présenter tes offres de façon attrayante fera la différence sur ces plateformes.
Comment se former pour se lancer sur ComeUp ?
Même pour des services simples, il y a énormément de contenu gratuit ou abordable en ligne pour améliorer tes compétences. Des exemples ? Pour créer des logos, tu peux exploiter des outils comme Canva ou Figma et profiter de l’assistance de l’IA. Tu trouveras des tutos en ligne. Pour tester des sites Web, pas besoin d’être un développeur, mais il faut savoir repérer des problèmes UX (expérience utilisateur). Là encore, il existe plein de ressources pour tout t’apprendre sur l’UI/UX.
Par contre, si tu veux devenir un vrai professionnel rapidement, il vaudra mieux passer par une formation concrète pour t’aider à réussir sur la plateforme ComeUp. Mais ça, on en reparlera plus loin, lorsque l’on abordera le freelancing. Ici, contentons-nous du « bricolage » pour arrondir les fins de mois, ce qui n’est pas la même approche.
Comment se lancer en tant que débutant sur ces plateformes de freelancing ?
- Soigne ton profil : utilise une photo de qualité et écris une description qui attire l’attention. Présente bien tes services et offre des prix attractifs au départ pour décrocher tes premières commandes.
- Mets en avant tes compétences uniques : même si tu démarres, valorise ce que tu sais déjà faire (expériences pros, connaissances spécifiques). Si tu as une expertise dans un domaine, expose-la pour séduire des acheteurs qui ont besoin de quelqu’un de qualifié.
- Propose des prestations simples et attirantes : au début, concentre-toi sur des missions faciles à réaliser. Le plus important est de décrocher tes premiers avis clients, qui t’aideront ensuite à convaincre plus aisément les prochains.
Vers quoi ça peut mener de se lancer comme débutant sur Fiverr ou ComeUp ?
Ce sont les meilleurs sites pour gagner un peu d’argent rapidement avec des missions précises. Mais attention : tu n’y bâtiras pas une carrière à long terme en y présentant seulement des services basiques. Cela dit, elles peuvent être un tremplin vers des activités plus lucratives si tu arrives à monter en compétences.
Une fois que tu as acquis de l’expérience et que tu as bien compris les besoins de tes prospects, tu pourras augmenter tes tarifs ou même passer à des missions plus complexes. Par exemple, si tu débutes en écrivant des articles SEO, tu peux évoluer vers des mandats de rédaction plus poussée, de copywriting ou de stratégie de contenu, qui paient beaucoup plus. De même, si tu commences par créer des logos basiques sur Canva, tu peux te former à des logiciels comme Adobe Illustrator pour proposer des designs plus élaborés et attirer une clientèle plus haut de gamme.
L’avantage, c’est que tu peux tester différentes activités avant de te spécialiser. Qui sait, cela pourrait même être la porte d’entrée à ta future agence si tu cernes une forte opportunité à laquelle peu de gens répondent !
Quelle action réaliser tout de suite si je veux débuter sur ComeUp ?
- Inscris-toi sur la plateforme française ComeUp.
- Renseigne-toi sur les services les plus vendus et vois lesquels correspondent à tes compétences.
Ou bien, si tu as identifié un réel besoin avec une importante demande et moins d’offres sur le site : c’est l’occasion de l’exploiter. - Crée un profil soigné et fournis une prestation simple.
- Lance-toi dans une première mission rapide, même si le tarif est bas, pour te faire connaître et engranger tes premiers avis clients.
- Apprends au fur et à mesure et ajuste tes propositions pour répondre aux exigences du métier.
Applications de revente Vinted & Co
Les applications comme Vinted, Leboncoin ou Facebook Marketplace te permettent de vendre facilement tes objets inutilisés. Que ce soit des vêtements, des meubles, des gadgets électroniques, des livres ou une collection étrange de tétines, ces plateformes t’offrent un espace où poster des annonces. L’idée est simple : tu fais le tri chez toi, tu prends des photos de ces choses que tu n’exploites plus, tu les mets en ligne avec un prix et les acheteurs potentiels peuvent te contacter.
Modèle d’affaires de vente d’occasion
Ces applications fonctionnent sur un modèle de mise en relation entre particuliers. Vinted prend une petite commission sur chaque transaction. En général, tu peux fixer ton prix et l’acheteur te paie directement. Sur Leboncoin, il n’y a pas de frais sur les ventes classiques. Facebook Marketplace est également totalement gratuit et tu y gères les échanges en direct avec les acquéreurs.
Vinted
Spécialisée dans les vêtements, mais ouverte à d’autres objets.
LeBonCoin
Tu peux littéralement y proposer tout et n’importe quoi.
Facebook Marketplace
Intégré directement dans Facebook, il est facile d’accès pour toucher une large audience.
En France, Vinted comptabilise plus de 16 millions d’utilisateurs actifs et Leboncoin voit passer plus de 29 millions de visiteurs uniques chaque mois. Ces chiffres montrent bien le potentiel énorme de ces plateformes pour revendre tes biens.
Combien je peux récolter grâce à Vinted et autres ?
Le montant que tu peux espérer dépend évidemment de la valeur de ce que tu exposes. Un membre dynamique de Vinted peut générer entre 50 et 200 € mensuellement en marchandant des vêtements en bon état, tandis que ceux qui se spécialisent dans des objets plus volumineux ou électroniques sur Leboncoin peuvent atteindre des revenus plus élevés, parfois plusieurs centaines d’euros par transaction.
Si tu prends le temps de bien préparer tes annonces (photos, descriptions détaillées), tu peux prévoir d’écouler tes premiers articles en quelques jours. Cependant, tout dépend de la demande et de la popularité de tes produits. Les fringues tendance se vendent plus vite, tandis que les meubles et objets de grande valeur peuvent exiger des délais plus importants.
Quelles compétences faut-il pour gagner de l’argent rapidement sur Vinted ?
1. Prendre de belles photos
- Utilise la lumière du jour pour que les couleurs soient fidèles. Évite les photos prises la nuit ou dans des pièces mal éclairées.
- Réalise tes clichés sur un fond uni (blanc ou clair), sans distraction. Cela met le produit en valeur.
- Expose au moins 5 images de l’objet, de face, de dos, des détails importants (logos, motifs, boutons, fermetures), et des éventuels défauts.
- Si tu vends des vêtements, montre-les aussi portés ou associés à des accessoires pour aider l’acheteur à se projeter. Par exemple, une robe peut être sublimée avec des chaussures ou un sac assorti.
- Si ton article a une matière noble (coton bio, laine), une étiquette de marque, ou une caractéristique recherchée (comme une capuche en plumes de chocobo), fais un gros plan.
2. Rédiger des descriptions précises
- Adopte un format clair et structuré :
- Mentionne la marque de l’article dès le début.
- Précise la taille exacte et, si nécessaire, la coupe (ex. : « taille haute », « slim »).
- Sois honnête. Stipule s’il est « comme neuf », « porté une seule fois » ou « en bon état ». Si le produit a des défauts, par exemple avec une petite tâche ou un bouton manquant, indique-les et montre-les en photo. Cela évite des retours et augmente la confiance des acheteurs.
- Renseigne sur la matière (ex. : 100 % coton, viscose) et donne des conseils d’entretien (lavage à la main, en machine).
- Inclus des hashtags populaires dans ta description pour faciliter la recherche (ex. : « vintage », « streetwear », « bohème »).
3. Savoir fixer un prix compétitif
- Fais une recherche sur Vinted pour des articles similaires au tien (même marque, taille, état) et positionne-toi légèrement en dessous si tu veux écouler rapidement, ou dans la moyenne si ton produit a des caractéristiques spéciales (édition limitée, en parfait état). Tu peux te situer plus cher que les autres si ces derniers mettent mal en valeur leurs offres. (Photos de mauvaise qualité, description maladroitement rédigée, etc.)
- Tiens compte des tendances saisonnières. Les vêtements d’hiver se vendent mieux en automne/hiver, et inversement. Si tu commercialises une doudoune en été, ajuste le prix à la baisse pour attirer des clients.
- Propose des promos pour les achats groupés. Par exemple, « 10 % de réduction si vous prenez 2 articles ou plus ». Ça incite les acquéreurs à consulter ton dressing complet.
- Sur Vinted, les marques de luxe ou haut de gamme ne partent pas toujours au prix fort. Les utilisateurs sont souvent là pour de bonnes affaires, donc reste réaliste avec le tarif, sauf si tu sais que c’est une pièce rare et recherchée.
4. Gestion des transactions
- Réponds rapidement aux questions et propositions de prix des clients. Une réaction lente peut les décourager.
- Même si l’acheteur fait une offre trop basse, reste poli et ouvert à la négociation. Une riposte sèche pourrait ruiner une transaction potentielle. Par exemple, « Merci pour votre offre, mais je ne peux pas descendre en dessous de x euros. »
- Emballe bien les articles avant l’envoi. Utilise des cartons solides ou des enveloppes-bulles pour protéger les objets fragiles. Si tu vends un vêtement, plie-le soigneusement. Ajoute une petite touche personnelle comme un papier de soie ou une carte de remerciement (pourquoi pas avec une remise sur leur prochaine commande ?). Cela améliore l’expérience client et favorise de bons avis.
- Quand tu envoies le produit, privilégie les méthodes de livraison avec suivi (Mondial Relay, Colissimo) pour éviter les litiges en cas de perte. Vinted propose des options automatiques, mais n’hésite pas à en discuter avec l’acheteur si une autre solution est préférable.
Vers quoi peut me mener la vente d’occasion ?
La revente d’objets via ces applications n’est pas une activité à long terme si tu ne fais que vider tes placards. En revanche, si tu te prends au jeu et que tu cherches énergiquement des produits à revendre, tu peux transformer cela en un petit business de seconde main. Certains se spécialisent dans l’achat-revente de vêtements ou de meubles en bon état.
Tu peux ainsi, sur Vinted, faire de l’arbitrage dont nous reparlerons plus loin pour une plus grande échelle. C’est un moyen assez facile de gagner de l’argent tout en se faisant plaisir quand on aime les fringues.
Peut-on gagner beaucoup d’argent avec la vente d’occasion ?
Pour être réaliste, ce n’est pas ici que tu vas devenir millionnaire. Cependant, si tu y consacres du temps, tu peux arrondir tes fins de mois de manière régulière. Des utilisateurs de Vinted arrivent à en tirer plus de 500 € mensuellement en commercialisant des vêtements de seconde main.
Comment gagner rapidement de l’argent avec tout ce qui traine dans mes placards ?
- Cherche dans tes armoires, ta cave ou ton grenier. Tout ce que tu n’as pas exploité depuis un an est potentiellement à vendre.
- Télécharge les apps et inscris-toi sur Vinted, Leboncoin ou Facebook Marketplace. C’est gratuit.
- Mets en valeur tes objets avec de belles photos bien éclairées et sans distractions.
- Poste tes annonces ! Sois clair et honnête dans les descriptions, et surtout, reste réactif lorsque les acheteurs te contactent.
Ouais, mais j’ai la flemme de vider mes armoires ! T’as pas un plan plus simple ?
OK, lance-toi ce défi facile immédiatement ! Tant pis, tu continueras la lecture de cet article — merveilleux — un peu plus tard. Je te mets à l’épreuve :
- Télécharge l’une des applications mentionnées.
- Identifie trois objets chez toi que tu peux revendre dès aujourd’hui.
- Prends des photos, rédige des descriptions et publie-les en ligne.
- Fixe-toi l’objectif d’avoir tes premières transactions d’ici une semaine !
Des conseils pour gagner de l’argent en achetant sur Vinted pour revendre ?
Euh OK, voici comment tu pourrais faire ce type de petit business.
- Rends-toi sur Vinted, repère trois articles que tu pourrais acquérir pour faire de la marge. Privilégie les annonces qui mettent mal en valeur les produits, ce qui les empêche de les proposer à un tarif correct.
- Contrôle les prix auxquels ils s’écoulent habituellement et commande-les s’il y a un profit possible. Tu ne prends aucun risque en choisissant des vêtements que tu veux porter.
- Quand tu les reçois, prends-en soin, fais de plus belles photos, rédige une description accrocheuse et optimise tout.
- Ne perds pas de temps à hésiter : teste rapidement pour apprendre ce qui marche dans ton cas.
Et voilà, nous avons fait le tour de cette première approche pour gagner de l’argent en ligne. Voyons maintenant la seconde, remplie de pièges et de désenchantements. (Eh non, un bisou sur un crapaud ne le transforme pas en jolie fée !)
Attention à ces promesses d’argent facile
Dans cette partie, nous allons aborder tous ces plans à deux balles pour devenir riche en moins de temps que ce dont tu auras besoin pour lire cet article !
Alors, déjà, pourquoi je les traite ? Parce que, si je ne le faisais pas, tu te dirais peut-être : « Ah, mais ce bouffon ne parle pas de la méthode de WorldVentures ! En vendant des adhésions pour avoir des réductions sur les voyages, tu peux te faire un max de blé ! »
Donc, je vais aussi expliquer ces moyens qui frôlent l’escroquerie, quand elles n’en sont pas une, ainsi que celles qui pourraient te tenter, puis te mener en prison, sans passer par la case Départ.
Les MLM proches de systèmes pyramidaux
Le marketing de réseau (ou MLM pour Multi-Level Marketing) est un modèle d’affaires où les participants veulent recevoir un revenu en vendant des produits et en recrutant d’autres personnes qui feront la même chose.
En théorie, tu deviens distributeur indépendant pour une marque, tu commercialises des trucs et, si tu réalises du bon boulot, tu touches des commissions sur tes opérations et sur celles des individus que tu enrôles dans ton réseau (tes filleuls).
Plus ton groupe grossit, plus tu encaisses sur les négoces de ton « équipe ». C’est une structure pyramidale dans laquelle la majorité des revenus vient de la vente par les recrues.
On pense souvent à Herbalife ou à Tupperware, mais il existe des centaines d’autres entreprises MLM dans divers secteurs (cosmétiques, compléments alimentaires, bien-être…). Malheureusement, parmi celles-ci, il y en a beaucoup qui ne sont que de la poudre aux yeux. Le Gouvernement français avait d’ailleurs émis une alerte sur le sujet.
Taux d’échec dans les MLM aux États-Unis
Source : Federal Trade Commission
Des entreprises de marketing de réseau douteux
Je ne pourrai pas établir une liste exhaustive tant ces organismes font preuve d’ingéniosité pour te mettre des paillettes dans les yeux pendant qu’ils te font les poches, mais voici quelques exemples.
Les MLM de voyages
Tu en as sûrement vu passer. Le principe ? Tu débourses une grosse somme pour rejoindre un club exclusif qui te promet des réductions incroyables sur des voyages, des séjours offerts et des privilèges VIP à gogo. Sauf que, la plupart du temps, les fameuses réductions ne sont rien de plus que ce que tu trouves sur Google en cherchant « promo dernière minute ». On te vend un accès à un truc qui existe déjà gratuitement ! Résultat ? Tu as payé une fortune pour une carte de membre inutile.
Exemple concret : L’entreprise WorldVentures, un MLM de voyage, a fait face à plusieurs poursuites judiciaires aux États-Unis et en Europe. Ils commercialisaient des abonnements à des « clubs de voyage de luxe », mais la plupart des clients n’ont jamais profité des avantages promis.
En gros, tu as casqué pour un séjour au paradis et tu te retrouves avec un week-end à La Bourboule… et encore, hors saison.
Les MLM d’investissement et de trading
Alors là, c’est le jackpot… pour ceux qui montent l’arnaque. Ces MLM te promettent de t’apprendre à devenir pro dans le trading ou la cryptomonnaie, moyennant un petit investissement de départ (traduction : plusieurs milliers d’euros). En général, ils te vendent une « formation miracle » avec des bots de trading automatisés qui vont soi-disant faire tout le boulot à ta place. En réalité, tu es en train de subventionner le yacht d’un gars bien plus haut, pendant que ton compte en banque prend l’eau.
Exemple concret : L’entreprise iMarketsLive, spécialisée dans le trading MLM, a été accusée d’être une arnaque déguisée et a été poursuivie dans plusieurs pays pour pratiques commerciales trompeuses.
On te vend le rêve de devenir le prochain Wolf of Wall Street, mais tu es plutôt la brebis servie au festin.
Les MLM de produits « miracle » (quasi mystiques)
Le classique : ces MLM qui te proposent des compléments alimentaires ou des crèmes censées guérir tous les maux de la terre, de la calvitie à l’âme en peine. On t’explique que ces soins sont révolutionnaires et exclusifs, mais, en fait, c’est souvent du vent ou, au mieux, de basiques vitamines que tu trouves en pharmacie pour trois fois moins chères.
Exemple concret : Herbalife, une des entreprises MLM les plus connues, a dû verser 200 millions de dollars aux consommateurs après un procès pour pratiques trompeuses, aux États-Unis, pour avoir survendu les bénéfices de ses produits et de son modèle de gains.
Entre les promesses de croissance de cheveux, d’ultra-énergie et de disparition de toutes tes rides, tu te retrouves avec le même effet qu’un expresso trop serré : l’excitation retombe aussi vite qu’elle est montée, et tu es toujours chauve.
En France, le MLM est une industrie à environ 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires, mais l’essentiel des profits va aux quelques personnes au sommet.
Combien je vais empocher grâce au MLM ? (Dis, dis !)
Les données sont claires : la très grande majorité des participants au MLM ne parvient pas à tirer un revenu régulier. Selon certaines études, moins de 1 % des recrues atteignent des gains supérieurs au SMIC.
Si tu arrives parmi les premiers et que tu as d’excellentes compétences en vente/recrutement, tu peux viser des revenus autour de 10 000 à 50 000 € par an, voire plus pour les tops leaders. Mais soyons réalistes : cela concerne une infime minorité (et tu y laisseras probablement ta conscience).
Comment se former au MLM ?
De nombreux MLM proposent des apprentissages en interne. Tu y comprendras comment convertir un ami en victime, comme tu le fus toi-même… Bon, j’exagère, il y a aussi certainement des entreprises de MLM éthiques… mais je n’en connais malheureusement pas personnellement.
Dans tous les cas, certaines compétences sont indispensables :
- Vente et persuasion — c’est la base, car tu devras convaincre les gens d’acheter et de te rejoindre.
- Leadership — piloter une équipe, motiver tes recrues et les former.
- Networking — avoir un gros carnet d’adresses pour enrôler facilement.
- Marketing digital — essentiel pour promouvoir en ligne, notamment sur les réseaux sociaux.
- Gestion du stress et résilience — le MLM est compétitif et beaucoup abandonnent en cours de route.
Comment se lancer rapidement dans le MLM ?
Choisis une bonne entreprise MLM, avec des produits de qualité. S’il te plaît, si tu veux rester une personne droite et fière de ce que tu vends, teste ces offres toi-même, avec assiduité. Si tu avais honte de le refourguer à ta mère, c’est qu’il y a un souci. Et puis, vérifie si la société est bien établie et conforme à la législation française.
Les premières transactions se feront souvent auprès de tes proches. Renseigne-les bien et ne leur force pas la main.
Ensuite, automatise tes recrutements via les réseaux sociaux : un bon personal branding sur Instagram, TikTok ou Facebook te permettra d’embrigader efficacement.
Comment réussir sur le long terme en MLM ?
Les risques : Le MLM se transforme généralement en cauchemar. Tu pourrais te retrouver avec des stocks de produits invendables si ton réseau ne grossit pas. Pire, les relations avec tes proches peuvent en pâtir si tu insistes trop pour les mobiliser.
Pérennité : Peu de participants en font une carrière viable. Pour un succès durable, il te faudra un énorme réseau actif. De plus, la plupart des groupes MLM ont une courte espérance de vie, elles se réinventent souvent ou s’effondrent, emportant avec elles les rêves de beaucoup.
Évolution : Par contre, si tu réussis, tu peux acquérir des compétences solides en vente, marketing et leadership, qui te seront utiles dans d’autres secteurs. Par exemple, tu pourrais devenir coach en développement personnel ou créer ton propre business. (Peut-être pas en MLM, n’est-ce pas ?)
Comment te lancer dans le MLM tout de suite ?
- Fais une recherche approfondie sur des entreprises MLM en France.
- Participe à des réunions d’information pour voir comment fonctionnent ces sociétés.
- Ne t’engage pas à la légère. Prends le temps de vérifier la légalité et la viabilité de l’établissement.
- Teste avec soin les produits toi-même avant de les promouvoir.
Les dropshippers qui vendent de la m… dans du papier doré
Le dropshipping, c’est quand tu vends des produits sans les avoir en stock. Ton boulot ? Trouver des fournisseurs, afficher leurs marchandises sur ta boutique et, quand un utilisateur achète chez toi, tu commandes directement au fabricant qui livre le client. Sauf qu’il y a une version moisie du dropshipping, celle qui consiste à refourguer des objets à deux balles à des tarifs exagérément gonflés.
Dans cette version borderline, on te promet souvent de devenir riche en commercialisant des babioles dénichées sur des sites comme AliExpress à des prix 10 fois supérieurs. Le problème ? Ces produits sont forcément de piètre qualité, ce qui mène à une avalanche de plaintes clients, des retours de marchandises, voire des complications juridiques.
Exemple concret : Tu vois ces sites qui te vendent un gadget de cuisine révolutionnaire à 50 €, alors que tu le trouves à 3 € sur des marketplaces chinoises ? Voilà.
Satisfaction des acheteurs en dropshipping
Source : Fevad (Fédération du e-commerce)
Quelles sommes vais-je récolter avec ces techniques de Dropshipping borderline ?
Dans la version moisie, les marges sont souvent énormes au début : certains gagnent 10 000 €, voire plus… jusqu’à ce que ça explose. Ce modèle est une bombe à retardement. À moyen terme, le nombre de plaintes, la gestion des retours et les risques légaux te coûteront bien plus que tu n’auras empoché.
La rentabilité est de courte durée, généralement quelques mois avant que la réputation de la boutique ne soit ruinée. À long terme, avec les remboursements et les frais publicitaires, le bénéfice est fréquemment presque nul ou négatif.
Quelles compétences nécessaires pour du dropshipping non éthique ?
Un minimum de savoir-faire en marketing digital pour attirer les gogos sur ton magasin, exploiter les réseaux sociaux et la pub en ligne.
Ne pas avoir de vergogne est un plus non négligeable, sinon il va falloir que tu t’accroches pour supporter la vague de clients mécontents.
Après, il y a des solutions pour te former, mais soyons sérieux : je ne vais pas te diriger vers ça ! Tu pourras, plus loin, découvrir comment construire la version éthique du dropshipping ainsi que du e-commerce plus classique.
Vendre de la m… à prix d’or, ça me mènera où ?
Honnêtement, dans sa variante moisie, cette activité te conduit droit dans le mur. Tu ne peux pas t’appuyer sur ce modèle pour bâtir un business durable. À la longue, tu devras faire face à une horde d’acheteurs furieux, des fermetures de comptes PayPal ou Stripe, et peut-être même des poursuites.
Si tu veux persister dans le dropshipping, passe à une version éthique : vends des produits de qualité, miser sur la satisfaction client, voire même envisage un magasin avec du stock. C’est plus lent à démarrer, mais ça te garantit un succès durable.
Les ShitCryptos et ShitNFTs
Les NFTs (non-fungible tokens) et certaines cryptomonnaies sont des technologies qui font beaucoup de bruit, parfois pour les mauvaises raisons.
- Les NFTs sont des certificats numériques uniques, souvent utilisés pour authentifier des œuvres d’art digitales ou des objets de collection.
- Les cryptomonnaies, quant à elles, sont des devises numériques décentralisées basées également sur la technologie blockchain.
Cependant, derrière ces termes qui peuvent sembler techniques et prometteurs se cache une réalité bien plus sombre : les arnaques aux shit cryptos et shit NFTs. 💩
Comment ça marche ?
Les shits cryptos (parfois associées aux cryptos memes, bien que toutes les cryptos memes ne soient pas nécessairement des escroqueries) sont le plus souvent des cryptomonnaies créées à la va-vite, avec des annonces de rendement astronomique. Elles sont lancées avec beaucoup de hype (buzz) sur les réseaux sociaux, souvent par des influenceurs douteux qui présagent un « pump », c’est-à-dire une montée rapide du prix.
Derrière cette hype, des groupes bien organisés s’accordent pour acheter massivement la cryptomonnaie pour faire grimper sa valeur artificiellement. Puis ils revendent tout en une fois quand le cours est à son maximum, ce qu’on appelle le « dump ».
Résultat : le prix s’effondre et les investisseurs naïfs perdent tout leur argent. Ce genre d’opération est connu sous le nom de Pump and Dump.
Quant aux NFTs pétés, ils reposent sur un schéma similaire. On crée un NFT sans réelle valeur artistique ou utilitaire, mais on lui donne artificiellement une aura de rareté ou d’exclusivité. Ensuite, on fait monter son prix avec des enchères fictives ou un battage médiatique forcé, pour finalement laisser les acheteurs avec un actif numérique qui ne vaut pas un rond.
Exemples :
- La fameuse cryptomonnaie Squid Game Token, inspirée de la série Netflix, a escroqué des milliers de personnes avant que ses créateurs ne disparaissent avec les fonds.
- Des NFT de « collections uniques » vendus pour plusieurs centaines de milliers d’euros qui finissent par n’intéresser personne une fois l’engouement retombé.
80 % des nouveaux projets NFT créés après 2021 ont perdu plus de 90 % de leur valeur après six mois.
Quels revenus espérer avec des shits cryptos ?
Si tu n’es pas un initié ou si tu ne fais pas partie des groupes organisés qui manipulent ces cryptos ou NFTs, les chances de réaliser des profits sont proches de zéro. La plupart des gens se font plumer rapidement, surtout les novices. Si tu veux vraiment investir dans les cryptomonnaies, autant rester sur des valeurs moins dangereuses — même si le risque zéro n’existe pas — comme le Bitcoin (BTC), l’Ethereum (ETH) ou d’autres cryptos établies.
Combien de temps est-il nécessaire pour toucher des pépettes avec les shitcoins ?
- Temps pour gagner de l’argent : Moins de 48 heures, si tu fais partie du cercle restreint qui manipule le marché.
- Temps pour perdre tout ton argent : Quelques heures à peine après que la bulle se soit dégonflée.
- Revenus espérés : Pour un novice, 99 % de chances de gaspiller ta mise initiale. Les rares qui l’emportent sont généralement ceux qui sont aux commandes du « pump ».
En 2021, les fraudes liées aux cryptomonnaies ont coûté près de 14 milliards de dollars aux investisseurs à travers le monde.
Que dois-je savoir sur ce marché spéculatif de cryptos memes ?
Si tu veux vraiment te lancer dans ces secteurs sans te faire avoir, il te faut comprendre les mécanismes de la blockchain, lire attentivement les whitepapers (documents techniques des cryptos) et faire une veille constante des marchés financiers et des tendances. Tu dois avoir la capacité de repérer une manipulation de marché.
Comment te former sur le sujet ?
Suis des cours sur la blockchain, la finance décentralisée (DeFi) et le placement en cryptos sur des plateformes fiables comme Binance Academy ou Ledger Academy. Évite les influenceurs « crypto-gourous » qui te vendent du rêve.
Comment se lancer rapidement dans les meme tokens ?
Si tu es toujours tenté de t’y plonger malgré les risques, voici quelques conseils pour ne pas te faire avoir dès le début :
- Investis uniquement l’argent que tu es prêt à perdre. Considère que c’est un billet de loterie.
- Vérifie chaque projet. Si personne ne filtre qui est derrière la cryptomonnaie ou le NFT, fuis.
- Ne suis pas aveuglément les tendances des réseaux sociaux. Trop d’influenceurs sont payés pour pomper des projets sans réelle valeur.
- Rejoins les groupes de manipulation (Pump & Dump) avec prudence. Ces groupes se trouvent souvent sur des plateformes comme Telegram ou Discord, mais sache qu’ils sont illégaux dans beaucoup de pays et que tu risques de perdre tout ton investissement si tu n’es pas dans le petit cercle des initiés.
Comment réussir sur le long terme en achetant des shitcryptos ?
Honnêtement, prospérer dans ce type de plan borderline est un pari très hasardeux. C’est un monde où les requins mangent les poissons rouges. Si tu veux sérieusement investir dans la crypto ou les NFTs, oriente-toi plutôt vers des modèles solides, avec des équipes transparentes, des objectifs clairs et une vraie utilité.
Par exemple, SEI et Cronos ont des ambitions rationnelles, notamment dans l’amélioration des infrastructures de blockchain et l’adoption à grande échelle, ce qui peut les rendre pertinents.
Il est toujours recommandé de se former dans le domaine en apprenant à bien connaître les acteurs qui cherchent à assainir le secteur avec des projets réellement impactants. Reste prudent, effectue tes propres vérifications, et assure-toi de diversifier tes investissements pour limiter les risques.
L’expérience que tu peux acquérir dans l’analyse des marchés peut te servir à repérer de vrais programmes à long terme. En revanche, continuer à jouer avec des shits cryptos ou des NFTs douteux te mènera droit dans le mur.
Quelle action réaliser tout de suite si le monde des meme coins m’intéresse ?
Si, malgré tout, tu veux tenter l’aventure, commence par :
- Te former sérieusement à la blockchain et aux cryptos sur des plateformes fiables.
- Suivre des communautés de vraies personnes passionnées par la technologie, et non par les profits rapides.
- Ne jamais investir de l’argent que tu n’es pas prêt à perdre. (J’insiste.)
- Observer le marché sans rien engager pendant plusieurs mois pour comprendre les tendances et repérer les arnaques.
Les arnaques à l’investissement
Les plateformes d’investissement suspectes sont le résultat d’une promesse alléchante : des rendements incroyablement élevés, souvent garantis, et dans des délais très courts. Qui n’a jamais rêvé de voir ses économies doubler en une semaine, sans lever le petit doigt ? Si tu penses que c’est trop beau pour être vrai… je ne vais pas te contredire ici !
Comment se faire arnaquer avec des offres d’investissement magique ?
Le modèle de ces plateformes repose sur des annonces de gains rapides et impressionnants, en échange d’un placement initial. Parfois, elles affirment utiliser des algorithmes sophistiqués, comme des « robots de trading », capables de prévoir les fluctuations du marché mieux que quiconque. On te garantit de l’argent accumulé sans effort, grâce à une intelligence artificielle surpuissante, des stratégies secrètes, ou des équipes d’experts qui travaillent pour toi. Mais, en réalité, beaucoup de ces structures n’ont aucun fondement solide.
Les arnaques les plus connues sont les robots de trading bidons, les pyramides Ponzi, et les plateformes de cryptoactifs douteuses. Le schéma Ponzi, par exemple, fonctionne tant que de nouveaux pigeons entrent dans la danse, ce qui permet de payer des intérêts aux anciens. Le jour où le flux se tarit, tout s’effondre. (Coucou les MLM dont on a parlé un peu plus tôt !)
Quelques exemples de montages ayant été démasquées sont BitConnect, qui a fait perdre des millions aux investisseurs, ou PlusToken, une escroquerie crypto d’envergure mondiale.
Selon l’AMF (Autorité des Marchés Financiers), les arnaques à l’investissement ont explosé ces dernières années, avec des pertes estimées à plus de 500 millions d’euros en France en 2022.
Quels revenus espérer grâce à ces placements aux promesses incroyables ?
Soyons honnêtes : avec ces plateformes, il vaut mieux s’attendre à la ruine. Bien sûr, certaines personnes peuvent gagner de l’argent — en particulier au début, car l’escroc cherche à te donner confiance. Mais, avec le temps, c’est quasi inévitable : les pertes surpassent largement les profits. L’annonce de rendements de 50 %, 100 %, voire plus en quelques jours est fréquemment la première alerte. La réalité est que ces taux sont utopiques sur le long terme sans prendre des risques considérables.
90 % des victimes de fraudes ne récupèrent jamais leurs deniers, car il est souvent envoyé à l’étranger et rendu introuvable.
Comment ne pas se faire arnaquer quand on veut investir ?
Pour éviter d’être piégé quand on désire placer son pécule, la première compétence à acquérir est la méfiance. Savoir flairer l’imposture et poser les bonnes questions est primordial.
Tu peux aussi suivre des formations en ligne qui enseignent les bases des finances personnelles, comme celles dispensées par l’Institut pour l’éducation financière du public.
Piratage et activités illégales en ligne
Ces méthodes se basent sur des actions illégales et non éthiques, visant à soutirer de l’argent ou des données par des moyens frauduleux. Non, non, tu n’es pas dans « Mr Robot » ! Ce ne sont pas des Robin des bois, mais des criminels qui provoquent beaucoup de souffrances. Voici un aperçu des pratiques courantes.
Le phishing
C’est l’art du leurre. Des escrocs envoient des courriels ou des messages imitant ceux d’organismes de confiance (banques, entreprises connues, services publics) dans le but de récupérer des informations sensibles : identifiants, mots de passe, coordonnées bancaires, etc. En gros, ils t’attirent dans leur filet pour te dépouiller. Fais ainsi très attention avant de cliquer un lien dans un e-mail.
Le phishing est si courant qu’on estime qu’environ 36 % des entreprises françaises ont été victimes de ce type de fraude en 2022. Un exemple marquant est celui de l’attaque contre TV5 Monde en 2015 : la chaîne a été la proie d’un piratage massif et ses comptes sur les réseaux sociaux ainsi que ses émissions en direct ont été bloqués par des hackers. L’objectif ? Obtenir une rançon.
Le piratage et le vol de données
Cela va du piratage de comptes de particuliers pour leur voler des renseignements bancaires au hacking de systèmes d’entreprises pour dérober des informations confidentielles.
Certains hackers bloquent même les supports informatiques avec des rançongiciels et demandent une rançon pour dégeler l’accès aux données. L’impact est catastrophique : 60% des PME victimes d’une attaque cessent leurs activités dans les 6 mois.
COÛTS
DES
RANSOMWARES
EN 2031!
En 2017, une cyberattaque nommée WannaCry a paralysé des milliers de compagnies et institutions dans le monde, exigeant des paiements en Bitcoin pour déverrouiller les systèmes infectés.
Les arnaques sentimentales (brouteurs)
Ici, des escrocs se font passer pour de belles jeunes femmes et entament des conversations en ligne avec des hommes vulnérables et isolés. Ils les séduisent et inventent des histoires pour leur soutirer des fonds : « Je t’aime tellement, mais je n’ai pas l’argent pour le billet d’avion afin de te rejoindre ! ❤️ » C’est vach’ment noble d’exploiter la solitude des victimes, non ?
Le vol de contenu en ligne
Sur TikTok, Instagram ou YouTube, des utilisateurs volent des vidéos, des stories, ou des carrousels d’influenceurs pour les monétiser sur leur propre compte. 🤬
Ce n’est pas un hasard si ces comptes gagnent rapidement en visibilité : ils exploitent le travail d’autrui sans vergogne. Certains « formateurs » peu scrupuleux te montrent même comment faire ! Ce n’est ni plus ni moins que du pillage éhonté.
👉 Et ça ne s’arrête pas là ! Un autre phénomène tout aussi illégal consiste à acheter des formations en ligne puis à les revendre sans autorisation. Cette pratique, bien plus répandue qu’on ne le croit, est passible de lourdes sanctions.
⚠️ Quels risques pour ceux qui volent du contenu ?
- Article L122-4 du Code de la propriété intellectuelle : « Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit est illicite. »
- Article L335-2 : « Toute contrefaçon est un délit, passible de trois ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende. »
En plus des sanctions pénales, les contrevenants s’exposent à des poursuites civiles et au paiement de dommages et intérêts pour le préjudice causé aux créateurs.
❗ Alors, si tu envisages de revendre une formation ou d’utiliser du contenu d’autres personnes sans leur autorisation, sache que c’est à la fois immoral et risqué. Tu pourrais te retrouver face à des sanctions lourdes et des amendes qui ruineront bien plus que ta réputation.
Un moyen facile de devenir riche ?
Ouais… Ouais… Tu peux aussi voir chez Adecco s’il y a des missions de braquage puisque tu y es ! Sache que c’est au niveau équivalent d’illégalité.
Alors, oui : certains pirates peuvent amasser des sommes colossales en peu de temps (les ransomwares demandent des montants allant jusqu’à plusieurs millions d’euros), mais cela se fait au prix de risques énormes.
On parle ici de peines de prison, d’amendes faramineuses, et d’une traque internationale des autorités. Et puis, j’espère que tu aimes la chaleur, car l’enfer t’attend ! 😈
Les attaques par ransomware ont coûté aux entreprises mondiales près de 20 milliards de dollars en 2021, et ce chiffre ne cesse d’augmenter.
Ouais, mais « republier » des vidéos d’influenceurs, ça va, c’est pas grave ?
Le vol de contenu, quant à lui, peut permettre de s’assurer un rendement rapide grâce à la monétisation des vidéos, via TikTok par exemple. Mais les risques sont loin d’être insignifiants : non seulement tu t’exposes à des poursuites pour violation des droits d’auteur, mais tu peux aussi être banni définitivement des plateformes.
Conseils pour te protéger
Éduque-toi plutôt sur la cybersécurité pour te protéger de ce genre d’arnaque. Tu peux suivre des formations gratuites en ligne sur les bases de la sécurité informatique, et même les entreprises doivent sensibiliser leurs employés pour éviter les piratages.
Les vraies activités professionnelles en ligne qui sont accessibles à tous (ou presque)
Ah, enfin ! On attaque la partie qui me plaît vraiment, celle qui me fait vibrer et qui devrait aussi t’enthousiasmer. Ici, il ne s’agit ni de zone grise ni d’argent de poche : on est dans le vrai, dans le dur ! C’est avec ces idées que tu vas concrètement pouvoir gagner ton indépendance financière.
Alors certes, ça va te demander un travail sérieux, beaucoup d’heures passées à apprendre, à te dépasser. Certes aussi, même si certaines activités sont plus sûres que d’autres, ce ne sera pas toujours un succès du premier coup ! Eh non, la liberté, ça se mérite. Il te faudra accepter chaque difficulté, chaque échec, pour t’appuyer dessus afin de construire ta réussite à force d’efforts.
Si tu es prêt ou prête à faire les sacrifices nécessaires, il y a de fortes chances que ce soit ici que se trouve la porte de sortie pour quitter une vie qui ne te correspond plus. 💪
Se lancer dans l’e-commerce
On commence assez logiquement cette partie avec le commerce en ligne. Après tout, ça a été notre activité principale pendant plus de 11 ans, de 2005 à 2016. À l’époque, créer une boutique en ligne était autrement plus complexe. Aujourd’hui, si – par exemple – tu es passionné par les chaussettes en laine de yak, tu peux transformer cela en véritabe business en un véritable business en quelques jours seulement.
Selon la Fevad, le chiffre d’affaires du commerce électronique en France a atteint plus de 146 milliards d’euros en 2022, avec une croissance annuelle de 15 %.
Deux options s’offrent à toi : soit tu gères ton propre stock, soit tu choisis le dropshipping, où ton fournisseur s’occupe de l’envoi directement au client.
- En administrant ton approvisionnement, tu achètes des produits en gros, tu les entreposes chez toi (ou dans un dépôt), et tu les expédies toi-même. Cela te permet de mieux contrôler la qualité, mais cela demande de l’investissement, de la place et une dose plus élevée de risque ! Si tu ne vends pas ton stock de peluches qui empêchent de ronfler, tu auras les cadeaux de Noël à destination de toute ta famille pour les 132 années à venir !
- Le dropshipping élimine ces contraintes logistiques : tu n’as besoin que d’un site Web et ton fournisseur s’occupe du reste. Pratique, non ? Mais attention à ne pas tomber dans le dropshipping moisi, tel qu’on l’a vu plus tôt.
Le dropshipping représente environ 25 % des nouvelles boutiques créées sur Shopify.
Quelles marges dans l’e-commerce ?
Avec ton propre stock, tu peux espérer des profits de 30 à 50 % (après avoir payé tes frais d’entreposage, d’envoi, etc.). En livraison directe, tes marges seront plus basses, autour de 20 à 30 %, car tu ne gères ni le stock ni la logistique.
Et combien de temps pour des revenus stables avec une boutique en ligne ?
Compte entre 6 mois et un an. Tout dépend de ton travail sur le référencement naturel, les publicités et la fidélisation client. Ne rêve pas de devenir millionnaire du jour au lendemain, mais avec persévérance, ça a de fortes chances de payer.
Comment réellement réussir dans le commerce en ligne ?
Le choix des produits est une étape primordiale pour assurer le succès de ta boutique. Sélectionner les bonnes marchandises te permet de te démarquer de la concurrence et d’attirer les prospects. Pour dénicher ces perles rares, il est essentiel d’analyser les tendances du marché et d’utiliser des sites spécialisés tels que Google Trends, qui te montre les recherches populaires, ou des ressources comme BigBuy et SaleHoo, où tu peux voir quels biens se vendent le mieux. Dsers ou Jungle Scout peuvent également t’aider à identifier des produits rentables et à évaluer la compétition. L’idée est de trouver un produit de niche qui n’est pas trop saturé et qui répond à une demande réelle, afin de maximiser tes chances de succès.
Ensuite, choisis une plateforme pour héberger ta boutique : souvent Shopify ou WooCommerce. N’oublie pas de créer un site Web attrayant. C’est ta vitrine virtuelle, alors rends-la aussi attirante qu’une pizza gratuite un vendredi soir. Gère ton inventaire comme un dragon garde son trésor, en ayant un œil sur ce qui se vend bien et ce qui prend la poussière. Enfin, offre un service client impeccable. Traite chaque prospect comme s’il était ta grand-mère. (Oui, des fois elle est ch***, mais tu l’aimes quand même !)
Il te faudra aussi avoir au moins des bases en marketing digital, notamment pour la publicité sur Facebook ou Google Ads. Parfois, ce sont les réseaux sociaux qui attireront tes acheteurs, par exemple avec des vidéos virales sur TikTok. Avec ces compétences, tu pourras bien démarrer et gérer efficacement ton activité.
Ensuite, des notions de SEO sont importantes pour optimiser ta boutique et drainer du trafic organique, ainsi que l’utilisation d’outils d’automatisation pour gagner du temps. Cela te permettra de rendre ton shop plus visible et de t’assurer que tout fonctionne de manière fluide.
Le service client est également essentiel. Rappelle-toi que chaque interaction est une opportunité de transformer un acheteur mécontent en fan inconditionnel. Réponds aux messages plus vite qu’un adolescent sur Snapchat, et avec autant d’enthousiasme qu’un chien voyant son maître rentrer du travail. N’hésite pas à personnaliser tes missives. Et n’oublie pas, un client satisfait est un client qui reviendra. Alors, traite-les comme des rois… ou au moins comme des ducs.
Pour te former, tu peux suivre les leçons offertes de Shopify Academy qui t’aideront à monter ton site Web étape par étape. Udemy propose également des cours complets sur le dropshipping et l’e-commerce, et YouTube regorge de tutos gratuits qui te permettront de te vite démarrer.
Comment se lancer rapidement dans l’e-commerce ?
Choisis un produit de niche (évite les gadgets vus partout) et développe ta boutique sur Shopify ou WooCommerce. Intègre les bons outils (pour la logistique et les paiements), puis diffuse des publicités ciblées (sur Facebook ou Instagram) pour tester la réaction de l’audience
Comment réussir sur le long terme dans le commerce en ligne ?
L’e-commerce est une activité pérenne, mais qui évolue sans cesse. Pour briller, il te faudra :
- Trouver les bons produits et concevoir les bonnes offres.
- Créer une ou des boutique(s) avec une vraie identité et un UI/UX moderne.
- Développer tes compétences en marketing.
- Soigner ton service client aux petits oignons : un acheteur fidèle en vaut deux.
- Utiliser des stratégies de communication par courriel pour multiplier les ventes.
Si tu gères bien, tu pourras diversifier tes propositions ou te lancer dans des marchés internationaux. Toutefois, attention : si tu distribues des produits cheap en dropshipping, tu vas vite te retrouver avec des usagers mécontents et un business qui fait « pschiiit ». Donc, vends du qualitatif.
Quelle action réaliser tout de suite si l’e-commerce m’intéresse ?
Tu peux agir dès maintenant ! Pour t’entraîner, inscris-toi gratuitement sur Shopify Partners et conçois des boutiques sans les mettre en ligne au départ, afin de te familiariser avec la plateforme en suivant les formations officielles disponibles sur Shopify Academy. Ensuite, sélectionne ton produit de niche en étudiant les tendances, crée ton site Web, et lance-toi !
Vendre le fruit de ta créativité
Commercialiser tes créations artisanales, c’est transformer tes talents manuels en source de revenus. Que tu tricotes des écharpes pour girafe (bon, la niche est restreinte tout de même, hein), fabriques des bijoux en perles ou dessines des motifs uniques pour des t-shirts, tu peux les vendre en ligne. Le modèle d’affaires varie selon ce que tu proposes.
Print-on-Demand (POD)
Avec des plateformes comme Printful, Redbubble ou Amazon Merch, tu conçois des designs (dessins, phrases, illustrations) et l’entreprise se charge de l’impression à la commande (t-shirts, mugs, sacs, etc.). L’avantage ? Aucun stock à gérer, pas de logistique lourde, tu crées et tu laisses faire.
Le marché du print-on-demand croît de 12 % par an selon Grand View Research, une belle perspective pour les designers !
Artisanat classique
Si tu préfères commercialiser des objets physiques que tu fabriques toi-même (macramé, bijoux faits main, céramique, etc.), des sites comme Etsy, Fait-Maison ou Un Grand Marché permettent de distribuer tes œuvres auprès d’une audience de passionnés de fait-main.
En 2023, Etsy a enregistré plus de 96 millions d’acheteurs actifs.
Combien de pépettes je peux mettre dans la popoche en créant des produits artisanaux ?
Le revenu dépend beaucoup de ce que tu proposes et de ce que tu investis dans la promotion. Voici des estimations :
- Print-on-demand : avec un bon design et un marketing ciblé, tu peux espérer entre 2 et 10 € par vente, selon les marges que tu choisis. Avec de la régularité et une boutique bien fournie, atteindre 200 à 500 € mensuellement est raisonnable, mais cela peut réclamer entre 3 à 6 mois.
- Productions artisanales : les revenus sont plus variables. Un vendeur moyen sur Etsy gagne environ 300 à 500 € par mois après un an, mais les plus créatifs et ceux qui investissent en publicité peuvent rapidement monter à bien plus de 1000 € par mois. Là encore, cela peut prendre du temps pour obtenir une cadence constante.
Pas besoin de connaître le marketing pour commercialiser des produits artisanaux en ligne ?
Hmm, en fait… si ! Des bases dans le marketing digital sont nécessaires pour presque toutes les façons de se construire un salaire en ligne. C’est d’autant plus vrai avec un site intégrant Printful ou Printify pour lequel SEO, publicité et réseaux sociaux seront certainement indispensables.
Dans tous les cas, il faudra apprendre pour produire de la qualité, bien communiquer et gérer un peu de technique.
Comment se former pour le print-on-demand ou la vente sur Etsy & Co. ?
YouTube regorge de tutoriels gratuits sur la création de designs, notamment avec Canva ou Photoshop.
Les plateformes elles-mêmes (Etsy, Redbubble) proposent souvent des cours ou guides pour t’aider à débuter.
La création artisanale est-elle une solution pérenne de gagner sa vie ?
Cela te demandera de créer toujours de nouveaux modèles et de suivre les tendances. Ça peut être très rentable, mais bien difficilement scalable : tu ne peux que rarement « te sortir de l’équation ». Il te faudra produire pratiquement chaque jour.
Si tu es régulier dans tes réalisations et que tu investis du temps dans la promotion, cette activité peut devenir durable. Pour le print-on-demand, les possibilités sont nombreuses : concevoir des collections, collaborer avec des influenceurs, ou même ouvrir ta propre boutique en ligne indépendante avec Shopify, par exemple.
Pour l’artisanat : avec de l’expérience, tu peux envisager d’élargir ton catalogue, participer à des marchés ou impliquer d’autres créateurs.
Attention, si tu te lances uniquement pour gagner de l’argent sans passion pour la création, tu t’essouffleras vite.
Quelle action réaliser tout de suite si le POD ou la vente de fait-main m’intéresse ?
- Crée un compte sur Etsy ou Printful.
- Prépare tes premiers produits ou designs.
- Mets-les en ligne, partage ton lancement sur les réseaux et regarde les premières ventes arriver !
NB : Si tu te demandes si l’on a testé cela aussi, eh bien oui ! Tu peux d’ailleurs visiter notre boutique dédiée ci-dessous.
Commercialiser des produits à télécharger
Concevoir des produits digitaux, c’est proposer des fichiers téléchargeables que les internautes peuvent acheter et utiliser immédiatement. C’est un business sans stock, sans envois physiques, mais qui nécessite un travail de création initial souvent sous-estimé. Les produits digitaux peuvent aller d’un simple template à des plugins ou des thèmes de sites Web.
Exemples de produits digitaux à vendre
- Templates Canva : modèles pour posts réseaux sociaux, présentations, etc.
- Templates Web : modèles de pages Internet prêtes à l’emploi (HTML, CSS, Bootstrap, etc.).
- Thèmes WordPress : thèmes professionnels ou personnalisés pour des sites.
- Plugins Photoshop : filtres, effets ou fonctionnalités supplémentaires pour le logiciel.
- Réglages Lightroom : presets pour retoucher facilement des photos.
- Produits en PLR (Private Label Rights) : contenus que tu peux acheter, modifier et revendre comme les tiens (ebooks, articles de blog, etc.).
- Fichiers Notion : outils pour organiser son travail ou ses projets.
- Presets de musique ou sound effects : pour les producteurs de contenu audio ou vidéo.
- Polices de caractères : concevoir et commercialiser des typographies originales.
- Mockups : maquettes pour présenter des marchandises de manière professionnelle.
- Photos libres de droits : distribution de tes propres clichés que les entreprises ou créateurs peuvent utiliser sans restriction (sur des sites comme Shutterstock, Adobe Stock, etc.).
- NFTs (Non Fungible Tokens) : œuvres d’art numériques, animations ou tout autre fichier digital transformé en NFT pour être vendu sur la blockchain.
Plateformes pour vendre des produits digitaux
- Gumroad : super facile à utiliser pour tous types d’offres à télécharger.
- Etsy : très populaire pour les templates et les fichiers créatifs.
- Sellfy : solution e-commerce dédiée aux produits digitaux.
- Creative Market : idéal pour exposer des assets créatifs (templates, polices, etc.).
- Envato Market : plateforme consacrée aux thèmes WordPress, plugins, modèles et autres ressources.
- Adobe Stock : pour proposer des photos et vidéos libres de droits.
- OpenSea : site spécialisé dans la vente de NFTs.
Produit | Difficulté de création | Demande/Lucrativité |
Templates Canva | ⭐ | 💵💵 |
Templates Web | ⭐⭐⭐ | 💵💵💵💵 |
Themes WordPress | ⭐⭐⭐⭐ | 💵💵💵💵 |
Plugins Photoshop | ⭐⭐⭐⭐ | 💵💵💵 |
Réglages Lightroom | ⭐⭐ | 💵💵 |
PLR (ebooks, articles) | ⭐ | 💵💵 |
Fichiers Notion | ⭐⭐ | 💵💵💵 |
Presets de musique/sound effects | ⭐⭐ | 💵💵 |
Polices de caractères | ⭐⭐⭐⭐ | 💵💵💵 |
Mockups | ⭐⭐ | 💵💵💵 |
Photos libres de droits | ⭐⭐ | 💵💵 |
NFTs | ⭐⭐⭐ | 💵💵💵💵 |
Combien vendre des produits digitaux ?
Les revenus dépendent du produit et de la niche choisie. Voici une estimation :
- Templates : 5 € à 50 € par vente.
- Thèmes WordPress : entre 30 € et 100 € selon la complexité et les options.
- Plugins Photoshop/Lightroom : entre 10 € et 50 €.
- PLR : faible tarif (entre 1 € et 20 €), mais forte possibilité de volume.
- Polices de caractères : 10 € à 50 €.
- Presets de musique : 5 € à 30 €, en fonction de la qualité et de la spécialisation.
- Photos libres de droits : entre 0,25 € et 10 € par téléchargement, selon la plateforme et l’attrait des clichés.
- NFTs : les prix des NFTs varient énormément, allant de quelques dizaines à plusieurs milliers d’euros, selon la rareté, la notoriété de l’artiste et la demande.
Quelles sont les conditions pour réussir la vente de produits digitaux ?
Pouvoir les concevoir, déjà ! Bon, ça c’est « obvious »… Mais, encore et toujours, tu as la nécessité de savoir vendre : cela passe par le copywriting et la maîtrise du marketing Web.
Mais surtout, tu dois comprendre les attentes de ta niche pour inventer des solutions qui répondent à un besoin réel.
Comment apprendre à créer des produits digitaux ?
Suis des tutoriels sur YouTube pour les outils de conception. Mieux : investis dans des formations spécialisées. Par exemple, des cours sur Tuto ou Udemy pour développer tes aptitudes sur Photoshop, des astuces sur Canva et la création de polices.
Comment créer mon premier produit numérique ?
- Choisis un produit à télécharger qui correspond à tes compétences actuelles.
- Fais une petite étude de marché : regarde ce qui est recherché sur les plateformes (Gumroad, Etsy, etc.).
- Crée un prototype.
- Ouvre un compte sur un site spécialisé comme Gumroad ou Creative Market et mets en ligne rapidement.
Comment développer mon cashflow avec la vente de produits numériques ?
Pour réussir, il est essentiel de suivre les tendances de ta niche et de fournir des conceptions de qualité. Renouvelle ton offre régulièrement, améliore-la avec les retours des utilisateurs et pense à automatiser une partie de ton marketing (comme des tunnels de capture ou des campagnes d’emailing).
Évolutions possibles
- Instaurer un abonnement où tu proposes de nouveaux produits chaque mois à tes clients.
- Travailler en collaboration avec d’autres créateurs pour élargir ton catalogue.
- Développer des cours en ligne complets pour enseigner tes compétences. (On en parle juste dessous ⤵️)
Devenir formateur en ligne
Ah, les cours en ligne ! Le rêve de tout expert qui souhaite partager sa passion pour la collection de bouchons de bouteilles. C’est l’occasion parfaite de transformer ton savoir en une source de revenus, tout en restant confortablement en caleçon. Prépare-toi à devenir le Yoda du Web, transmettant ta sagesse à des padawans virtuels avides de connaissances et prêts à payer pour apprendre de toi.
Où vendre des formations en ligne ?
Ton propre site
C’est la principale solution que l’on a choisie avec notre boutique de Formations Famille Nomade Digitale. Nous utilisons WordPress avec WooCommerce Memberships et WPComplete. Mais il existe aussi des plugins LMS (Learning Management System) comme LearnDash. WordPress est un système flexible et rassurant : on est chez nous ! L’indépendance et la liberté sont nos valeurs fondamentales. Dépendre d’une plateforme pour notre business majeur ne nous satisfait pas. Mais, c’est vrai, cela demande un peu de compétences en gestion de site Web, et tu devras intégrer des outils pour la vente, tels que WooCommerce. Si tu aimes mettre les mains dans le cambouis, c’est parfait !
Les hébergements spécialisés
Tu peux aussi passer par des outils comme LearnyBox, Podia ou Systeme.io. C’est ce dernier que l’on utilise pour administrer nos campagnes e-mailing et certains tunnels de capture. Nous y hébergeons parfois des petits produits de formation. Tu es également chez toi, tu fixes tes prix, et les marges sont plus confortables (pas de commission sur les ventes). Mais si les conditions et les fonctionnalités changent, tu dois t’adapter. Et puis, tu devras toi-même régir toute la partie promotion et technique, sans parler du service client. Malgré tout, Systeme.io est assez facile à gérer et a un très bon rapport qualité-prix.
Les plateformes spécialisées dans l’apprentissage
Les principales sont Udemy et Tuto.com. Tu y publies ton cours et ces sites te permettent de toucher une large audience. Le gros plus ? Ils s’occupent du marketing à ta place (plus ou moins). L’inconvénient ? Ils prennent une belle part du gâteau, parfois jusqu’à 50 %, voire plus si des promos sont appliquées. Nous utilisons aussi ces plateformes pour des produits d’appel et j’aime particulièrement la solution française Tuto.com pour laquelle j’ai longtemps été rédacteur. ❤️
En 2023, environ 25 000 formateurs en ligne exercent en France. Le marché français de l’e-learning est en pleine expansion, avec une croissance annuelle de 10 %.
Un aperçu des coûts et contraintes :
- Udemy : Publier est gratuit, mais le site ponctionne approximativement 50 % de tes gains (et jusqu’à 75 % pour les transactions générées par des promos).
- Tuto.com : Un peu plus orientée sur les tutoriels techniques et créatifs, elle prend 10 à 50 % selon l’origine de la vente.
- Podia/Systeme.io : Tu gardes 100 % des recettes (hors frais Stripe ou PayPal), mais tu paies entre 27 € et 79 € mensuellement pour l’hébergement et les outils. Un bon choix si tu veux développer ta marque. L’avantage de Systeme.io est qu’il regroupe des fonctionnalités essentielles à ton marketing en ligne, même si tu préfères héberger et vendre sur ton propre site.
- WordPress : Là, tu as la pleine liberté, mais tu devras gérer l’hébergement (environ 5 à 20 € mensuels), les plugins et les mises à jour. C’est un peu le Far West du e-learning, mais pour ceux qui aiment l’indépendance totale.
Vais-je rouler en Tesla grâce à ma formation en ligne ?
Si tu rêves de cela dans quelques mois… calme tes ardeurs ! La réalité, c’est qu’il faut du travail pour se faire un nom. En moyenne, un formateur débutant peut espérer générer entre 100 et 500 € par mois avec ses premiers cours. Avec une bonne stratégie et plusieurs cours en ligne, un formateur reconnu peut généralement atteindre entre 2 000 et 5 000 € de bénéfices mensuels, mais cela demande 6 à 12 mois d’efforts réguliers minimum.
Après, comme dans tout, les meilleurs peuvent s’en mettre plein les poches. Mais reste méfiant face à certains qui font miroiter bien plus qu’ils n’obtiennent. En grattant un peu, tu pourrais découvrir que les fameuses photos de vol en première classe ont été prises dans un studio dédié à ce type de communication fake… Et que leur voiture de luxe a été — en réalité — louée pour la journée. (Et en se cotisant à 12 pour chacun construire son faux lifestyle ! 🤮)
Voici les sujets qui cartonnent en ce moment :
- Informatique et programmation (Python, JavaScript) : Les cours dans ces domaines peuvent rapporter jusqu’à 10 000 € par mois pour les meilleurs créateurs.
- Développement personnel et soft skills (gestion du stress, leadership) : Très populaires, mais le marché est assez saturé. Les revenus moyens sont de 500 à 1 500 € par mois.
- Intelligence artificielle et data science : Le nouveau Graal de l’e-learning. Les experts dans ces secteurs peuvent dépasser 5 000 € par mois, surtout avec l’essor de l’IA générative.
80 % des utilisateurs de plateformes comme Udemy s’inscrivent pour améliorer leurs aptitudes professionnelles. Ils cherchent des leçons pratiques et applicables immédiatement.
Quelles compétences nécessaires pour devenir formateur ?
Pour devenir un maître Jedi du cours en ligne, tu as besoin de quelques compétences clés :
- Pédagogie : Ça paraît évident, mais il faut savoir expliquer simplement, sans perdre ton audience en route.
- Création vidéo : Même si tu filmes avec un smartphone, pouvoir monter tes vidéos pour qu’elles soient engageantes est un gros plus. Des outils comme Camtasia ou OBS Studio te seront utiles.
- Design graphique : Peut-être basique, mais de quoi rendre tes présentations attractives et éviter de plomber tes étudiants avec du texte ennuyeux.
Des formations gratuites sur YouTube et des cours spécialisés sur Udemy ou Tuto.com peuvent te permettre de maîtriser ces supports.
Comment se lancer rapidement ?
Voici comment démarrer en mode turbo :
- Choisis une thématique rentable : Inutile de réinventer la roue, mais assure-toi qu’il y a une demande pour ton sujet (petit conseil : exploite des outils comme Google Trends ou AnswerThePublic pour voir ce que les gens recherchent).
- Prépare ton script : Décompose ton contenu en modules et leçons. L’astuce ? Faire des vidéos courtes et rythmées pour maintenir l’attention de tes étudiants.
- Enregistre avec ce que tu as : Un smartphone + bon éclairage = premier cours en ligne. Pas besoin d’investir dans du matériel pro dès le départ.
- Inscris-toi sur une plateforme : Si tu souhaites un démarrage rapide, Udemy ou Tuto.com sont tes meilleurs alliés. Si tu désires construire ton propre empire, va voir du côté de Systeme.io.
Comment réussir en tant que formateur en ligne ?
Alors, parlons sérieusement. Si tu veux avoir du succès dans l’enseignement en ligne, il va falloir miser sur la qualité. Oublie les pseudos « experts » qui pondent des formations en 2 heures en te vantant des promesses de liberté financière en 12 minutes. Ces cours-là, c’est du vent, et l’on en ressort souvent plus frustré et moins compétent qu’avant. Le milieu des formateurs en ligne souffre malheureusement d’une mauvaise réputation à cause de ceux qui conçoivent du contenu vide, sans réel professionnalisme. Ils vendent du rêve avec des vidéos tape-à-l’œil, mais, au final, tu as du bla-bla inutile. Tu ne veux pas être celui-là.
Ce que tu dois viser, c’est de créer des cours à haute valeur ajoutée, basés sur des solutions qui fonctionnent objectivement. Prends le temps d’apporter une vraie expertise et d’aider tes étudiants à atteindre leurs objectifs de manière concrète. Si tu maîtrises ton sujet, ton but doit être de transformer tes élèves. Ils doivent ressortir de ton programme en ayant acquis quelque chose de nouveau, d’utile, et avec un sentiment de progression.
Pourquoi est-ce important que tes apprenants réussissent ?
Parce que l’enseignement, c’est une responsabilité. Lorsque quelqu’un te fait confiance, il investit son argent, mais surtout des heures de sa vie dans ta formation. Si ton contenu est de qualité, non seulement tu les aideras à atteindre leurs objectifs, mais tu récolteras aussi leur respect et fidélité. C’est ce qui fait qu’un formateur peut passer d’un statut de « vendeur de vidéos » à un expert reconnu, à qui l’on revient encore et encore.
Comment élever tes cours à un niveau supérieur ?
- Prends le temps de structurer ton projet éducatif : Les meilleures formations sont celles qui proposent une véritable progression, étape par étape. Ne te contente pas de survoler les sujets, plonge en profondeur et assure-toi que chaque leçon fournisse quelque chose de concret et d’actionnable.
- Apporte de la valeur au-delà des attentes : Si tu as promis à ton étudiant de lui apprendre à construire un site Web, montre-lui comment optimiser ce site pour les moteurs de recherche. Surprends-le avec des astuces ou des outils bonus qui feront vraiment la différence.
- Mets à jour tes cours régulièrement : Ce qui était pertinent hier ne l’est peut-être plus aujourd’hui. Les meilleures formations en ligne sont celles qui évoluent. En gardant ton programme à jour, tu te positionnes comme un leader dans ton domaine.
- Évite le contenu « bullshit » : Le but n’est pas de tromper tes élèves avec des promesses irréalistes ou de les impressionner avec des chiffres sans fondement. En proposant des solutions réelles et applicables, tu bâtis une vraie crédibilité et tu fuis la catégorie des « vendeurs de rêve ». Les apprenants reconnaissent rapidement ceux qui sont là pour leur apporter quelque chose de concret.
- Valorise les résultats de tes étudiants : Encourage-les à partager leurs réussites, à poser des questions et à te faire des retours. En étant présent et en t’engageant avec eux, même après la vente, tu crées une communauté autour de tes cours. Plus qu’un formateur, tu te transformes en mentor.
Vers quoi ça peut mener de devenir formateur ?
Si tu prends cette voie de la qualité et de l’expertise véritable, tu te construiras une réputation solide qui pourra t’amener à des revenus récurrents. Certains qui misent sur le haut de gamme finissent par lancer des programmes avancés à plusieurs milliers d’euros, ou à concevoir des abonnements mensuels où ils accompagnent leurs étudiants sur le long terme.
Au-delà de ça, ton activité aura vraiment du sens si tu ressens profondément la satisfaction d’avoir aidé tant de personnes à atteindre leurs objectifs. Je peux t’assurer que ce sentiment vaut largement tous les efforts que cela demande.
En d’autres termes, si tu places ton cœur et ton savoir dans tes cours, les résultats suivront. Mais attention, si tu choisis la voie de la facilité, tu risques de te retrouver dans le trou noir des formateurs oubliés… ou dont on se rappelle avec dédain.
Faire de l’arbitrage
Non, ici, on ne parle pas de foot ! L’arbitrage, c’est simple : tu achètes un produit à un prix bas pour le revendre plus cher ailleurs. Cette technique fonctionne depuis des siècles, mais, avec Internet, tu peux toucher un public mondial. Amazon FBA est parfait pour ça.
Le modèle d’affaires est bête comme chou : tu deviens un intermédiaire qui identifie les marchandises dont la demande est supérieure à l’offre ou les articles vendus bien en dessous de leur moyenne de marché. Ensuite, tu les proposes sur Amazon en utilisant FBA, ce qui te permet de stocker tes produits dans les entrepôts d’Amazon et d’automatiser une grande partie de la gestion.
Exemple concret : tu trouves un lot de jouets à 50 % de réduction dans un magasin physique et tu découvres, grâce à une application comme JungleScout ou Keepa, que ces mêmes jouets se vendent deux fois plus cher sur le Web. Tu obtiens le lot, l’envoies à Amazon FBA et, dès que quelqu’un achète via la plateforme, Amazon se charge de la livraison et de la gestion du stock.
Une étude de Sellics montre que plus de 60 % des vendeurs sur Amazon FBA ont fait du bénéfice dès leur première année.
Quels revenus espérer avec Amazon FBA ?
Les gains dépendent de plusieurs facteurs : ta capacité à trouver des produits à forte marge, ton volume de transactions, et les coûts associés (logistique, frais Amazon, publicités éventuelles). En moyenne, avec un bon arbitrage, les profits peuvent osciller entre 20 % et 40 % du prix de vente. Les débutants peuvent cibler un excédent de 500 à 1 000 euros mensuels au bout de quelques mois, avec une stratégie plus avancée, cela peut atteindre plusieurs milliers d’euros mensuels. Cependant, le démarrage peut prendre de 3 à 6 mois pour comprendre les mécanismes et optimiser tes opérations.
Selon une étude réalisée par JungleScout, 50 % des vendeurs sur Amazon FBA obtiennent des bénéfices supérieurs à 1000 $ par mois, et environ 20 % dépassent les 10 000 $ par mois.
Je n’ai pas besoin de compétences pour faire de l’achat-vente ?
Si c’était si simple, tout le monde réussirait en claquant des doigts ! Non, là aussi, même si tu ne fabriques rien, il faut te former.
- Connaissance de la recherche de produits (grâce à des outils comme JungleScout, Keepa ou Helium 10).
- Gestion des marges et étude des coûts (frais de port, stockage, commissions d’Amazon).
- Compréhension des réglementations sur les marchandises (certaines nécessitent des certifications spécifiques pour être référencées sur Amazon).
- Compétences de négociation : surtout si tu achètes en gros.
- Publicité sur Amazon (indispensable pour booster tes résultats).
- Analyse du marché et de la concurrence : tu dois cerner les tendances et la demande pour maximiser tes chances de succès.
Pour te former, tu peux suivre des cours sur des plateformes comme Udemy, ou encore consulter les guides et forums spécialisés sur Amazon FBA tels que ceux de Seller Central ou JungleScout Academy.
Comment démarrer rapidement sur Amazon FBA ?
- Télécharge Keepa pour scanner des produits en magasin et vérifier leurs prix sur Amazon.
- Utilise un outil comme Helium 10 pour t’assurer que le produit a une demande forte.
- Crée un compte vendeur Amazon et configure ton service FBA.
- Achète ton premier lot de marchandises, prépare-les (étiquetage si nécessaire) et envoie-les aux entrepôts FBA d’Amazon.
Comment réussir dans l’achat-revente ?
L’arbitrage Amazon FBA peut être une bonne porte d’entrée pour comprendre les rouages du commerce en ligne. Cependant, ce n’est pas une activité pérenne si tu ne varies pas ta stratégie. En effet, les marges peuvent diminuer avec l’arrivée de concurrents, et les promotions ne sont pas toujours constantes. Il faut donc envisager :
- La diversification : Commence à identifier des niches spécifiques où tu peux créer ta propre marque (Private Label), ce qui te permet d’augmenter tes profits et de réduire la compétition.
- Automatisation et outsourcing : Au fur et à mesure de ta croissance, délègue certaines tâches, comme la recherche de produits ou la gestion des stocks à des assistantes virtuelles.
Si tu ne développes pas ces aspects, l’arbitrage reste une activité assez instable, et tu pourrais rapidement te retrouver bloqué par la saturation du marché.
Devenir prestataire de service en ligne
Le freelancing, c’est tout simplement vendre ton savoir-faire en tant que service. Que tu sois assistant virtuel, rédacteur Web, spécialiste SEO, gestionnaire de publicité, community manager, graphiste, développeur, coach ou consultant, créateur UGC (contenu généré par les utilisateurs), voix off, monteur vidéo et tant d’autres, il y a forcément des personnes quelque part qui ont besoin de tes compétences. Avec des plateformes telles que ComeUp, Malt, Upwork, Fiverr, ou encore des réseaux comme LinkedIn, tu peux démarrer de chez toi et toucher des prospects partout dans le monde.
Tu proposes tes services, souvent via des annonces ou des profils détaillés sur ces plateformes. Chaque client a des demandes spécifiques (écrire un article, créer un site, administrer ses réseaux sociaux, etc.). Une fois le projet fourni, tu es payé. Simple, non ? Eh bien… presque ! Le vrai travail consiste à te faire connaître, à gérer les attentes des clients et à assurer une livraison de qualité dans les délais.
En France, en 2022, 37 % des freelances affirmaient qu’ils choisissaient cette voie pour la flexibilité qu’elle offre. Selon un rapport d’Upwork, les freelances aux États-Unis font en moyenne 28 $ de l’heure, et des profils très qualifiés peuvent facilement doubler ou tripler ce montant. Dans l’hexagone, les tarifs varient en fonction du métier, mais un rédacteur Web peut escompter toucher de 30 à 60 € de l’heure, un développeur jusqu’à 100 € de l’heure pour des missions techniques.
Mais voilà : beaucoup de pigistes proposent un service basique, voire discutable, parce qu’ils sont mal formés ou qu’ils se précipitent sur les plateformes en espérant des résultats rapides. Ils finissent souvent par se battre sur les prix, au lieu de se concentrer sur la valeur qu’ils apportent. Et ce, malheureusement, au détriment de la qualité.
Mon expérience personnelle en tant que rédacteur Web
En début 2017, quand notre boutique en ligne de créations personnalisées a mis la clé sous la porte, il me fallait urgemment un autre moyen de revenus. J’ai opté pour l’activité de rédacteur Web. J’ai analysé la plateforme 5euros (maintenant nommée ComeUp) de fond en comble et établi une stratégie agressive pour obtenir un objectif de 2000 € mensuels en moins d’un trimestre. Pari rempli dans les temps définis !
Ouais, mais le marché est saturé !
Ah, ce fameux argument. « C’est saturé, y’a trop de monde, je ne décroche pas de commandes ! » — un classique. D’ailleurs, beaucoup le disaient déjà en 2017 ! Mais soyons honnêtes : le problème n’est pas la saturation, c’est surtout que trop de freelances offrent des services basiques, mal marketés, voire médiocres. Ceux qui se démarquent sont ceux qui maîtrisent vraiment ce qu’ils font, et surtout, qui savent se vendre.
Et l’intelligence artificielle alors ? Ça ne va pas tuer le marché ?
Non, ce qui va tuer le marché, c’est la fainéantise et l’incapacité à s’adapter. L’IA ne va pas remplacer les freelances, mais elle va éliminer ceux qui refusent de l’utiliser comme un levier pour améliorer leur productivité et la pertinence de leurs prestations. Ceux qui intègrent astucieusement l’IA dans leurs processus, réalisent du travail de qualité et le font savoir, sont ceux qui resteront compétitifs, ceci en calibrant leurs compétences et leurs offres sur les besoins de leurs prospects.
Ah ouais ? Alors c’est quoi la solution ?
Merci d’avoir posé la question ! (Ok, je me parle à moi-même… Ça devient grave !)
Voici un plan étape par étape pour te démarquer dès le début :
- Forme-toi correctement. Si tu débarques dans un métier sans connaissances solides, tu risques de te retrouver noyé dans la masse des pigistes « basiques ». Un peu d’apprentissage est nécessaire pour délivrer une offre de qualité. Savoir-faire, oui, mais aussi savoir-vendre.
- Expose un service supérieur. Triste vérité : beaucoup de freelances se contentent du strict minimum, surtout sur les plateformes. En effectuant l’effort de fournir une prestation de niveau élevé dès le départ, tu as déjà une longueur d’avance sur la majorité.
- Lance-toi avec une proposition attractive. Pour te faire connaître rapidement, présente un tarif de démarrage, limité à un petit nombre d’acheteurs, pour obtenir tes premiers avis positifs. Il est essentiel de signaler clairement qu’il s’agit d’une promotion temporaire : ça justifie le prix très bas tout en préservant la valeur perçue de ton service.
- Prends soin de chaque commande. Dès le début, mets un point d’honneur à bichonner chaque projet et à offrir un suivi client irréprochable. Une fois que tu as récolté tes 10 premiers avis positifs, tu pourras commencer à relever tes tarifs.
- Élève progressivement tes prix. Le meilleur repère pour les ajuster ? Ton carnet de commandes. S’il est régulièrement plein, c’est que tes tarifs sont trop bas. Augmente-les jusqu’à trouver le bon équilibre entre volume de missions et rentabilité.
Au lancement, tu te positionnes plutôt haut de gamme, tout en proposant une offre attractive pour les premiers acheteurs.
Mais, la spécialisation, on en parle ?
À ce stade, tu te fais la main. C’est normal de ne pas être spécialisé dès le départ, sauf pour certains métiers où l’océan rouge (saturé) est vraiment trop sanglant. Par exemple, une assistante virtuelle généraliste se noiera dans la masse si elle ne se niche pas rapidement. Mais, pour un rédacteur Web notamment, tu peux tout à fait commencer par explorer plusieurs thématiques pour affiner tes compétences avant de te spécialiser. Prendre le temps de tester et d’acquérir de l’expérience est crucial pour comprendre ce que tu aimes et ce qui fonctionne.
Ok, mais un moment, ça va saturer, non ?
Il est vrai que certains marchés sont saturés, surtout au bas de l’échelle. Quand tout le monde fournit un service similaire à tarif cassé, c’est difficile de se démarquer. Mais la véritable solution, c’est donc de te spécialiser et de trouver ton océan bleu.
Océan rouge contre océan bleu ?
L’océan rouge, c’est ce marché saturé où tu te bats avec des centaines de freelances qui produisent exactement la même chose. C’est là où les prix s’effondrent et où tous finissent par baisser ses standards pour décrocher des contrats. Pas très sexy, non ?
À l’inverse, l’océan bleu, c’est un marché où la compétition est faible, car tu as déniché une niche spécifique, ou bien tu as créé une proposition qui te démarque clairement. Là, tu nages tranquillement, sans te soucier de la rivalité féroce. Comment le trouver ? En te spécialisant dans un domaine précis ou en offrant quelque chose d’unique, mais recherché par ton client cible.
Par exemple, un rédacteur Web pourrait se nicher dans les articles SEO sur le thème de la finance et du trading. Moins de concurrence, plus d’opportunités.
Je peux avoir l’équivalent d’un salaire en tant que freelance ?
Si tu débutes, tu ne vas probablement pas décrocher des contrats à 100 € de l’heure dès le premier jour. N’écoute pas tes confrères sur les groupes Facebook dédiés à ton métier : ils ne veulent pas que tu les concurrences sur les prix !
Au début, attends-toi à facturer entre 15 et 25 € de l’heure. Voire moins, si tu es pressé d’avoir tes premières missions. Quand j’ai démarré comme rédacteur Web, j’ai proposé des prix cassés à quelques euros par article. Cela ne m’a pas empêché de les multiplier ensuite rapidement et de cumuler jusqu’à près de 5000 € mensuels moins de 6 mois après ! Le principal est de commencer, de prendre confiance et de te faire une place. Tu peux même débuter sans tout maîtriser du métier, en axant tes offres sur des prestations précises.
Avec des témoignages clients et une meilleure notoriété, tu augmenteras régulièrement tes tarifs. Renforcé par un bon réseau et des recommandations, tu peux atteindre, en quelques mois, des revenus mensuels de 2000 à 5000 € selon tes expertises et ton organisation.
Quelles sont les compétences nécessaires pour un freelance ?
- Autonomie : Être freelance signifie être ton propre patron. Donc, tu pilotes tout, des délais à la qualité du travail en passant par la relation client.
- Organisation : Tu dois bien gérer ton emploi du temps et livrer les projets au jour convenu.
- Communication : Savoir écouter et cerner les besoins du prospect est primordial pour réussir.
- Vente : Tu ne vends pas seulement des services, tu te vends toi-même en tant qu’expert !
- Marketing digital : Comprendre les bases pour promouvoir tes offres t’aidera à trouver plus d’acheteurs.
- Compétences techniques : Ça semble évident, mais tu dois maîtriser ton domaine (rédaction, graphisme, montage, etc.). Quoi que… Il existe une méthode pour développer cela au fur et à mesure…
Quelle est cette méthode étrange pour se lancer en tant que freelance sans maîtriser tout le métier ?
En utilisant une plateforme telle que ComeUp ou Fiverr, tu ne vends pas « un métier », mais une prestation cadrée et définie, comme on commercialise un produit.
Pour bien comprendre : si tu offres tes services sur Malt.fr en tant que graphiste, tu es censé pouvoir répondre à un très large panel de demandes. On attend de toi que tu maîtrises l’ensemble des propositions d’un graphiste, spécialiste d’Adobe Photoshop et Illustrator. On peut ainsi te réclamer un devis pour la maquette d’un site Web, un logo ou une charte graphique complète, un packaging, une affiche promotionnelle, etc.
Sur ComeUp, tu livres une prestation précise, une facette bien cadrée du métier, par exemple, la réalisation de vignettes YouTube. Par conséquent, tu n’as pas besoin de savoir tout faire ! Tu te formes spécifiquement et intensément pour ce type de conception, tu te crées des templates, des processus, des automatisations. Tu peux ainsi te lancer sans d’interminables études complètes dans le graphisme. Tu es focus sur cette offre particulière que tu vends, tout en continuant à apprendre pour proposer ensuite un autre service, puis un autre si besoin…
Note aussi que le métier d’assistant virtuel est également en plein essor, enrichi par la diversité des outils en ligne et les demandes croissantes pour des assistantes digitales spécialisées.
Comment se former pour devenir freelance ?
Il existe de nombreuses formations en ligne (gratuites ou payantes) sur des sites comme Udemy, LinkedIn Learning ou Tuto.
Pour des compétences spécifiques (ex : rédaction Web), tu peux t’engager dans des programmes spécialisés comme la Méthode OMEGA (oups, petite promo perso ici !).
Pour devenir assistante virtuelle, tu peux te tourner vers le Bootcamp Amazone Virtuelle. (Zut, à nouveau une auto-pub malencontreuse !).
Enfin, pour démarrer avec succès sur ComeUp, développer tes aptitudes et suivre une stratégie pour réussir vite, tu peux aussi t’inscrire à la formation Crée Ton Job en Ligne. (Rââh ! Mais je le fais exprès ou quoi ? C’est encore une promo… 😇)
Est-ce pérenne de se lancer dans le freelancing ?
Si tu es sérieux et que tu te spécialises, le freelancing peut devenir une activité durable et très lucrative. Tu diversifieras ta clientèle, augmenteras tes tarifs ou pourrais même fonder ta propre agence.
Au-delà de la prestation de services, cette expérience peut t’amener à créer des produits digitaux (formations, ebooks, outils). Le freelancing est aussi un excellent tremplin pour se diriger vers le consulting ou le coaching dans ton domaine.
Droit dans le mur ?
Si tu n’es pas assez organisé ou que tu ne te spécialises pas, tu risques de stagner avec des revenus modestes et une surcharge de travail. Le danger principal : ne jamais sortir du low-cost et enchaîner des petites missions sans réelle progression.
Et si tu montais ta chaîne YouTube ?
Créer et gérer une chaîne YouTube consiste à réaliser des vidéos que tu publies régulièrement. L’objectif est d’attirer un public autour de tes passions, tes compétences, du divertissement ou un sujet qui intéresse une communauté.
Le modèle d’affaires repose sur la monétisation du contenu grâce à plusieurs leviers : les revenus publicitaires, les partenariats avec des marques, l’affiliation, ou même la vente de tes propres produits.
Exemples de YouTubers et de revenus estimés
YouTuber | Thématique | Abonnés | Revenus estimés | Sources de revenus | Image |
Tibo InShape | Fitness et musculation | Environ 23,7 millions | Entre 50 000 € et 100 000 € | Publicités, partenariats, merchandising | |
Swan & Néo | Vlogs familiaux et défis | Environ 6,7 millions | Entre 20 000 € et 50 000 € | Publicités, partenariats | |
Amixem | Vlogs, défis et gaming | Environ 8,7 millions | Entre 30 000 € et 70 000 € | Publicités, partenariats, merchandising | |
Inoxtag | Gaming et vlogs | Environ 8,3 millions | Entre 25 000 € et 60 000 € | Publicités, partenariats | |
Lama Faché | Documentaires et histoires vraies | Environ 9,7 millions | Entre 40 000 € et 90 000 € | Publicités, partenariats | |
Mastu | Vlogs et défis | Environ 6,3 millions | Entre 20 000 € et 50 000 € | Publicités, partenariats | |
Furious Jumper | Gaming, principalement Minecraft | Environ 6 millions | Entre 35 000 € et 80 000 € | Publicités, partenariats | |
L’atelier de Roxane | Cuisine et pâtisserie | Environ 4,4 millions | Entre 15 000 € et 40 000 € | Publicités, partenariats, vente de livres | |
Gotaga | Gaming et e-sport | Environ 4,25 millions | Entre 20 000 € et 60 000 € | Publicités, partenariats, streaming | |
Mcfly & Carlito | Vlogs, défis et interviews | Environ 7,4 millions | Entre 25 000 € et 70 000 € | Publicités, partenariats, merchandising |
Ces estimations sont approximatives et peuvent varier selon de multiples facteurs, notamment le nombre de vues, l’engagement de l’audience, les types de partenariats et les stratégies propres à chaque chaîne.
Moi aussi, je peux devenir riche et célèbre grâce à YouTube ?
Les recettes publicitaires sur YouTube sont généralement modestes au départ. Avec approximativement 1 000 abonnés et 4 000 heures de visionnage, tu pourras activer Google AdSense, mais n’espère pas des sommes énormes tout de suite. En moyenne, le CPM (coût pour mille vues) varie entre 0,5 et 4 €.
Avec une communauté fidèle (10 000 à 50 000 abonnés), les profits peuvent monter à plusieurs centaines d’euros par mois, surtout si tu intègres des partenariats ou de l’affiliation. Ces sommes peuvent considérablement augmenter dans des créneaux spécifiques, ou encore en combinant cela avec la vente de marchandises.
Avec une chaîne bien établie (100 000 abonnés et plus), les revenus peuvent atteindre 2 000 à 10 000 euros ou plus, en fonction du contenu et des partenariats.
Mais peut-on gagner sa vie sur YouTube sans être « célèbre » ?
C’est un point intéressant. Il explique d’ailleurs pourquoi j’ai positionné cette activité dans cette catégorie des revenus ouverts à tous, alors que celui d’influenceur est dans celle suivante, des businesses plus complexes. Tu peux monétiser une chaîne YouTube (et TikTok) sans même montrer ton visage. Tu as du mal à voir comment ? Voici une liste de possiblités :
- Vidéos de stock footage / B-Roll : Utilise des séquences génériques pour créer des vidéos relaxantes ou inspirantes.
- Musique relaxante / ASMR : Publie des sons apaisants (pluie, bruits de nature) pour la relaxation et le sommeil.
- Compilations de faits intéressants / Documentaires : Présente des histoires fascinantes avec des images et une voix off.
- Tutoriels tech / logiciels : Montre comment utiliser des outils digitaux en enregistrant ton écran.
- Résumés de livres / Analyses : Simplifie des livres populaires en diaporamas animés ou avec des voix off.
- Top 10 / Classements : Fais des vidéos de type « Top X » sur des sujets populaires pour attirer l’attention.
- Revues de produits / Comparaisons : Analyse des gadgets ou services pour aider à la prise de décision d’achat.
- Vidéos de méditation guidée : Enregistre des voix off avec des musiques d’ambiance pour guider des méditations.
- Chaînes d’exercices et de fitness sans démonstration : Utilise des animations ou des avatars pour proposer des routines d’entraînement.
- Chaînes de finances personnelles et d’investissement : Explique des concepts financiers avec des animations et graphiques.
- Animations éducatives : Simplifie des concepts complexes en utilisant des logiciels d’animation sans te montrer.
- Guides de voyage avec images libres de droits : Présente des destinations à travers des photos et vidéos trouvées en ligne.
- Chaînes de cuisine avec recettes animées : Crée des tutoriels de cuisine en utilisant des animations ou des vidéos de tes mains uniquement.
- Développement personnel / Motivations : Publie des vidéos motivantes avec des citations et des musiques inspirantes.
- Histoires originales animées par l’IA : Utilise une IA comme ChatGPT pour t’aider à écrire des récits originaux (ex. science-fiction, horreur, romance), génère des voix off avec des outils comme ElevenLabs, et crée des animations vidéos avec Runway.
Quelles compétences développer pour démarrer sur YouTube ?
- Création et montage vidéo : Utilise des logiciels comme Adobe Premiere, Final Cut Pro ou DaVinci Resolve. Pour certains types de publications, CapCut peut également suffire.
- Connaissance des algorithmes YouTube : Cerner comment les vidéos sont recommandées.
- Capacités de communication : Être à l’aise face à la caméra, avec un style propre et engageant.
- Marketing digital : Promouvoir tes contenus sur d’autres plateformes.
- Compréhension du SEO sur YouTube : Exploite des titres et descriptions optimisés, ainsi que des tags efficaces.
- Graphisme : Savoir créer des miniatures attractives avec Canva ou Photoshop.
- Gestion de communauté : Entretenir un lien avec ton audience.
Quelle formation pour devenir YouTuber ?
YouTube propose lui-même YouTube Creators qui explique tous les aspects techniques.
Des plateformes comme Udemy offrent des cours pour améliorer tes compétences en montage vidéo et SEO YouTube.
Comment se lancer rapidement sur YouTube ?
- Étape 1 : Choisis ta niche. Que ce soit l’humour, la technologie, les tutos beauté ou le gaming, concentre-toi sur un sujet qui te passionne et dans lequel tu peux apporter de la valeur.
- Étape 2 : Conçois tes premières vidéos. N’attends pas d’avoir du matériel ultra pro. Exploite ton smartphone pour te lancer rapidement.
- Étape 3 : Publie régulièrement et analyse les performances de tes contenus. L’algorithme YouTube privilégie les créateurs qui publient souvent.
- Étape 4 : Utilise les réseaux sociaux pour promouvoir ta chaîne.
YouTuber est-il un vrai métier ?
Si tu parviens à fidéliser une communauté, ta chaîne YouTube peut devenir une source de revenus stable. La diversification est essentielle : au-delà des publicités, explore les partenariats, l’affiliation ou même le merchandising.
YouTube peut également être une porte d’entrée vers d’autres opportunités, comme le consulting, l’écriture d’un livre, la construction d’une formation en ligne ou pourquoi pas la présentation d’émissions.
Mais, ici aussi, ne te lance pas dans YouTube uniquement pour l’argent. Il faut du temps et de la constance pour réussir, et si la passion n’est pas là, tu t’épuiseras sans obtenir les résultats espérés.
Quelle action puis-je réaliser immédiatement pour démarrer sur YouTube ?
- Identifie trois types de vidéos que tu pourrais faire autour d’un sujet qui te captive. Rédige un plan pour chaque vidéo.
- Filme et monte ta première vidéo avec le matériel que tu possèdes déjà (smartphone, logiciel gratuit). Publie-la sur YouTube et partage-la sur tes réseaux sociaux.
Gagner des commissions sur des produits numériques sans avoir à les créer
Nous avons déjà parlé de l’affiliation auprès d’une mini-audience. Là, on aborde l’échelle plus professionnelle, mais aussi spécialisée dans le contenu numérique seulement. Pourquoi ? Parce que ça rapporte plus gros, pardi !
Voici 3 raisons :
- Sur un produit physique, les commissions sont généralement de moins de 10 %, ici on peut passer à 50 %.
- Sur des outils en ligne, les revenus peuvent être récurrents. En effet, beaucoup de logiciels Web te permettent d’être rémunéré sur chaque mensualité payée par le client apporté.
- Tu peux promouvoir des produits numériques qui coûtent cher : plusieurs centaines d’euros, voire plus. Cela fait beaucoup de pépettes dans ta popoche sans rien vendre toi-même !
Divi est un thème pour WordPress, la solution tout-en-un pour créer des sites Web. C’est celui que j’utilise d’ailleurs ici, pour la mise en forme de cet article. Quand on utilise ce type de thème, on le conserve généralement tant qu’existe notre blog. En effet, c’est aussi un constructeur de pages par blocs : si on en change, on perd toutees les pages créées précédemment !
Tu peux passer par des plateformes d’affiliation classiques comme 1TPE ou Systeme.io. Mais si tu apprécies le travail d’un formateur, d’un créateur de contenu, ou si tu utilises un outil spécifique, n’hésite pas à les contacter directement. Ils peuvent être ouverts à un partenariat si tu as une communauté déjà développée.
Les réseaux sociaux comme TikTok, Instagram, ou YouTube sont d’excellents canaux pour promouvoir des offres affiliées. Publie des posts engageants où tu expliques les avantages des produits que tu recommandes, en montrant comment ils t’aident personnellement.
Par exemple, comme je le disais dans une autre partie de ce contenu (tout là-haut, là-haut !), sur Famille Nomade Digitale, nous proposons à nos apprenants de partager notre lien d’affiliation s’ils estiment que nos accompagnements peuvent favoriser leur propre audience. Ils empochent ainsi 20 à 35 % de commission sur chaque inscription réalisée via leur parrainage.
Des gains sérieux grâce à l’affiliation ?
Les revenus de l’affiliation varient selon plusieurs facteurs, notamment la taille de ta communauté, son engagement, et la pertinence du produit recommandé. Au début, avec une petite portée, tu peux générer quelques dizaines d’euros par mois. Avec le temps, cela peut rapidement se multiplier.
Il est réaliste d’espérer entre 200 € et 500 € mensuels après 6 à 12 mois si ton audience est bien ciblée et que tu promeus des offres de qualité. En travaillant avec des créateurs et formateurs directement, tu pourrais négocier des commissions plus élevées, souvent autour de 30, voire jusqu’à 50 % sur des cours sans accompagnement ou coaching.
L’affiliation, c’est vraiment facile ?
Le simple fait de placer des liens dans tes textes ou vidéos ne suffira pas à générer des ventes. Comprendre ton audience est une compétence clé. Tu dois connaître ses intérêts, ce qu’elle désire, ainsi que la meilleure façon de lui en parler.
Que ce soit sous forme de vidéos TikTok, de posts Instagram, d’article de blog ou de newsletters, le contenu doit convaincre ta communauté de la valeur du produit. Le copywriting t’aidera à rédiger des messages persuasifs, sans paraître trop vendeur.
Enfin, le SEO contribuera à attirer plus de trafic organique sur ton site Web, mais ce n’est pas indispensable au début si tu t’appuies principalement sur les réseaux sociaux.
Pour t’éduquer, tu peux consulter des tutoriels en ligne, lire des publications spécialisées ou même suivre une formation comme celle-ci sur ComeUp. Mais l’une des meilleures façons d’apprendre reste l’expérience directe : teste, analyse, améliore.
Comment se lancer dans l’affiliation ?
Le plus simple est de commencer avec un produit que tu utilises toi-même et que tu recommanderais naturellement à ton audience. Vérifie s’ils ont un programme de partenariat existant. Si ce n’est pas le cas, au démarrage, il sera difficile de les convaincre d’une collaboration si tu pars de zéro ou presque. (Plus tard, c’est ainsi que tu concluras les meilleurs deals !)
Ensuite, crée du contenu personnalisé. Ne te contente pas d’insérer un lien dans un texte. Explique en quoi ce produit a changé ton quotidien, montre des résultats concrets et parle des avantages que ton audience pourrait en tirer. Le but est d’apporter de la valeur avant tout.
Comment réussir dans l’affiliation ?
La clé du succès à long terme est de rester authentique et transparent avec ta communauté. Ne recommande pas des produits juste parce qu’ils offrent de bonnes commissions. Les internautes sentent rapidement si une préconisation est sincère ou non. Une relation de confiance est ce qui te permettra de prospérer de façon pérenne.
Avec le temps, l’affiliation peut devenir une source de revenus stable, voire passive si tu mets en place une stratégie solide avec du contenu evergreen. Par exemple, un article de blog optimisé pour le SEO ou une vidéo YouTube bien référencée peut continuer à te rapporter des commissions pendant des mois, pourquoi pas des années, sans effort supplémentaire.
Si cette activité ne marche pas pour toi, tu auras quand même acquis des compétences essentielles en création de contenu, en marketing d’influence et en négociation de partenariats, qui te seront utiles dans d’autres domaines.
Fonder un blog comme source de revenus
Le blogging reste l’une des idées de business en ligne intéressantes en 2024, s’il est réalisé de manière professionnelle, soutenue… et patiente ! Il existe plusieurs moyens de monétiser un blog :
- Affiliation : recommander des produits ou services en lien avec ton audience. Bien faite, elle peut générer des bénéfices récurrents. (Mais tu devrais le savoir, je t’en parle juste au-dessus !)
- Publicité : Tu installes des bannières avec des plateformes comme Google AdSense, et tu es payé à chaque clic ou vue. Bon, ça demande un énorme trafic, mais ça peut faire une petite rente.
- Vente de produits digitaux : Tu peux commercialiser des ebooks, des formations, ou même des fichiers téléchargeables. Avec un peu d’imagination, les perspectives sont infinies.
- Articles sponsorisés : Là, ce sont les marques qui te contactent pour que tu parles d’elles. Sympa, non ? Mais ça, c’est quand tu as déjà une grosse audience.
Les possibilités sont aussi nombreuses que mes excuses pour ne pas aller courir et, contrairement aux idées reçues, le blogging n’est pas en train de mourir. Non, l’IA n’a pas enterré le blogging, pas plus que YouTube ou Instagram n’ont tué l’écrit à l’époque. Ça évolue, certes, mais ça respire encore ! (Et bruyamment en plus.)
En 2024, il y a plus de 500 millions de blogs actifs dans le monde, et ça continue de grimper !
Si tu arrives à attirer suffisamment de lecteurs, tu as un mini-business entre les mains. Un de ses points forts : c’est CHEZ TOI. Personne ne te dicte de règles. Bon, un peu Google pour que tu sois bien référencé, mais, à part cela, pas de censure, pas de fonctionnalités changeant toutes les 2 semaines, pas de protocoles à suivre selon la saison. La loi, c’est toi.
Mais on peut toujours faire des sous avec son blog ?
Ah, la question qui brûle les lèvres ! Tout dépend de ton secteur, de ta niche, et de ta régularité. Si tu fais les choses bien, tu peux espérer gagner entre quelques centaines et plusieurs milliers d’euros par mois. Oui, oui, c’est possible, mais ça ne viendra pas tout seul.
Sur ce blog, nos revenus proviennent de 3 sources :
- La principale, la vente de nos formations avec accompagnements.
- Des liens d’affiliation : j’en profite pour te préciser que certains liens dans cet article peuvent être vers des partenaires. (Comme je te l’indiquais, je suis fier de les partager et les conseillerais tout autant sans affiliation.)
- Quelques très rares publications sponsorisées, car nous sommes très sélectifs.
En affiliation, certains blogueurs touchent 200 € à 5000 € par mois. La publicité, quant à elle, peut te rapporter 2 à 10 € pour 1000 vues (plus si tu utilises des plateformes comme Mediavine). Les produits digitaux, eux, peuvent être de vraies machines à cash si tu proposes quelque chose de pertinent : on parle de plusieurs milliers d’euros si tu crées un outil ou une formation qui cartonne.
Maintenant, soyons terre à terre : tu ne réaliseras pas ces chiffres dès le premier mois. Il te faudra 6 à 12 mois de travail régulier pour commencer à entendre quelques premiers euros tomber. Mais après ça, le ciel est la limite (ou presque).
Comment se former pour devenir blogueur ?
Pas besoin d’être Molière ou d’avoir un doctorat en informatique pour lancer un blog. Ce qu’il te faut surtout, c’est savoir rédiger avec passion, captiver ton audience, et maîtriser quelques bases de référencement (le fameux SEO, l’art de séduire Google). L’écriture, c’est l’essence même du blogging, mais cela nécessitera aussi un peu de technique pour installer ton site.
Ce n’est pas si compliqué que ça avec le CMS (Content Managing System) WordPress. Pour l’anecdote, nous l’utilisons depuis 2006. Notre premier blog s’appelait : Idées Cadeau Maman. (Ne cherche pas, on l’a envoyé à la ferme il y a longtemps.)
Par contre, si tu veux vraiment te démarquer, t’améliorer régulièrement dans le marketing numérique sera primordial. Après tout, il faut bien que tes lecteurs trouvent ton blog quelque part ! Pour ça, il y a plein de ressources en ligne. Mais l’important, c’est de te lancer et d’apprendre en chemin.
Comment créer rapidement mon premier blog ?
Concevoir un site Internet rentable en 2024, c’est un peu comme essayer de faire pousser un arbre à billets dans ton jardin : ça demande du temps, de la patience, et un peu de magie digitale. Mais ne t’inquiète pas, avec les bons outils et l’approche adéquate, tu peux transformer ton petit coin d’Internet en une véritable machine à sous virtuelle !
Premier conseil : ne passe pas trois mois à choisir ton thème WordPress, lance-toi vite. Sélectionne une niche qui te parle, quelque chose qui te passionne, où tu as une expertise. Vérifie sur Google Trends que le sujet intéresse d’autres personnes que toi et ta grand-tante Mathilda. Installe alors WordPress (parce que c’est simple, fiable et que ça marche). Écris ton premier article et partage-le à droite à gauche. Fais-toi connaître. Tu n’as pas besoin d’avoir le site parfait au début, c’est en avançant que tu vas l’améliorer.
Mets en place Google Analytics pour suivre ton trafic (tu verras, c’est presque addictif), et ajuste ta stratégie au fur et à mesure. L’essentiel, c’est d’être régulier et de toujours garder ton audience en tête.
Ouais, mais un blog ça me permettra quoi ?
Le blogging, c’est un marathon, pas un sprint. Il te faudra de la discipline, de la créativité, et une bonne dose de patience pour réussir. Mais si tu persévères, tu pourras développer une communauté fidèle, lancer des produits digitaux et même devenir un expert reconnu dans ta niche. Le truc, c’est de toujours garder ton contenu pertinent et intéressant et d’être à l’écoute de ton audience.
À long terme, ça peut d’ailleurs t’ouvrir des portes vers des opportunités inattendues : conférences, collaborations, formations, voire des contrats en tant qu’influenceur dans ta thématique. Si tu fais les choses bien, ton blog peut se muer en véritable entreprise.
Quelle action réaliser en premier pour avoir un blog rémunérateur ?
Allez, on arrête de procrastiner ! Si tu veux vraiment te lancer, commence par choisir ta niche. Sélectionne ensuite un nom de domaine accrocheur : « www.je-veux-etre-riche-et-famous.com » est peut-être déjà pris, mais ne perds pas espoir ! Réserve alors ton hébergement et nom de domaine :O2switch, par exemple, a une offre à prix unique très abordable et intéressante. WPEngine propose un des meilleurs serveurs en termes de qualité, mais le tarif est bien plus élevé.
Enfin, installe WordPress et publie ton premier article d’ici 48 heures. Pas d’excuses ! Il sera toujours temps de te familiariser avec quelques notions de SEO et partager ton blog sur les réseaux sociaux. Si tu t’y mets sérieusement, dans quelques mois, tu commenceras à récolter les premiers fruits.
Exposer tes talents d’auteur grâce à l’auto-édition en ligne
Le principe est simple : tu écris un livre (roman, essai, guide pratique, etc.), tu le mets en page et tu le publies toi-même sur une plateforme comme Amazon Kindle Direct Publishing (KDP). Plus besoin de convaincre une maison d’édition traditionnelle pour voir ton œuvre en ligne et disponible à la vente.
L’avantage, c’est que tu as un contrôle total sur ton projet : de la création à la publication en passant par la fixation du prix. KDP te permet de proposer aussi bien des ebooks que des versions imprimées à la demande (sans stock à gérer).
En 2022, environ 30 % des bouquins achetés sur Amazon en France étaient en numérique, et la part de marché des auteurs indépendants ne cesse de croître.
Combien gagne-t-on sur chaque ouvrage distribué sur Amazon KDP ?
Les revenus varient énormément. Avec KDP, tu touches entre 35 % et 70 % de royalties par vente, en fonction du prix et du format (ebook ou livre papier).
Quelques chiffres pour te donner une idée :
- Si tu commercialises ton ebook à 9,99 €, tu peux espérer entre 3,50 € et 7 € de bénéfices par exemplaire.
- Un livre papier vendu 15 € te rapportera environ 4 €.
Les gains peuvent aller de quelques euros à des milliers par mois si tu parviens à bien te positionner. Cependant, pour des revenus stables, il faut compter plusieurs mois de travail : écriture, réécriture, publication, marketing.
En général, si tu proposes un unique ouvrage sans profond effort de communication, tu n’iras pas loin. Mais avec une stratégie sérieuse et plusieurs livres, tu peux espérer commencer à générer quelques centaines d’euros mensuels d’ici 6 à 12 mois.
- Hugh Howey avec Silo : il a vendu des millions d’exemplaires en auto-édition avant de signer un contrat avec une maison d’édition traditionnelle.
- Andy Weir avec Seul sur Mars : publié d’abord en auto-édition avant d’être adapté en film.
Quels types de contenus sur KDP ?
Sur Amazon Kindle Direct Publishing, les livres que tu peux créer se répartissent généralement en trois catégories : no content, low content et high content. Chacune offre des opportunités distinctes en matière de conception et de revenus.
No Content
Les livres sans contenu, ou « no content books », sont des ouvrages dont les pages intérieures sont essentiellement vierges, conçus pour être remplis par l’utilisateur.
Exemples : cahiers de notes, journaux intimes, sketchbooks.
Low Content
Les livres à faible contenu, ou « low content books », sont constitués d’un minimum de texte et sont fréquemment répétitifs, mais fournissent une valeur ajoutée au lecteur.
Exemples : journaux de gratitude, agendas, carnets de recettes, volumes de coloriage et de jeux, ouvrages pour enfants avec grandes illustrations.
High Content
Les livres à haut contenu, ou « high content books », sont des ouvrages avec un travail écrit riche, bien documenté et offrant une réelle valeur informative ou narrative.
Exemples : romans, guides pratiques, biographies, essais.
Comment se former pour réussir sur KDP ?
Pour prospérer en tant qu’auteur auto-édité, certaines aptitudes sont tout simplement incontournables, d’autres importantes, et d’autres encore accessoires, mais utiles pour optimiser ton parcours. Voici un tour d’horizon des compétences nécessaires pour maximiser tes chances de succès.
Compétences indispensables pour KDP
Savoir étudier le marché
Ça va te sembler étonnant, mais c’est la principale compétence pour réussir ici ! Si tu veux que ton livre soit un succès commercial, il ne suffit pas d’écrire un texte qui te plaît. Tu dois avant tout comprendre les attentes de ton marché. Quels sont les sujets qui fonctionnent bien actuellement ? Quelles niches sont sous-exploitées ? Quelles couvertures attirent l’œil des acheteurs ? Quels mots-clés sont entrés sur Amazon ? Choisir le bon sujet et une présentation accrocheuse est souvent décisif pour vendre. Si tu veux du rendement, il faut créer des livres qui sont recherchés par les lecteurs, pas forcément ceux qui correspondent à tes envies personnelles (c’est évidemment un jackpot si tu coches les deux critères).
Savoir écrire de manière fluide et captivante
Peu importe le genre de ton livre, un texte bien structuré et agréable à parcourir est essentiel. Ton style doit retenir l’attention du lecteur du début à la fin. Sauf si tu te spécialises dans le No Content ou le Low Content.
Maîtrise de l’orthographe et de la grammaire
Un livre truffé de fautes de syntaxe ou de grammaire, c’est la catastrophe assurée. Les lecteurs ne pardonnent pas ces erreurs et cela peut ruiner ta crédibilité en tant qu’auteur. Bien sûr, l’intelligence artificielle peut t’aider à chasser ces coquilles, mais ce ne sera pas parfait. Si tu n’es pas à l’aise avec ça, fais appel à un correcteur professionnel.
Mise en page
Même avec des outils comme Kindle Create ou Vellum, bien structurer ton livre pour qu’il soit agréable à parcourir est indispensable. Une mise en page réussie facilite la lecture et donne un aspect plus professionnel à ton travail.
Marketing et promotion
Une fois ton ouvrage publié, la vraie bataille commence : le vendre. Tu dois savoir le promouvoir, créer une communauté autour de ton œuvre et utiliser les réseaux sociaux pour attirer les lecteurs. Un bon marketing peut faire toute la différence entre un livre qui reste invisible et un autre qui grimpe dans les classements.
Design graphique
Avoir quelques notions de design te sera utile, notamment pour la création d’une couverture accrocheuse. Quand elle est bien conçue, c’est souvent le premier élément qui attire un lecteur potentiel. Si tu ne te sens pas à l’aise dans ce domaine, il est préférable de déléguer cette tâche à un professionnel. Une mauvaise couverture peut sérieusement nuire à tes résultats, même si le contenu est excellent. Mais bien que tu confies la mission à un graphiste, cela ne te dédouane pas des consignes précises pour la réalisation. Lui voudra faire quelque chose de beau. Mais ce que tu désires, c’est quelque chose qui vend, en priorité ! Pour cela, retourne à la première compétence ici listée : l’analyse du marché.
Comment tout savoir sur l’auto-édition en France ?
Pour approfondir tes connaissances et bénéficier de conseils adaptés au marché francophone, plusieurs blogs spécialisés partagent des ressources précieuses.
- Autoediteur.com : Ce blog se concentre sur l’auto-édition et le marketing de livres, offrant des astuces pour éditer soi-même ses ouvrages en format papier ou numérique, ainsi que des stratégies pour trouver ses lecteurs.
- Rêve d’Auteur : Animé par Audrey Martinez, ce site aide les auteurs indépendants à développer une carrière sereine et épanouie. Il aborde des sujets tels que la rédaction, le marketing et la vie d’écrivain, avec des articles, des formations et un podcast dédié.
- Librinova : Cette plateforme d’auto-édition propose un blog riche en informations sur l’écriture, la publication et la promotion de bouquins. Les articles couvrent des thèmes comme la mise en page, la communication sur les réseaux sociaux et des méthodes pour surmonter la peur de la feuille blanche.
- Le Blog de TheBookEdition : TheBookEdition, une autre plateforme d’auto-édition française, offre un blog avec des conseils pour auto-éditer ton ouvrage et suivre l’actualité du monde du livre.
Ces ressources te fourniront des perspectives précieuses et des astuces pour amasser des gains dans l’auto-édition en France.
Mais t’as une expérience de l’édition avec ou sans KDP ?
Mon parcours d’auteur a été plutôt mouvementé. J’ai d’abord publié mon premier roman, Onimonde, par le biais d’une maison d’édition classique, aujourd’hui fermée. Même si cette expérience m’a donné la satisfaction de voir mon travail reconnu par des professionnels, le revers de la médaille a été amer. Entre les royalties quasi inexistantes et la gestion peu transparente des ventes, j’attends encore mon paiement… Que la paix soit avec cette maison d’édition ! Mais, quant aux gains, je peux toujours courir.
Face à ce constat, j’ai décidé de rééditer mon roman sur Amazon KDP, en le rebaptisant Onimundo. Cependant, à l’époque, je n’ai fait aucun effort de communication et, sans surprise, les résultats ont été nuls. Cela m’a enseigné une leçon cruciale : sortir un bon livre n’est que la première étape. Le marketing est essentiel pour espérer en tirer des bénéfices.
J’ai ensuite publié mon essai, « Les 21 Lois de l’Esprit Libre », par l’intermédiaire de KDP. Cette fois-ci, j’ai pu vendre plusieurs centaines d’exemplaires, mais avec un revenu global inférieur à 1000 €. L’ouvrage s’adressait principalement à ma communauté, et bien que les résultats financiers n’aient pas été exceptionnels, l’impact que ce livre a eu pour partager mes valeurs de liberté a été bien plus gratifiant. (Je travaille d’ailleurs actuellement sur sa version révisée 2025.)
Puis, j’ai expérimenté sous un pseudonyme avec deux autres livres sur KDP. Cette approche « anonyme » m’a permis de tester de nouvelles stratégies de publication et de promotion, et là, j’ai vu comment on pouvait vraiment tirer parti de KDP pour tirer un profit plus intéressant. Si demain je décidais de me consacrer sérieusement à ce type de revenus « passifs » (ah ah !), je saurais exactement comment m’y prendre pour maximiser mes chances de succès.
Bref, l’édition traditionnelle peut être gratifiante sur le plan de l’ego, mais, pour des résultats financiers concrets, l’auto-édition avec KDP reste une approche plus transparente et souvent plus rentable. Le travail est considérable, mais les avantages sont nombreux : liberté totale sur ton projet, royalties plus élevées, et un contrôle absolu de ta stratégie de vente.
Logan, notre fils, a également publié son premier roman sur KDP : Les Arcanes de l’Âme. Je te le conseille vivement si tu aimes la dark fantasy.
Comment publier mon premier livre rapidement ?
- Étudie ce qui plait le plus dans la thématique que tu veux aborder. Analyse tous les critères, les mots-clés, la couverture, la présentation. Un logiciel comme Helium10 peut beaucoup t’aider pour cela, mais il a un coût.
- Écris et termine ton manuscrit. Inutile de te perdre dans mille détails avant d’avoir finalisé ton livre. La procrastination est l’ennemi numéro un.
- Sois soigneux dans la relecture. Emploie des outils comme Antidote ou fais appel à un correcteur si possible. Ce n’est pas la partie la plus sexy, mais c’est essentiel.
- Mets en page ton bouquin : KDP et d’autres plateformes offrent des dispositifs simples pour convertir ton fichier en format ebook et papier.
- Crée ton compte KDP, télécharge ton manuscrit, et publie-le sur Amazon.
- Communique très activement et régulièrement ! Utilise les réseaux sociaux, monte une petite communauté autour de ton œuvre, fais des campagnes de promotion payantes via Amazon Ads, etc.
Comment gagner sa vie en publiant sur KDP ?
L’auto-publication peut sembler un chemin de liberté, mais sans un minimum de stratégie, tu stagneras, c’est clair et net.
- Conçois une série de livres : elles se vendent souvent mieux que des ouvrages uniques. Une fois que tu fidélises un lectorat avec un premier bouquin, ils achètent volontiers les suivants.
- Soigne ton marketing : crée une mailing list, envoie des newsletters, fais des collaborations avec d’autres auteurs ou influenceurs, optimise tes pages Amazon.
- Apprends de tes erreurs : tu n’as peut-être pas réussi du premier coup, mais chaque échec est une opportunité de te perfectionner. La clé est de persévérer.
En suivant cette voie, tu peux finir par générer des revenus passifs intéressants à long terme, mais cela demande du temps et de l’énergie. Si tu te lances sérieusement, tu pourrais transformer ça en une source régulière de profit et même envisager d’en vivre.
Hacking éthique : Identifier des failles pour mieux les corriger
Le hacking éthique est une pratique où tu utilises des compétences en cybersécurité pour identifier des vulnérabilités dans les systèmes informatiques avec l’autorisation des propriétaires. Contrairement aux hackers malveillants, tu travailles dans le respect de la loi et des règles de l’entreprise.
Ton objectif est de détecter des brèches de sécurité, si possible avant qu’elles ne soient exploitées par des criminels. Ce travail est souvent payé via des programmes de « bug bounty » : des compagnies ou organisations offrent ainsi des récompenses financières pour chaque risque trouvé et correctement signalé.
Par exemple, des plateformes comme HackerOne, Bugcrowd ou Synack permettent aux experts de participer à ces programmes et de se faire rémunérer selon la gravité des failles découvertes. Des entreprises telles que Google, Facebook, ou encore des institutions gouvernementales encouragent également cette pratique pour protéger leurs infrastructures.
En 2022, des hackers éthiques ont pu gagner plus de 40 millions de dollars collectivement sur HackerOne.
Trouver des failles de sécurité, ça rapporte gros ?
Les revenus dépendent de la complexité des brèches que tu repères et des sociétés pour lesquelles tu travailles.
- Petites failles (de faible gravité) : Environ 100 à 500 € par découverte. Si tu es rapide, tu peux détecter plusieurs petites failles par semaine.
- Failles critiques (très graves) : Entre 5 000 et 50 000 € pour une seule. Certaines vulnérabilités extrêmement sensibles peuvent rapporter jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’euros, mais elles sont très rares et exigent un niveau d’expertise élevé.
La progression dépend de ton savoir-faire, de ta capacité à résoudre promptement des problèmes et à améliorer continuellement tes aptitudes. Les premiers gains peuvent arriver après quelques semaines ou mois de formation intense et de pratique.
Quelles sont les compétences nécessaires dans le hacking éthique ?
Les compétences sont variées et peuvent sembler techniques, mais elles sont accessibles avec de la persévérance et un bon apprentissage. Voici les incontournables :
- Compréhension approfondie des systèmes d’exploitation (Linux, Windows).
- Connaissance en réseau (protocoles TCP/IP, DNS, VPN, etc.).
- Prise en main des outils de sécurité : Wireshark, Burp Suite, Nmap, etc.
- Notions de programmation : Python, Bash, ou même JavaScript pour profiter des vulnérabilités.
- Maîtrise des principes de cryptographie.
- Connaissance des attaques courantes : SQL injection, XSS, CSRF, etc.
- Savoir présenter des rapports clairs et détaillés.
- Bonne gestion du stress, car certaines missions sont sous contrainte de temps.
Pour te former :
- Cours en ligne comme ceux proposés par TryHackMe, Hack The Box, ou Cybrary.
- Certificats de sécurité : Certified Ethical Hacker (CEH), Offensive Security Certified Professional (OSCP).
- Des sites comme Hack The Box ou CTF (Capture The Flag) te permettent de t’entraîner gratuitement.
Est-ce que je dois me rendre sur le Dark Web et courir des dangers pour apprendre à pirater ?
Non, tu n’as pas besoin de te perdre dans les tréfonds d’Internet pour apprendre le hacking éthique. Les plateformes légales comme TryHackMe ou Hack The Box te proposent des environnements sécurisés où tu peux pratiquer sans risque. Ce sont des simulateurs de failles et d’attaques créés pour t’apprendre les bases sans avoir à te frotter aux zones périlleuses du Web.
Précaution n° 1 : Évite tout ce qui provient du dark Web. Bien que tu puisses y trouver des logiciels pour hacker, ils peuvent contenir des malwares ou, pire, te plonger dans l’illégalité.
Précaution n° 2 : Protège ton environnement de travail avec des outils de cybersécurité.
- Garde ton anti-virus bien à jour.
- Utilise un pare-feu pour surveiller les connexions réseau.
- Entraîne-toi sur des machines virtuelles (VM) : c’est un sandbox qui isole tes activités de ton ordinateur principal, réduisant les dangers si tu commets des erreurs.
Précaution n° 3 : Reste toujours dans les limites légales et opère uniquement avec des entreprises qui t’autorisent à tester leurs systèmes via des programmes de bug bounty certifiés. Si tu demeures éthique, tu ne compromets rien sur le plan juridique ni en matière de sécurité personnelle.
Est-ce que je risque de télécharger des virus ou de me faire hacker moi-même ?
Cette éventualité existe si tu lances des softwares piratés ou illégitimes provenant de sources douteuses, c’est pourquoi il est indispensable d’utiliser des outils de sécurité reconnus et legit, comme Wireshark, Burp Suite ou Nmap, directement depuis leurs sites officiels.
Puis-je me faire des ennemis dans ce milieu ?
Si tu restes dans un cadre légal, tu ne devrais pas te faire d’ennemi. Le hacking éthique, en étant transparent et en respectant les règles, ne te met pas en danger. Cela dit, le monde du hacking en général attire parfois des individus peu scrupuleux.
Quelles opportunités réelles dans le hacking éthique ?
Ça peut devenir une activité très lucrative à long terme, mais ça demande un apprentissage constant. L’univers de la cybersécurité évolue rapidement, et les techniques d’attaque et de défense sont en perpétuelle mutation.
En plus des bug bounties, voici d’autres voies possibles :
- Consultant en cybersécurité : Travailler directement avec des sociétés pour évaluer la résistance de leurs systèmes.
- Formateur en cybersécurité : Partager tes connaissances avec des compagnies ou des organismes éducatifs.
- Fondateur d’une entreprise de sécurité informatique : Proposer des services d’audit, de surveillance et de conseil en sécurité.
Un hacker éthique compétent peut également intégrer des équipes internes de grands groupes, avec des salaires annuels attractifs allant de 50 000 à 120 000 €.
Comment vite devenir hacker éthique ?
Commence par t’inscrire sur une plateforme comme HackerOne ou Bugcrowd, qui sont accessibles aux débutants. Participer à des CTF (compétitions de cybersécurité) est un excellent moyen d’améliorer tes compétences tout en te faisant repérer par des recruteurs.
Voici un plan d’action rapide :
- Suis un cours gratuit sur TryHackMe pour te familiariser avec les concepts de base.
- Pratique sur Hack The Box en résolvant des défis réels.
- Obtiens ta première certification CEH pour valider tes aptitudes.
- Crée un profil sur HackerOne et cherche tes premières failles.
- Si tu détectes une brèche, rédige un rapport clair et professionnel pour l’entreprise concernée.
Je veux démarrer encore plus vite dans le hack éthique, comment faire ?
Mais tu n’en as jamais assez, sacripant ! 🙃 Bon, OK, commence dès maintenant avec ces étapes concrètes :
- Inscris-toi sur TryHackMe pour suivre un premier module de formation.
- Crée ton compte sur une plateforme comme HackerOne.
- Fixe-toi un premier objectif : trouver et soumettre une faille dans un programme de bug bounty au cours des 30 prochains jours.
Lance-toi ! C’est en pratiquant que tu deviendras un expert dans ce domaine !
Une activité dans le charme sur OnlyFans
Initialement conçu pour permettre à des créateurs de partager leur travail, OnlyFans a rapidement attiré… un autre type de profils. Eh oui, bien qu’elle soit ouverte à tous les domaines (cuisine, fitness, art, etc.), 95 % des revenus viennent du contenu pour adultes. Ça pose le décor. D’autres plateformes, comme Myms ou Fansly, se sont engagées dans le même créneau, séduisant des créateurs qui cherchent à monétiser leur contenu intime auprès d’une audience prête à payer.
Il y a deux approches pour se lancer sur ces plateformes : d’un côté, tu t’exposes toi-même, de l’autre, tu recrutes des créateurs que tu gères comme une petite agence.
Dans le premier cas, tu diriges tout. Tu postes des photos et vidéos, fais grandir ta communauté, fixes tes tarifs, et encaisses. Plus tu es déter et stratégique, plus tu attires des abonnés. Mais attention, ce n’est pas un jeu d’enfant : entretenir la flamme avec tes followers demande du boulot. Alors, la fantaisie est clairement ta meilleure amie ici.
Si tu préfères ne pas t’exposer, tu peux monter un petit empire en recrutant des créateurs. C’est ce qu’on appelle un business model d’agence. Toi, tu t’occupes de tout ce qui est marketing, management des abonnés, maximisation des profits, et tu prends une part des recettes des modèles que tu régis. Ce modèle demande plus de compétences en gestion et en communication, mais il peut être ultra-rentable si tu arrives à créer un réseau de créateurs populaires.
Combien je peux gagner sur OnlyFans ?
Les revenus varient énormément, mais voici une idée. Un créateur lambda sur OnlyFans gagne en moyenne 180 € mensuellement, ce qui peut sembler peu. Mais attention, il ne s’agit que d’une moyenne. En haut de l’échelle, les plus performants peuvent empocher des dizaines de milliers d’euros par mois. Belle Delphine, par exemple, aurait touché 1 million d’euros en un mois après avoir vendu… l’eau de son bain et des photos coquines.
Les premiers euros arrivent généralement au bout de quelques semaines si tu as une forte présence sur les réseaux sociaux et que tu sais déclencher un peu de buzz. Mais pour vraiment tirer une rémunération décente, compte plusieurs mois de travail intensif. Pour une agence, les revenus commencent à grimper à partir de 500 € à 3 000 € par mois si tu manages quelques modèles, mais, pour atteindre les sommes à cinq chiffres, il faut être prêt à y consacrer du temps et à recruter les bons profils.
Comment réussir sur OnlyFans ?
Que tu sois créateur ou que tu montes une agence, quelques compétences de base sont indispensables. Cela va nécessiter une grosse maîtrise des réseaux sociaux, car c’est là que tu attires ton audience. Pas besoin d’être un pro du montage vidéo, mais utiliser les outils efficaces pour rendre ton contenu attrayant et engageant est primordial. Les créateurs doivent aussi savoir gérer leur image et maintenir une relation proche avec leurs abonnés. C’est un mix entre show-business et marketing direct.
Si tu fondes une agence, en plus de ces compétences, tu devras administrer des talents, négocier des contrats et maximiser la monétisation. Pour te former, il existe des cours en ligne sur le marketing digital et la gestion de communauté. Des groupes privés sur Facebook et des forums spécialisés peuvent également t’aider à découvrir des astuces propres à ce business.
Comment démarrer rapidement sur OnlyFans ?
Si tu veux te lancer comme créateur, commence par ouvrir ton compte sur OnlyFans, Myms ou Fansly et mets-toi à produire du contenu dès maintenant. Partage des extraits gratuits – et plus habillés – sur tes réseaux sociaux pour attirer des abonnés, et propose rapidement des souscriptions payantes. Petit conseil : la diversité, c’est important. Présente du contenu interactif, exclusif, et varie les plaisirs. Des « requests » rémunérées (clichés ou vidéos à la demande) sont un excellent moyen d’engager tes followers et de gonfler tes revenus.
Si tu optes pour le statut d’agence, recrute quelques créateurs dès le départ. Fais jouer ton entourage ou cherche sur Instagram et TikTok des modèles débutants qui n’ont pas encore sauté le pas sur OnlyFans. Propose-leur un deal alléchant, où tu prends une commission sur leurs gains en échange de ton aide pour booster leur visibilité et gérer leur communauté. Ton rôle est de leur faciliter la vie pendant qu’ils se concentrent sur la réalisation de contenu.
Peut-on construire une carrière sur OnlyFans ?
Sur le long terme, les créateurs peuvent cumuler leurs profits en vendant des produits dérivés ou en diversifiant sur d’autres plateformes (YouTube, par exemple) pour atteindre un public plus large.
Pour une agence, la réussite passe par la fondation d’une structure professionnelle capable d’administrer de nombreux modèles tout en maximisant les revenus de chacun. Une fois bien rodé, tu peux même envisager de t’étendre à des types variés de services pour créateurs, comme la production de contenu ou le coaching sur la gestion de communauté. Ça peut te mener loin, vers un business de management d’influenceurs à grande échelle.
Quelle action réaliser tout de suite pour démarrer sur OnlyFans ?
Si tu veux débuter comme créateur, fonce ouvrir ton compte, commence à produire du contenu et tease-le sur tes réseaux.
Si l’idée de chapeauter des modèles t’intéresse plus, fais d’abord des recherches pour bien comprendre comment fonctionnent les contrats avec les créateurs et trouve quelques personnes motivées prêtes à s’engager avec toi. Sois sérieux et ne confonds jamais business et plaisir personnel, si tu vois ce que je veux dire. 😗 La clé est de te mettre en action rapidement pour générer tes premiers euros.
Voilà, un petit coup de pouce pour te placer sur la bonne voie et te lancer dans ce business quelque peu controversé, mais potentiellement juteux ! (S’il te plait, aucun jeu de mots ici.)
Les business complexes, mais à gros profit potentiel
Allez, on passe aux choses très sérieuses. Si tu cherches à faire du petit cash vite fait, tu es maintenant au mauvais endroit. Ce qu’on va voir ici, c’est du lourd, du business qui demande de l’huile de coude, de la sueur, de l’investissement et des nuits blanches. Ce n’est pas le type d’activité que je te conseillerais pour débuter en ligne, si tu as besoin de t’assurer rapidement une rémunération, sans trop injecter de fonds. Par contre, si tu es prêt à t’impliquer sérieusement, ça peut parfois te rapporter gros, très gros. On n’est plus sur des revenus pépères. Non, là, tu veux jouer dans la cour des grands.
Que tu préfères la carte de la sécurité ou que tu désires tout miser comme au casino, dans tous les cas, ces activités réclament un max d’efforts. Et on n’va pas se mentir, c’est souvent très technique, ça prend du temps et quelquefois des investissements costauds. Spoiler alert : ça demande toujours beaucoup, mais vraiment beaucoup de travail. En gros, si tu espères réussir en claquant des doigts, va plutôt relire la partie « argent de poche ». Ici, il va falloir de la détermination et un vrai plan de bataille.
Et si tu es encore là, c’est que tu es prêt à en découdre. Alors on y va, voici les business complexes qui peuvent véritablement te propulser vers des revenus très élevés (et t’assurer quelques cheveux blancs au passage).
Monter une agence de services Web
Créer une agence, c’est bâtir un business à partir d’une expertise que tu maîtrises bien. L’idée, c’est de passer du statut de freelance solo qui fait tout à celui de chef d’orchestre. Mais attention, ce n’est pas parce que tu diriges que tu peux te reposer sur tes lauriers. Que ce soit pour du SEO, de la pub en ligne, ou de la rédaction Web, le principe est le même : tu délègues les tâches opérationnelles à une équipe de prestataires de services ou d’employés, tout en gardant un œil de faucon sur la qualité.
L’idéal est de commencer par être freelance toi-même, histoire de comprendre de l’intérieur les besoins des clients et les défis du terrain. Ensuite, quand les commandes affluent et si tu gères bien ton marketing, tu peux sous-traiter certaines besognes, concevoir des process efficaces et cadrer le tout pour assurer une livraison top moumoute. Tu démarres ainsi par cette phase « petite agence » et tes efforts, autant en communication qu’en développement de processus, te permettront de grandir, grandir, grandir…
Il y a une alternative : tu peux aussi te lancer directement en créant une agence sans passer par la case freelance, méthode souvent appelée « dropservice ». En gros, tu vends des services que tu ne produis pas toi-même. Pas bête ? Oui, mais non. Cette approche te rend complètement dépendant de tes prestataires. Si tu n’as aucune expertise dans le domaine que tu proposes, tu es un peu comme un pilote aveugle : tu peux foncer droit dans le mur sans même t’en rendre compte. Tu es à la merci de la qualité des fournisseurs et, si ça déraille, tu ne sais pas corriger et c’est ton entreprise qui prend les coups.
En somme, créer une agence peut être une excellente manière de scaler ton activité, à condition d’avoir un professionnalisme solide ou de t’entourer de spécialistes fiables. Mais faire du dropservice à grande échelle, sans aucune expertise personnelle, c’est risqué. Très risqué.
Quel chiffre d’affaires fait une agence Web ?
Ça dépend énormément du secteur, de la taille de la société et de ta capacité à bien gérer les équipes et les projets. Voici quelques points basés sur des données réelles :
- Agences débutantes (1 à 5 employés) : Le chiffre d’affaires (CA) moyen d’une agence en France varie entre 60 000 et 150 000 € par an, selon le rapport de France Num 2022. C’est généralement le niveau atteint après un ou deux ans d’activité.
- Agences de taille moyenne (5 à 20 employés) : Ces agences génèrent un CA annuel compris entre 500 000 et 2 millions d’euros, mais cela peut prendre 3 à 5 ans pour accéder à ce niveau, toujours selon le rapport de France Num.
- Grandes agences : Si tu vises un modèle à grande échelle, sache qu’environ 10 % des agences en France dépassent les 5 millions d’euros de chiffre d’affaires par an. Attention, cela demande du temps, généralement plus de 5 ans, et requiert une administration très pointue.
Côté rentabilité, les agences bien pilotées atteignent des marges nettes autour de 20-30 %, selon l’étude menée par Deloitte en 2022.
Quelles compétences développer pour monter son agence Internet ?
- Bon, si tu veux créer une agence, tu ne peux pas te contenter de surfer sur ton enthousiasme. Il te faut de vraies aptitudes. D’abord, la gestion de projet et la relation client, ça ne s’improvise pas. Ensuite, tu devras apprendre à encadrer une équipe, motiver les troupes, et éviter les retards (ainsi que les excuses farfelues du genre « mon chien a mangé mon document Word »).
Pour te former efficacement, Hubspot propose des programmes gratuits sur différentes compétences nécessaires, malheureusement uniquement en anglais.
Comment fonder rapidement son agence de services en ligne ?
Pas besoin d’attendre d’avoir une team de 20 personnes pour te lancer. Commence simple. Si tu es déjà freelance, garde les choses sous contrôle et recrute ton premier travailleur indépendant quand tu es à la limite de ta capacité. L’aide d’une assistante virtuelle peut aussi être un vrai plus. Crée des procédures claires pour tout ce que tu fais et organise bien ton équipe naissante.
Avec une agence, la règle d’or est de ne jamais surpromettre. Tu ne veux pas que tes premiers clients se transforment en cauchemars. Lance-toi petit, fais tes preuves, et surtout : ne vise pas la Lune dès le départ. À l’opposé, surlivrer te permettra de cibler plus haut que ce à quoi tu t’es engagé et te construira une réputation solide.
Comment devenir une agence Web au top ?
Réussir avec une agence, c’est surtout une question d’endurance. La clé, c’est la qualité et la constance. Standardise autant que possible tes processus pour que chaque projet soit livré à la même qualité, peu importe qui dans ton équipe le gère. Une fois les bases solides, tu pourras envisager de diversifier tes services : si tu es une agence de SEO, pourquoi ne pas ajouter des prestations de publicité en ligne ou de production de contenu ?
D’après une étude de l’INSEE, seulement 60 % des agences créées en France survivent à leurs cinq premières années. (Mais c’est mieux que la moyenne générale des entreprises françaises : 50 %.)
Si tu gères bien, tu peux projeter d’ouvrir d’autres bureaux, de fusionner avec une agence partenaire ou même de vendre ton business. Mais, avant d’en arriver là, comprends que cela te demandera énormément de travail.
Quelle action réaliser tout de suite pour fonder mon agence de services ?
Si tu es prêt à débuter, ne reste pas dans l’hésitation. Première étape : formalise un plan de lancement et — très important — mets en place tes premiers process. Que ce soit en recrutement, en gestion de projets, ou en relation client, tu dois déjà savoir où tu vas. De bons processus, c’est au moins 50 % du succès d’une agence ! Commence ensuite à déléguer une tâche simple pour te jeter à l’eau ! Et surtout, pense toujours à la qualité avant la quantité.
Lancer un SaaS ou une app mobile
Créer un SaaS (Software as a Service) ou une application mobile implique le développement d’un logiciel accessible en ligne ou via un smartphone, offrant aux utilisateurs un service spécifique en échange d’un abonnement ou d’un paiement unique. Ce modèle permet de fournir des services de manière flexible et évolutive, sans nécessiter de distribution physique.
3 exemples de projets que nous avons créés
ProCalc.app
Application de calculatrice professionnelle disponible sur iPhone, iPad et Apple Watch. Elle génère des revenus modestes, mais constants depuis plusieurs années.
EdenPersona
Outil en ligne permettant de créer des buyer personas à l’aide de l’intelligence artificielle. Lancé récemment, il est en cours de développement pour atteindre sa pleine potentialité.
Quels revenus espérer avec un Saas ou une app iOS/Android ?
Les possibilités de profits varient considérablement en fonction de plusieurs facteurs, notamment la nature du service, le marché cible, la stratégie de monétisation et les efforts de marketing déployés.
Applications mobiles
Le marché des applications mobiles est extrêmement compétitif. En 2023, les apps en France ont généré 2,48 milliards de dollars de revenus, avec plus de 2,16 milliards de téléchargements. Cependant, il est important de noter que la majorité des applications ne sont pas rentables. En effet, selon un rapport de Gartner, plus de 99,9 % des applications coûtent plus à développer qu’elles ne procurent en chiffre d’affaires.
SaaS
Les entreprises SaaS peuvent générer des revenus récurrents significatifs, mais cela nécessite souvent du temps et des investissements initiaux importants. Le marché du SaaS en Europe devrait croître de 19,09 % entre 2024 et 2029, atteignant 197 milliards de dollars en 2029.
En 2023, le revenu annuel récurrent médian dans les entreprises SaaS privées était d’environ 112 500 USD par employé
. (Source : Dorik AI.)
Mais il n’empêche que 90 % des nouvelles startups SaaS échouent à devenir rentables. Logique : le coût d’acquisition des clients pour ces modèles a augmenté de 180 % entre 2021 et 2023 et le délai de récupération de ce coût s’est allongé de 150 %. De plus, les sociétés SaaS doivent gérer un taux de churn (clients perdus) moyen de 5 à 7 %, et ce chiffre peut monter jusqu’à 10 % pour les outils destinés aux petites entreprises.
Ainsi, bien que les SaaS puissent être une opportunité lucrative, la grande majorité des startups dans ce secteur échouent à surmonter ces obstacles.
Quelles compétences nécessaires ? Comment se former ?
Le développement d’un SaaS ou d’une application mobile requiert une combinaison d’aptitudes techniques, de design et de marketing.
- Développement : Maîtrise des langages de programmation pertinents (comme JavaScript, Python, Swift) et des frameworks de développement.
- Design UX/UI : Capacité à concevoir des interfaces utilisateur intuitives et attrayantes.
- Marketing digital : Compétences en référencement, publicité en ligne, gestion des réseaux sociaux et analyse de données.
- Pour acquérir ces compétences, de nombreuses ressources sont disponibles sur la toile, telles que des cours sur des plateformes comme OpenClassrooms, Udemy ou des tutoriels sur YouTube.
Comment se lancer rapidement dans le dév’ d’app ou de SaaS ?
Pour démarrer efficacement :
- Effectue une étude de marché pour t’assurer qu’il existe une demande pour le service envisagé.
- Décide de la technologie et de l’infrastructure à employer selon les exigences du projet.
- Crée un MVP, une version minimale du produit pour tester les fonctionnalités principales et recueillir des feedbacks utilisateurs.
- Planifie des actions de marketing pour promouvoir le service et attirer les early adopters.
Comment réussir sur le long terme avec son SaaS ou son app ?
La réussite à long terme dépend de la capacité à adapter le service aux besoins changeants des utilisateurs, à maintenir une qualité élevée et à gérer efficacement les ressources.
- Évolution du produit : Ajouter régulièrement de nouvelles fonctionnalités et améliorer l’expérience utilisateur pour fidéliser les clients.
- Expansion du marché : Explorer d’autres segments de marché ou régions géographiques pour élargir la base d’abonnés.
- Partenariats stratégiques : Collaborer avec des entreprises pour créer des synergies et accéder à différents canaux de distribution.
- En suivant ces étapes et en restant attentif aux tendances du marché, il est possible de développer un SaaS ou une application mobile réussie et durable.
Fabrique ton jeu… (et prouve à ta mère que c’est un vrai boulot)
Développer des jeux vidéo, c’est plonger dans un univers où la créativité rencontre la technologie. Ton job, c’est de concevoir des systèmes interactifs captivants, des mécaniques de jeu accrocheuses et surtout de trouver un moyen de capter l’attention des joueurs dans un marché hyper compétitif. Ça peut être un projet solo ou collaboratif. Dans tous les cas, il y a une grosse dimension technique (programmation, design, son), mais aussi marketing, qu’on a souvent tendance à sous-estimer.
Le développement indépendant est de plus en plus accessible grâce à des outils tels que Unity ou Unreal Engine qui permettent de déployer des jeux performants sans avoir besoin d’une énorme équipe ou d’un budget conséquent. Cependant, il est important de noter que, même avec un concept remarquable, la réussite n’est jamais garantie. Des exemples comme Flappy Bird, Minecraft ou Undertale montrent que quelques indés ont percé en devenant des phénomènes mondiaux, mais ils restent des exceptions.
Combien d’euros je peux gagner en créant des jeux vidéo ? (Non, je ne veux pas être payé en V-Bucks, merci.)
Les revenus dans le développement de jeux vidéo varient énormément. Un titre indépendant peut rapporter quelques centaines d’euros… ou des millions. L’écart est immense, et il relève de la qualité du jeu, de son accueil par le public et des efforts de marketing.
Distribution des revenus des jeux sur Steam
Moins de 1000$ (14%)
Entre 1000$ et 5000$ (36%)
Plus de 5000$ (50%)
De plus, une analyse des jeux sortis entre 2020 et 2022 montre que 68 % d’entre eux ont occasionné moins de 10 000 dollars de recettes à ce jour.
Ces statistiques mettent en évidence que, bien que Steam offre une plateforme accessible pour les développeurs, la majorité des titres ne parviennent pas à générer des revenus substantiels.
Sachant que le temps pour développer un jeu dépend aussi de sa complexité. Un jeu mobile simple pourrait prendre quelques mois à un an, tandis qu’un RPG ou un jeu plus ambitieux demande plusieurs années, voire plus de 10 ans dans certains cas.
C’est facile de faire un jeu vidéo ?
Oui, c’est très simple ! Il suffit de… tout savoir faire !
- Programmation : maîtrise des langages tels que C#, C++, JavaScript ou Python. L’utilisation de moteurs comme Unity ou Unreal est presque incontournable. Tu peux te former gratuitement avec des ressources en ligne (YouTube, Udemy, ou des forums de développeurs).
- Graphisme : savoir créer des assets 2D ou 3D est un atout majeur. Bien exploiter Blender, Photoshop, ou des outils de pixel art est recommandé.
- Musique et sound design : des logiciels comme Audacity ou FL Studio peuvent être pratiques si tu veux aussi gérer la bande sonore de ton jeu.
- Marketing et communication : savoir pitcher ton projet, enthousiasmer une communauté, et tirer parti des réseaux sociaux et des plateformes comme Steam pour promouvoir ton jeu.
Et si on entrait dans le détail, on devrait parler de level design, character design, storytelling et j’en passe !
Quelles stratégies pour réussir en tant que développeur solo ?
Les développeurs solos qui ont brillé ont souvent utilisé une combinaison de stratégies astucieuses et d’efforts constants. Voici quelques-unes des approches qui se sont révélées efficaces pour obtenir le succès.
1. Participer à des Game Jams
Les game jams sont des compétitions où les dév’ conçoivent un jeu en quelques jours, souvent autour d’un thème imposé. Beaucoup de développeurs solo ont lancé leur carrière ou testé leurs idées à travers ces événements. C’est un excellent moyen de se faire remarquer, de se constituer un réseau, et parfois même de finaliser un jeu à commercialiser après coup. Exemple : Toby Fox, le papa d’Undertale, a prototypé des concepts dans des game jams avant de travailler sérieusement sur le jeu.
2. Créer un prototype rapidement et l’améliorer grâce aux retours
Les développeurs solos à succès lancent souvent un prototype de leur jeu rapidement et le mettent à l’épreuve avec des utilisateurs. Cela permet d’identifier les faiblesses et d’optimiser l’expérience de jeu en fonction des retours concrets du public. Ce processus itératif a notamment été exploité par Eric Barone, créateur de Stardew Valley, qui a fait évoluer son jeu en écoutant les attentes de sa communauté pendant le développement.
3. Bâtir une communauté
Le développement solo est souvent lié à la création d’une communauté autour de son projet, que ce soit sur des forums, Discord, Reddit ou Twitter. Entretenir un dialogue ouvert avec les fans, leur montrer les coulisses, et intégrer leurs retours dans le jeu permet non seulement de fidéliser une audience, mais aussi de bénéficier de la promotion gratuite de bouche à oreille. Là encore, Eric Barone a bâti une fanbase autour de Stardew Valley avant même la sortie du jeu, ce qui a assuré un lancement réussi.
4. Utiliser des plateformes comme Kickstarter ou Patreon
Le financement participatif a été un tremplin pour plusieurs développeurs solos. Non seulement cela leur permet de récolter des fonds pour déployer le jeu, mais cela permet aussi de valider l’intérêt du public pour leur projet avant qu’il ne soit terminé. Toby Fox a utilisé Kickstarter pour financer Undertale, lui obtenant une somme modeste, mais suffisante pour finaliser son œuvre.
5. Se focaliser sur une mécanique ou un concept innovant
Le succès d’un jeu ne repose pas toujours sur des graphismes impressionnants ou des fonctionnalités complexes. Des archétypes comme Flappy Bird ou Undertale ont prouvé que des mécaniques de jeu simples, mais addictives, ou des concepts originaux peuvent captiver une audience.
6. Ne pas négliger le marketing et les réseaux sociaux
Les développeurs solos qui réussissent ne comptent pas uniquement sur la qualité de leur création. Ils comprennent l’importance de la promotion, que ce soit via les réseaux sociaux, les blogs, ou les influenceurs. Partager des vidéos de gameplay, des mises à jour de développement, ou même des mèmes humoristiques autour de leur jeu permet d’attirer l’attention. Par exemple, Among Us a vu sa popularité exploser grâce aux streamers Twitch et YouTube qui l’ont découvert et diffusé massivement.
7. S’associer avec des influenceurs ou des streamers
Collaborer avec des streamers ou des influenceurs pour soutenir un jeu peut transformer un projet modeste en un phénomène viral. Beaucoup de développeurs indés offrent des copies gratuites de leur jeu aux créateurs de contenu pour qu’ils en parlent ou en fassent la promotion. On peut citer Fall Guys qui a bénéficié d’une couverture massive par les streamers, ce qui a contribué à son explosion de popularité.
8. Se différencier par le style ou la narration
Certains jeux solos ont percé grâce à une direction artistique unique ou à une histoire captivante. Investir du temps dans une esthétique ou une ambiance distincte peut rendre le jeu mémorable et attirer l’attention, même si la concurrence est forte. Hyper Light Drifter, avec ses graphismes en pixel art et sa narration minimaliste, a conquis une large audience grâce à sa singularité visuelle et à son gameplay fluide.
9. Persévérer et travailler sur le long terme
La plupart des développeurs à succès n’ont pas connu celui-ci du jour au lendemain. Ils ont souvent mis plusieurs années à travailler sur leur jeu, en l’améliorant progressivement. Il y a toujours des obstacles et des échecs en cours de route, mais la persévérance est un facteur clé pour ceux qui réussissent.
Si un concept est bon et bénéficie de vrais efforts marketing, mais sans être un top retentissant, un développeur indépendant peut espérer des revenus décents, même si l’on ne parle pas de millions. Voici un aperçu des gains potentiels et du nombre de ventes nécessaires.
- Jeu vendu à 10 € sur Steam. Valve prend une commission de 30 %, donc, sur chaque vente à 10 €, le développeur touche environ 7 €.
- Ventes réalistes pour un jeu indépendant de qualité Un bon jeu indé avec des efforts de marketing bien ciblés, mais sans être un hit mondial, peut raisonnablement espérer distribuer entre 5 000 et 20 000 exemplaires dans les premiers mois ou la première année, avec une communauté déjà existante et un bouche-à-oreille efficace.
- 10 000 ventes à 7 € par copie (net de la commission Steam) :
10 000 x 7 € = 70 000 €
- 10 000 ventes à 7 € par copie (net de la commission Steam) :
- Scénario d’un succès modéré
- Pour un jeu indépendant bien accueilli, mais pas viral, diffuser 10 000 exemplaires sur Steam est tout à fait possible avec un marketing solide.
- Si le jeu est également disponible sur d’autres plateformes (Itch.io, GOG, ou encore des consoles ou des appareils mobiles), cela devrait accroître les revenus.
Ces estimations sont optimistes et supposent une bonne réception du jeu ainsi qu’une communication efficace. Il est important de noter que la majorité des jeux indépendants ne parviennent pas à récolter de telles ventes, et que le succès découle de nombreux facteurs, particulièrement la qualité du jeu, le marketing, et la concurrence sur la plateforme.
Combien de ventes pour obtenir un salaire correct ?
Si tu vises un revenu de 50 000 € (brut annuel raisonnable pour un développeur solo), il te faut accéder à environ :
- 50 000 € ÷ 7 € (bénéfice net par copie) = 7 150 ventes.
Ce chiffre peut paraître atteignable, surtout si le jeu est bien marketé et bénéficie d’une couverture par des influenceurs, des critiques positives ou des partages par des streamers sur Twitch.
Stratégies pour maximiser les ventes
Voici quelques conseils pour développer les ventes de ton jeu.
Accroître la visibilité
Des plateformes comme Steam offrent des promotions régulières, et placer ton jeu dans des bundles ou sur des sites de distribution de clés peut aussi booster les ventes sur le long terme.
Exploiter d’autres sources de revenus
Parfois, les développeurs solos complètent leurs revenus avec des achats in-game (DLC, extensions ou éléments cosmétiques), ce qui augmente la durée de vie financière du jeu.
Portage sur d’autres plateformes
- Si le jeu rencontre du succès sur PC, l’étendre à des consoles (Switch, PlayStation, Xbox) ou à des plateformes mobiles peut démultiplier les ventes.
Comment créer son premier jeu vidéo ?
Si tu veux démarrer rapidement, choisis un projet modeste et utilise un moteur de jeu accessible comme Unity. Tu dénicheras énormément de tutoriels et une large communauté d’entraide.
Et pourquoi ne pas participer à des game jams ? Dans ces compétitions, tu développes un jeu en un temps limité. C’est parfait pour te faire la main et te constituer un portfolio. Tu peux en trouver la liste sur Itch.io ou sur Indie Game Jams.
Calendrier des Indie Game Jams
Tiny Marb’ était le premier jeu de Logan, qu’il a développé et publié à 15 ans
L’expérience de Logan et ses projets
Prenons un exemple très concret avec Logan, notre fils, qui est un passionné de création de jeux vidéo depuis… eh bien, depuis qu’il sait tenir une manette. Aujourd’hui, à 24 ans, il consacre une grande partie de son temps à concevoir des univers interactifs et à développer ses futurs hits.
À 15 ans, Logan a publié son premier jeu, Tiny Marb’, sur iOS et Android. Pas mal, non ? Ce petit casse-tête à base de billes était simple, mais très ingénieux. Il n’a pas fait de lui un millionnaire, très (très) loin de là, mais il lui a mis le pied à l’étrier dans cet univers impitoyable du game dev.
Mais les vraies ambitions vidéoludiques de Logan sont tout autres. Il a plusieurs créations sur le feu. L’un de ses bébés, c’est un RPG dont les premières ébauches remontent à plus de 10 ans. Oui, tu as bien lu, 10 ans ! Ce concept, c’est son rêve de gosse, et il y travaille fréquemment.
Logan, c’est l’exemple parfait de la persévérance dans ce métier. Même quand un projet ne décolle pas, il continue, il apprend, il évolue. Ses faiblesses à combler ? Le marketing ! Comme presque tous les esprits artistes, il n’aime pas vendre. Pourtant, c’est indispensable pour ne pas tomber dans le piège de l’auteur maudit. Du coup, il s’y penche. Et c’est exactement ça le tempérament du développement de jeux : tu t’accroches, tu expérimentes et, un jour, peut-être, tu publies une œuvre qui marquera l’histoire. Ou au moins, une qui sera jouée par quelques milliers de personnes, ce qui n’est déjà pas si mal.
Si tu te reconnais dans cette passion, alors tu es sur la bonne voie !
QuelleS actionS immédiates si je veux créer un jeu ?
Télécharge Unity ou Unreal Engine et commence par suivre un tutoriel. Quand tu maîtrises les bases, fixe-toi un objectif simple : développer un prototype jouable en moins d’un mois. Si c’est vraiment une ferveur, ça pourrait être la première étape d’un long parcours.
Et si tu devenais influenceur ?
Ah, les réseaux sociaux ! Ce merveilleux monde où les chats se transforment en célébrités et où les gens partagent leurs repas comme s’il s’agissait d’œuvres d’art. Mais, tu le sais, c’est aussi un excellent moyen de gagner de l’argent ! Tu peux métamorphoser ton addiction aux likes en une véritable machine à sous. Alors, prépare-toi à découvrir comment muer tes reels en argent réel !
Comment devenir un influenceur rémunéré ?
La première étape est de choisir ton créneau. Tu es passionné par les foulards arc-en-ciel ? Parfait ! Fais-en ta marque de fabrique.
Utilise ta présence sur Instagram, TikTok ou YouTube pour attirer une communauté et la monétiser de différentes manières. Le modèle d’affaires repose sur la création régulière de contenu (photos, vidéos, posts, stories, etc.), et sur l’engagement de ton audience. Plus elle est active, plus tu as des opportunités de gagner de l’argent. Les entreprises te rémunèrent pour mettre en avant leurs produits ou services, soit via des publications sponsorisées, soit par des collaborations de plus long terme. Il existe aussi des plateformes comme Patreon où ta communauté peut te soutenir directement avec des abonnements payants.
Selon une étude de Reech en 2023, seulement 4 % des influenceurs en France parviennent à générer un revenu suffisamment important pour en faire leur activité principale à temps plein.
Parmi les exemples connus d’influenceurs, on peut citer Léna Situations, qui a commencé sur YouTube et Instagram et a réussi à monétiser son audience à travers des partenariats avec de grandes marques de mode. Ou bien Just Riadh, qui a explosé sur TikTok grâce à ses vidéos humoristiques avant d’attirer l’attention des sponsors.
Selon des études récentes, en 2023, les micro-influenceurs (moins de 100 000 abonnés) génèrent en moyenne 500 à 1 000 € par post sponsorisé, tandis que les macro-influenceurs (plus de 500 000 abonnés) peuvent toucher jusqu’à 10 000 € et plus. En France, on estime que le marché de l’influence représente plusieurs millions d’euros chaque année.
Catégorie d’influenceur | Nombre d’abonnés | Gains moyens par post sponsorisé (€) | Exemple notable |
Nano-influenceur | 1 000 – 10 000 | 50 — 300 | @famille.nomade.digitale (Bein oui, c’est nous ! 😉) |
Micro-influenceur | 10 000 – 100 000 | 300 — 1 500 | @little.gypsea |
Macro-influenceur | 100 000 – 500 000 | 1 500 – 10 000 | @fiftyyearsofawoman |
Méga-influenceur | 500 000 et plus | 10 000 – 100 000 ou plus | @lenamahfouf |
Que dois-je savoir pour devenir influenceur ?
- Compétences indispensables : la création de contenu visuel (photos, vidéos), la capacité à impliquer ton audience, l’utilisation des réseaux sociaux, la gestion de la relation avec les marques.
- Compétences importantes : storytelling, montage vidéo, analyse des performances (statistiques, engagement).
- Compétences accessoires : une maîtrise des outils publicitaires (Facebook Ads, Instagram Ads) pour promouvoir certaines publications.
Pour apprendre, tu peux commencer par des tutos en ligne sur YouTube, puis suivre des formations spécialisées en content marketing (ex. : Udemy, Domestika). Des mentors ou des coachs peuvent aussi t’aider à développer ton image et à négocier avec les entreprises.
Comment démarrer une activité d’influenceur ?
- Choisis une niche : mode, lifestyle, humour, voyage, etc. Sois spécifique, ça te permettra de mieux te différencier.
- Publie régulièrement du contenu de qualité. Priorise l’authenticité et l’interaction avec ta communauté.
- Inscris-toi sur des plateformes comme Influence.co ou Octoly pour être mis en relation avec des marques.
- Commence à négocier tes premiers contrats de manière directe, même pour de petites sommes. L’important est de construire ton portfolio.
Comment réussir sur le long terme dans le métier d’influenceur ?
La carrière d’influenceur peut être durable, mais elle dépend de ton adaptation aux tendances et de la fidélité de tes fans. Pour un succès pérenne :
- Diversifie tes revenus : collaborations, produits dérivés, formation, coaching.
- Développe ta présence sur plusieurs plateformes pour ne pas être dépendant d’un seul canal.
- Cultive une relation de confiance avec ton audience : la transparence est la clé.
Si tu arrives à te faire un nom, cela peut mener à des contrats de longue durée avec des entreprises, voire à la constitution de ton propre business (ex. : marques de vêtements ou merchandising). Mais tout cela, c’est très hypothétique ! En effet, très peu d’influenceurs parviennent à gagner leur vie correctement.
En France, une étude de Reech indique qu’en 2024, 66 % des influenceurs engrangent moins de 5 000 € par an grâce à leurs activités en ligne, et seulement 25 % des créateurs de contenu déclarent générer un revenu annuel supérieur à 10 000 € !
Quelle action réaliser tout de suite si ça m’intéresse ?
Commence par ouvrir un compte professionnel sur la plateforme de ton choix. Définis ta niche et publie ton premier post en utilisant des hashtags spécifiques pour atteindre une audience ciblée. Observe ensuite des influenceurs dans ta thématique et analyse leurs stratégies pour t’en inspirer.
T’es imbattable à FC2025, CS, SF6 ou LOL ?*
(Si tu ne comprends pas ces sigles, c’est peut-être que tu n’es pas concerné ! 😁)
Devenir un progamer est l’une des méthodes les plus récentes et impressionnantes pour se construire un salaire en ligne. Ce qui était autrefois une simple passion est aujourd’hui un vrai business grâce à l’essor des jeux vidéo compétitifs et des sites de streaming.
Dans le monde de l’e-sport, les joueurs participent à des challenges où les cash-prizes peuvent atteindre des sommes imposantes. On parle de six voire sept chiffres pour les tournois les plus prestigieux, comme The International (Dota 2) ou la Fortnite World Cup. À côté de cela, tu peux diffuser tes parties en direct sur des plateformes telles que Twitch ou YouTube.
Mathieu « ZywOo » Herbaut
Joueur français emblématique de Counter-Strike
Gains en tournois
En plus de son salaire, ZywOo a accumulé des gains substantiels grâce à ses victoires en tournois. À ce jour, il a remporté plus de 1,1 million de dollars en prix de compétition.
Comparaison avec d’autres joueurs
Le salaire de ZywOo est nettement supérieur à la moyenne des joueurs professionnels de Counter-Strike. En général, les meilleurs gagnent entre 27 000 € et 36 000 €, ce qui montre à quel point ZywOo se distingue dans le milieu.
Progamer, c’est un travail en ligne ?
Oui, progamer, c’est un travail en ligne… mais pas que ! Si tu peux t’entraîner tranquille de chez toi en pyjama, il y a aussi des bootcamps obligatoires où tu dois te rendre sur place avec toute ton équipe. C’est comme une coloc de gamers, mais en mode intensif : plusieurs heures d’entraînement par jour pour bosser la coordination et la stratégie. Et puis, il y a les tournois en LAN, où tu joues en physique, avec zéro lag et toute la pression du public.
Du coup, j’ai hésité à intégrer cette activité dans cette liste, puisqu’elle inclue une présence physique nécessaire. Alors, pourquoi est-ce qu’elle est présente ? Car, à part pour les tournois (qui peuvent d’ailleurs être une belle occasion de voyager à travers le monde), cette présence physique n’est nécessaire que pour le haut du panier, ceux qui sont en équipe pro. Tu peux aussi réussir sans cela.
Quels sont les moyens de revenus en étant progamer ?
Comme pour les sportifs plus « classiques », les revenus peuvent être diversifiés.
Compétitions d’e-sport : des tournois à gros cash-prize
Les joueurs professionnels participent à des tournois d’e-sport, où les plus grands événements, comme ceux organisés autour de League of Legends, Dota 2 ou Fortnite, offrent des cash-prizes qui peuvent atteindre des millions d’euros. Il faut évidemment un talent exceptionnel, des heures de pratique quotidienne et une immersion totale dans le monde compétitif pour espérer en vivre.
Mais il n’y a pas que les MOBA (Multiplayer Online Battle Arena) et les Battle Royale qui sont présents sur la scène compétitive. Les compétitions e-sport autour d’EA Sports FC attirent des milliers de joueurs internationalement. Par exemple, la FIFA eWorld Cup, qui est l’une des plus grandes épreuves, a offert en 2023 un cash prize de 500 000 dollars. Les qualifications pour ces événements rassemblent des dizaines de milliers de compétiteurs, et les finales sont regardées par des millions de fans en ligne et en direct. La franchise reste extrêmement populaire dans l’univers du sport électronique, particulièrement en Europe et en Amérique du Sud.
Les jeux de combat ont aussi une scène e-sport active avec des tournois majeurs, comme EVO (Evolution Championship Series), qui regroupe les meilleurs joueurs de Street Fighter, Tekken et autre Super Smash Bros. Les cash prizes varient, mais, par exemple, l’EVO 2023 a eu un prize pool total de plus de 350 000 dollars. Ces tournois attirent des joueurs du monde entier, avec des compétiteurs venant principalement des États-Unis, du Japon, et de la Corée du Sud, où les fighting games ont une scène très performante. Mais la France commence à se faire une place importante. La preuve : en 2024, le français Kusanagi a remporté l’Ultimate Fighting Arena (UFA), un grand tournoi de Street Fighter 6.
Il y a près de 58 000 joueurs répertoriés sur la plateforme Esports Earnings, soit des participants aux tournois ayant décroché des prix.
Salaires des clubs : un revenu stable
En plus des compétitions, les meilleurs progamers sont souvent membres de clubs ou d’équipes d’e-sport. Ces clubs leur versent un salaire mensuel fixe qui peut varier entre quelques milliers d’euros pour les « débutants”, à plus de 100 000 € par mois pour les stars de la scène. C’est un revenu stable qui permet de se concentrer sur les compétitions et l’entraînement sans dépendre uniquement des résultats des tournois.
On peut estimer qu’il y a entre 10 000 et 15 000 joueurs professionnels sous contrat dans le monde entier. Il y en a environ 3500 aux États-Unis et 230 en France.
Streaming sur Twitch et YouTube : monétisation d’une audience de fans
Le streaming a évolué en véritable machine à cash. Les progamers retransmettent leurs parties en direct sur des plateformes comme Twitch ou YouTube. Ils y sont suivis par des milliers, voire des millions de fans. Les revenus viennent principalement des abonnements, des dons et des partenariats avec des marques. Si tu es à l’aise devant la caméra et que tu peux inspirer une vraie communauté, la diffusion en continu peut devenir un business lucratif.
Kayane
Joueuse pro, Streameuse, présentatrice sur GameOne
Sponsoring et partenariats avec des marques
En devenant progamer, tu peux attirer des sponsors de grandes marques de matériel informatique, de boissons énergétiques, de vêtements, etc. Ces partenariats offrent des rémunérations supplémentaires sous forme de contrats publicitaires, de placements de produits ou même d’équipements gratuits.
En 2023, le sponsorship représentait environ 837,2 millions de dollars de gains dans l’industrie de l’e-sport au niveau mondial, soit plus de la moitié des revenus totaux de l’e-sport.
Pour des joueurs moins connus, les recettes des sponsors peuvent se situer autour de 1 000 à 5 000 euros par mois. En revanche, des stars comme Ninja ont pu signer des contrats avec des marques telles qu’Adidas, ce qui leur rapporte plusieurs millions de dollars par an
.
Création de contenu autour du gaming
Outre le streaming, beaucoup de progamers créent du contenu autour de leurs jeux favoris, avec des tutoriels, des conseils pour s’améliorer ou simplement du divertissement. Ils monétisent leurs chaînes YouTube via la publicité et l’affiliation (vente de matériels, partenariats, etc.), augmentant ainsi leurs sources de revenus.
Coaching de joueurs amateurs
Les joueurs amateurs ou semi-professionnels souhaitent souvent des conseils pour s’améliorer. Les progamers peuvent proposer des sessions de coaching payantes pour aider ces joueurs à monter en compétences. Des plateformes comme Metafy permettent de se lancer dans le coaching de joueurs à la recherche d’accompagnement par des experts.
Quel est le revenu moyen d’un joueur pro ?
Les revenus des joueurs professionnels de jeux vidéo peuvent varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, notamment le jeu pratiqué, le niveau d’habileté, l’équipe, les sponsors et les sources de profits supplémentaires, comme le streaming. Voici un aperçu des rendements dans différents contextes.
Revenu moyen
- Généralités : En 2024, le salaire moyen d’un joueur d’e-sport professionnel se situe entre 12 000 $ et 187 200 $ par an, en excluant les sponsors et les bonus. (Source).
- Dota 2 : Les compétiteurs de haut niveau peuvent remporter jusqu’à 420 000 $ par an, tandis que les joueurs de rang intermédiaire gagnent entre 24 000 $ et 180 000 $.
- League of Legends : Le salaire moyen est d’environ 410 000 $ par an, avec un salaire minimum de 75 000 $ en LCS NA. En France, les montants sont bien plus bas, compter entre 1500 € et 5000 € par mois.
Facteurs influençant les revenus
- Popularité du jeu : Les licences avec d’importantes audiences et des tournois majeurs tendent forcément à offrir des salaires plus élevés.
- Performance et notoriété : Les e-sportifs ayant de bons résultats en compétition et une grande fanbase peuvent négocier de meilleurs contrats et attirer plus de sponsors.
- Pays : Les rémunérations peuvent varier selon la zone géographique, en raison des disparités économiques et de la considération de l’e-sport.
Ouais ! Si je veux me lancer, je vais pouvoir m’éclater toute la journée à jouer, c’est bien ça ?
Il y a une énorme différence entre passer du temps à jouer pour le plaisir et s’entraîner sérieusement pour devenir progamer. Et c’est là que beaucoup tombent dans le piège : ils se disent qu’ils s’entraînent, alors qu’en réalité, ils sont juste en train de perdre des heures à faire des parties sans but précis, comme n’importe quel amateur du dimanche. C’est un peu comme si tu allais à la salle de sport, mais que tu y discutais avec tes potes plutôt que d’y soulever des poids.
La différence de comportement
Quand tu joues pour le plaisir, tu te connectes, tu lances une partie, et tu te laisses porter. Tu t’amuses, tu te détends, tu rigoles avec tes amis. Tout va bien si tu gagnes, tout va bien si tu perds, parce qu’au final, tu ne cherches qu’à passer un bon moment. (Bon, tu peux aussi rager en jetant ta manette au sol.)
S’entraîner pour devenir pro, en revanche, c’est une approche totalement différente. C’est comme préparer un marathon : chaque session doit avoir un objectif précis. Que ce soit améliorer tes réflexes, comprendre une nouvelle stratégie ou travailler sur ta coordination avec ton équipe, chaque partie compte. Tu ne te contentes pas de jouer pour jouer, tu te disciplines pour être meilleur.
La gestion du temps et des performances
Une des premières erreurs des aspirants progamers, c’est de croire que passer plus de temps à jouer signifie devenir meilleur. Faux ! Ce n’est pas la quantité d’heures qui compte, c’est la qualité de ton entraînement. Tu pourrais dérouler dix heures par jour sur ton MOBA préféré, mais si tu ne travailles pas sur des aspects spécifiques (comme la communication en équipe, la gestion des ressources ou la prise de décisions sous pression), tu ne progresseras pas.
Un vrai progamer mesure ses performances. Ce n’est pas juste une question de nombre de kills ou de victoires. Il s’agit d’analyser chaque session : qu’est-ce qui a fonctionné ? Qu’est-ce qui a foiré ? Qu’aurais-tu pu faire différemment ? Les progamers utilisent des outils pour revoir leurs parties, prennent des notes, et s’imposent des objectifs.
Comment savoir si tu es sur la bonne voie ?
Si tu souhaites être sûr que tu ne passes pas simplement ton temps à jouer pour t’amuser sous couvert de « t’entraîner », pose-toi quelques questions :
- « Ai-je un plan ? Est-ce que chaque session de jeu a un but ? » Est-ce que tu identifies ce que tu veux perfectionner ?
- « Est-ce que je progresse ? » Regarde tes performances d’il y a un mois, ou même d’il y a six mois. Si tu ne constates aucune amélioration notable, tu es en train de stagner.
- « Ai-je des retours extérieurs ? » Parfois, on ne voit pas ses propres défauts. Trouve des coéquipiers ou un coach pour te donner un feedback honnête sur ton niveau.
- « Est-ce que je mesure mon temps ? » Un bon entraînement a un début et une fin. Si tu te retrouves à enchaîner les parties sans réfléchir à l’heure qu’il est, tu es probablement en train de t’inventer une justification pour simplement t’amuser. Mets en place un planning strict avec des séances d’exercices définis et des pauses pour te reposer (important pour ne pas exploser en vol).
Comment s’assurer qu’on n’est pas juste en train de chercher une excuse pour jouer ?
La meilleure méthode pour éviter de tomber dans ce piège, c’est de tenir un training log. Note dans un journal tes heures d’entraînement, tes objectifs pour chaque session, les résultats et ce que tu as appris. Si tu as fait trois heures de jeu sans aucune intention claire, ça sera écrit noir sur blanc dans ton carnet : tu as perdu ton temps.
De quelles autres compétences ai-je besoin pour devenir joueur professionnel ?
Il est essentiel de savoir captiver une audience, que ce soit en streaming ou via des vidéos. Tu dois être capable de commenter tes actions de manière fluide tout en interagissant avec ton public.
Observer les plus grands joueurs ou streamers t’aidera à discerner comment ils se comportent avec leur communauté, gèrent leur carrière et comment ils se démarquent dans cet univers ultra-concurrentiel.
Ensuite, tu auras besoin de compétences techniques, comme le montage audiovisuel si tu veux créer du contenu YouTube, ou comprendre les bases du marketing digital pour te promouvoir efficacement. Il ne suffit pas d’être bon aux jeux vidéo, il faut aussi savoir se vendre.
Mon expérience avec l’e-sport, avant que ça ne devienne mainstream
J’avais organisé, à Toulon, le tout premier tournoi européen de King of Fighters en 1998. C’était une époque bien différente ! Quand je disais autour de moi que l’e-sport deviendrait un jour une profession, on me riait au nez. Mais déjà, les meilleurs joueurs étaient impressionnants. Ils passaient un nombre incalculable d’heures à répéter des combos en mode entraînement avec le même personnage, peaufinant chaque mouvement.
Certains d’entre eux connaissaient les stratégies de gameplay de fond en comble, allant jusqu’à mémoriser le nombre exact de frames de chaque coup pour chaque personnage. C’était fascinant de les voir en action, avec une précision et une discipline qui préfiguraient ce que l’e-sport allait devenir.
Comment réussir dans le monde du pro-gaming ?
Devenir progamer n’est pas un chemin sans embûches. Si tu ne parviens pas à te hisser parmi les meilleurs, il existe des alternatives intéressantes. Tu pourrais, par exemple, devenir commentateur d’événements e-sport, ces fameux casters que tous écoutent pendant les compétitions. Le coaching est aussi une voie envisageable, surtout si tu acquiers une certaine expertise dans un jeu. D’autres choisissent de créer du contenu éducatif pour aider les newbies à progresser. Si, en revanche, tu arrives à percer, tu devras continuer à t’adapter et à varier tes revenus pour rester pertinent. La scène e-sport et le streaming évoluent constamment, avec de nouveaux jeux, de nouvelles plateformes et de nouvelles tendances. Si tu veux réussir sur le long terme, il te faudra te réinventer sans cesse. La diversification, avec du sponsoring, des collaborations ou même la constitution d’une marque personnelle, sera la clé de ton succès.
Comment débuter sa carrière de progamer ?
Si tu te sens prêt, choisis d’abord ta spécialité. Es-tu plus intéressé par les compétitions d’e-sport, le streaming ou la création de vidéos YouTube ?
Une fois ta sélection faite, il te faudra un bon setup. Investis dans du matériel de qualité : un micro, une webcam et, si nécessaire, une carte de capture pour améliorer tes diffusions.
Ce n’est pas encore le moment d’espérer des millions d’abonnés ou de vues, mais il est crucial de commencer à streamer, même avec quelques spectateurs. La régularité et l’interaction avec ton audience feront la différence.
Si tu vises les compétitions, inscris-toi aux tournois en ligne, y compris les plus petits, pour débuter à te faire un nom. Cela te permettra non seulement de tester ton niveau, mais aussi de te familiariser avec la pression et les attentes de ce milieu.
Quelle action réaliser tout de suite pour te lancer dans le progaming ?
- Télécharge OBS Studio (gratuit) pour commencer à streamer directement depuis chez toi.
- Crée un compte sur Twitch ou YouTube et diffuse ta première partie !
- Rejoins un tournoi amateur en ligne pour voir où tu te situes par rapport aux autres joueurs.
Comment évaluer le potentiel de revenus de chaque méthodologie ?
Internet offre de nombreuses opportunités. Les estimer précisément, c’est un peu comme essayer de prédire la prochaine danse virale sur TikTok : c’est un mélange de science, d’intuition et de pure chance.
Certes, j’ai tâché de te donner une fourchette pour chaque activité, mais de multiples critères vont déterminer le succès ou l’échec. Comment définir si ton concept a le potentiel de te faire encaisser plus qu’un simple café par mois ?
Commence par faire des recherches sur le marché : y a-t-il des gens prêts à payer pour voir ta collection de chapeaux pour chats ?
Ensuite, évalue la concurrence : es-tu le seul génie à proposer des cours de yoga pour paresseux ? Enfin, calcule tes coûts et tes marges possibles. Si après tout ça, tu réalises que ton idée de boutique en ligne de pulls pour escargots n’est pas la poule aux œufs d’or que tu espérais, passe à autre chose ! Il y a toujours d’autres moyens moins farfelus de gagner ta vie sur Internet.
Comment maximiser tes gains avec des ressources limitées ?
La clé est d’utiliser chaque miette de ressource à ta disposition.
Tu as un smartphone ? Félicitations, tu as maintenant un studio photo, une caméra vidéo et un outil de montage pour créer du contenu pour les réseaux sociaux.
Ton ordinateur portable devient ta propre boutique en ligne, ta salle de classe virtuelle pour donner des cours en direct et ton bureau pour tes activités de freelance.
N’oublie pas que ta plus grande ressource, c’est toi-même ! Ton cerveau regorge d’idées uniques qui peuvent t’aider à gagner de l’argent sur Internet. Alors, mets ta créativité au pouvoir et transforme tes compétences en une machine à cumuler les euros !
Quels sont les pièges à éviter lorsqu’on commence sans budget ?
Commencer à gagner de l’argent, ses premiers euros, c’est un premier pas important, mais les pièges sont aussi nombreux que les régimes miracles sur Instagram.
La première chausse-trappe à esquiver est le syndrome du « devenir riche rapidement ». Désolé de briser tes rêves, mais tu ne seras probablement pas millionnaire du jour au lendemain en vendant des photos de tes orteils en ligne. Mais, si tu as des pieds « houlala », tu peux quand même te faire quelque argent sonnant et trébuchant.
Un autre piège classique est de sous-estimer le temps et l’effort nécessaires pour gagner de l’argent à domicile. Créer un site Web rentable, devenir freelance ou gagner sa vie en publiant des bouquins ne se fait pas en claquant des doigts, même si tes claquements de doigts sont particulièrement mélodieux.
Le syndrome de l’objet brillant est l’un des plus grands écueils lorsqu’on démarre en ligne. C’est l’envie de courir après chaque nouvelle opportunité qui semble promettre des profits rapides : aujourd’hui le dropshipping, demain l’affiliation, puis les cryptos ou les NFT. À force de sauter d’une idée à l’autre, tu finis par tout commencer sans rien achever. Résultat : aucun projet ne décolle. La clé est de rester concentré sur une unique stratégie, de t’y tenir et de persévérer, plutôt que de te laisser distraire par chaque tendance naissante. Ce n’est que quand tu as réussi, et mis en place des solutions pour que ce soit pérenne, que tu peux t’essayer à autre chose.
Enfin, méfie-toi des offres trop belles pour être vraies. Si quelqu’un te propose d’empocher 10 000 € par mois en travaillant 5 minutes par jour depuis ton hamac, c’est probablement aussi fiable qu’un parachute en papier mâché.
Alors, comment vas-tu gagner ton argent en ligne ?
Je vais te dévoiler LA SOLUTION pour devenir très riche sur Internet : invente une machine à voyager dans le temps, reviens en 1998 et investis massivement dans Google et Amazon ! Bon, d’accord, ce n’est peut-être pas la plus pratique des réponses…
Plus sérieusement, après avoir accompagné des centaines de personnes dans leur quête de revenus en ligne, je peux te promettre une chose : ceux qui se donnent vraiment à fond, et prennent le temps qu’il faut sans céder au syndrome de l’objet brillant, y parviennent presque toujours. Le freelancing, en particulier, est une voie concrète et relativement accessible pour se créer des revenus actifs. Je te conseille de chercher des revenus passifs ou semi-passifs seulement dans un second temps. Échanger ton temps contre de l’argent, c’est plus rapide et tangible, parfait pour débuter véritablement et acquérir du savoir-faire.
Alors, pas besoin de machine à remonter le temps, juste de discipline et de persévérance ! As-tu le bon profil pour y parvenir ? Réponds au petit quiz ci-dessous pour le vérifier et, surtout, passe à l’action et fais preuve de régularité et de discipline. Tu mettras ainsi toutes les chances de ton côté. 💪
Êtes-vous prêt(e) à travailler en ligne ?
Répondez aux questions suivantes pour découvrir votre niveau de préparation.
Salut,
En quoi consiste le travail de « rédacteur web » ?
Je rêve de me lancer mais l’idée me terrifie parce-que peur d’échouer, peur de ne pas savoir comment faire, le fait aussi de ne pas savoir par où commencer, le fait qu’on m’a répété toute ma vie que je suis bon à rien, le fait aussi d’avoir 0 euro sur mon compte bancaire et d’être au chômage depuis des années.
J’ai cette idée de me lancer sur Internet depuis si longtemps mais sans jamais avoir trouvé la force de le faire. J’ai même essayé de trouver un mentor qui me suive pas à pas, qui à de l’expérience et qui m’aide étape par étape, mais à chaque fois on essayait de me faire payer x formation et autres alors que je suis plus fauché que les blés.
Bonjour, pour tout savoir sur le métier de rédacteur web, je vous invite à lire cet article :https://www.famille-nomade-digitale.com/formation-redaction-web/
Quelle que soit l’activité dans laquelle vous vous lancerez, il faudra forcément passer par la case « formation » pour acquérir les compétences qui vous manque. Dans votre cas, il vaut mieux regarder vers des formations axées sur le numérique proposées par Pole emploi (cela existe peut-être ?). Ce ne sera certainement pas une formation pour devenir rédacteur web mais en tout cas cela vous aidera à vous former gratuitement et à vous ouvrir à de nouvelles perspectives. Bon courage !
Oui je suis intéressé
Bonjour Patrice
Tu as bien fais le tour avec un article très dépouillé.
La formation et la collaboration m’ont personnellement permis de gagner mes premiers revenus sur internet juste avec l’affiliation, encore fallait il savoir la meilleure méthode.
Merci encore pour ton article qui sensibilise ceux qui doutent qu’il soit possible de gagner de l’argent sur le net.
Merci André ! J’espère effectivement convaincre les gens d’au moins essayer à fond pour se faire leur opinion… et avoir l’opportunité de changer leur vie !
Bonjour Patrice ! Ça a tellement dû vous bouleverser ce dépôt de bilan…
Tu as merveilleusement bien rebondi ! Effectivement, le freelance est une excellente manière de gagner sa vie rapidement lorsque l’on est un créateur.
Le mieux étant de réussir à trouver son équilibre.
En partant en tour du monde, j’ai un peu trop foncé tête baissée… Heureusement depuis j’ai adopté une approche qui me permet de ne plus être dans le fameux : « ëtre freelance c’est travailler 70 heures par semaines, les clients ne me comprennent pas etc. »
Cela prend un peu de pratique, mais surtout de se lancer dans de nouvelles aventures, comme tu le fais si bien.
Faire des détours et ne pas avoir une route toute tracée permet trouver de nouvelles pierres qui façonnent vie d’aventures !
Merci Clem !
Effectivement, trouver son équilibre est très important.
Personnellement, je préfère gagner moins, mais ne pas passer tout mon temps à produire.
Niveau revenus, l’idéal fut d’avoir des revenus actifs (plus rapide à démarrer, plus facile) et développer ensuite des revenus passifs en complément.
Mais ce qui compte aussi est d’avoir des activités qui ont un sens, et savoir pourquoi on bosse (et pas juste pour faire tourner le système !).
Bravo à toi, en tout cas, pour ton aventure et pour cette recherche de l’équilibre.
Amicalement
Joli article, Patrice!!!! J’adore. Si avec ça tes lecteurs se motivent pas (ou les miens, puisque je vais partager)…. Bravo!!!
Merci Nicolas ! Il y a tellement d’ondes négatives ces derniers temps, les gens désespèrent, alors qu’il n’y a jamais eu autant d’opportunités. À nous de montrer qu’il y a d’autres façons de faire que la façon « classique » et linéaire d’évoluer dans sa vie ! 🙂
Top Patrice, un bel article de fond que je vais partager ! J’ai moi-même préparé le mien pour cet événement d’Olivier Roland.
J’ai galéré seule pendant des années, avant de comprendre qu’on ne pouvait pas réussir complètement seul, qu’il fallait bien s’entourer et choisir les bonnes formations. J’ai enfin trouvé parmi celles que tu proposes (et quelques rares autres formateurs), merci à toi ! Je trouve beaucoup mieux d’être cadré, guidé et rassuré plutôt que d’errer seul.
Un beau parcours, j’admire que tu aies pu générer des revenus sur 5euros en 3 mois ! Je dois en prendre de la graine mais je fais de mon mieux car je suis salariée. En tout cas, c’est encourageant car je veux être libre dans 6 mois.
Merci Marjorie ! Bon courage, accroche-toi et donne-toi à fond pour ton projet !
Les revenus en ligne, un vrai mystère pour moi ! A part la pub qu’on m’a proposé de mettre sur mon blog, sinon, je galère ! Un jour peut-être… Je ne désespère pas que mon blog professionnel me rapporte quelques choses ! Mais ce n’est pas l’objectif premier 😀